Croaa a écrit:Daenerys Stormborn a écrit:
Si, si, tu y vois une couleur, sinon tu n'aurais pas pris cet exemple pour me contredire. Preuve que tu es comme d'habitude une petite merde.
Tu traites tout le monde de raciste alors que tu es juste un bourge méprisant, et ça c'est aussi grave que d'être raciste.
Ben non, pas tout le monde, juste toi pour le coup.
Gorkh a écrit:Quels banquiers allemands ? Quel ultimatum ?
Daenerys Stormborn a écrit:On te lit, tu sais.
Daenerys Stormborn a écrit:Donc ouais, débraye et fous la paix aux gens, parce que tes méthodes les pètent à pas mal de monde sur ce forum.
Olaf Le Bou a écrit:Daenerys Stormborn a écrit:Donc ouais, débraye et fous la paix aux gens, parce que tes méthodes les pètent à pas mal de monde sur ce forum.
le mec il a tellement de comptes différents qu'il sait plus qui il est et parle de lui à la troisième personne
edgarmint a écrit:Daenerys Stormborn banni.
LeJoker a écrit:edgarmint a écrit:Daenerys Stormborn banni.
Et alors qu'est ce que ça peut me faire ? Tu crois que tu peux m'arrêter comme ça ? J'interviens quand je veux, j'ai tellement de comptes. Croaa on n'en a pas fini, tu peux me croire.
Jamais Genève, l’une des dix villes les plus riches au monde, n’avait imaginé accueillir une telle distribution de vivres. Une file, longue d’un kilomètre, soit près de 2 200 personnes, s’est formée samedi 2 mai aux abords de la patinoire des Vernets, en plein centre-ville. Au bout de trois heures d’attente, le Graal : des sacs qui contiennent des denrées alimentaires essentielles, riz, pâtes, huile, deux boîtes de sauce tomate et des produits d’hygiène courants, offerts par des particuliers et distribués par les bénévoles de l’association de La Caravane de la solidarité. Leur valeur n’excède pas 20 francs (19 euros). « C’est dire le dénuement de ces personnes, s’alarme un volontaire. On n’a jamais vu ça depuis la fin de la seconde guerre mondiale. »
Depuis le début du semi-confinement à la mi-mars en Suisse – fondé sur la discipline individuelle plutôt que sur des mesures coercitives –, les associations ont observé la vague des besoins humanitaires monter. Rien qu’à Genève, La Caravane de la solidarité a offert 150 sacs de vivres lors de la première distribution début avril. Puis 800, et enfin près de 1 300. Les Colis du cœur, qui distribuent des bons alimentaires, comptabilisent plus de 7 000 bénéficiaires, contre 4 000 au début de la crise. Genève n’est pas la seule à observer cette augmentation. A Lausanne, dans le canton de Vaud voisin, la soupe populaire distribuait chaque jour 250 repas jusqu’en décembre 2019. Elle en sert désormais près de 900 quotidiennement.
« Travailleurs invisibles »
Les récipiendaires sont ces milliers d’« invisibles », sans-papiers le plus souvent, ou travailleurs précaires, qui exerçaient dans la restauration, sur les chantiers, comme nounous ou comme femmes de ménage. La crise du Covid-19 les a laissés sur le carreau : sans travail, sans ressource et souvent sans soins, en pleine pandémie, et confinés dans des logements surpeuplés. « Ces 2 000 personnes ne sont que la pointe de l’iceberg », estime la députée Ada Marra, vice-présidente du Parti socialiste. A Genève, les sans-papiers – majoritairement des femmes philippines et latino-américaines – seraient près de 10 000. A l’échelle de la Suisse, « les chiffres parlent de 100 000 à 300 000 sans-papiers exclus des systèmes d’aide sociale », selon Mme Marra.
Le malaise est tel que pour cette nouvelle distribution d’aide, plusieurs associations et ONG se sont jointes à l’opération. Médecins sans frontières (MSF) Suisse, rompue aux situations épidémiques avec Ebola en République démocratique du Congo, a ainsi dépêché ses logisticiens pour organiser la collecte dans de bonnes conditions sanitaires. Le réseau des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) a proposé des tests de coronavirus aux personnes symptomatiques – tous négatifs – et une prise en charge médicale pour des maladies chroniques et plus bénignes. Les services sociaux et la maire de la ville de Genève avaient aussi fait le déplacement pour prendre la mesure du problème. En février, la ville avait permis la régularisation de 2 390 sans-papiers.
Une toute première enquête réalisée par MSF et HUG auprès de cette communauté de « travailleurs invisibles » témoigne de sa détresse psychologique : à la perte du revenu s’ajoute la crainte de la perte du logement et le risque de spirale infernale. « La réponse ne doit plus seulement être sanitaire ou médicale, elle doit être politique », plaide Roberta Petrucci, coordinatrice médicale pour MSF.
« Ces images peuvent être un électrochoc », estime la députée Ada Marra, dans un pays qui a longtemps refusé d’envisager la misère sur son territoire. Il a ainsi fallu attendre 2010 pour que le Conseil fédéral se penche pour la première fois sur la question et utilise le mot « pauvreté » dans un de ses rapports. « Il y a un vrai retard dans la prise de conscience de cette autre Suisse », estime-t-elle. La Confédération, qui a lancé un plan de sauvetage de son économie de 60 milliards de francs suisses (57 milliards d’euros) – qui doit permettre de financer l’assurance-chômage ou d’accorder des prêts à des entreprises en difficultés – ne tient pas compte de ces travailleurs sans droit.
« Ils sont dépourvus de tous filets sociaux. Il faudrait une vraie impulsion politique pour un système plus universel », assure l’élue, qui a déposé au Conseil fédéral, mais sans illusion, un projet de création de fonds social pour les sans-papiers. Les freins politiques sont nombreux. « L’Etat ne veut surtout pas donner l’impression qu’il traite directement avec les sans-papiers », assure Mme Marra.
LeJoker a écrit:Idem pour les boîtes à partouzes. Rien n'est acté, mais on semble aussi vouloir interdire ça après le 11. Tu parles d'un déconfinement. Les honnêtes citoyens vont finir par se révolter je pense.
corbulon a écrit:Ah ouais, ça leur arrive au Monde de regarder la RTS, incroyable !
Après je sais très bien que je vis dans un pays qui a une majorité à droite, avec tout ce que ça implique. Mais au moins cette majorité tire vraiment sa légitimité du peuple, et pas en l’obligeant à signer un blanc-seing de 5 ans parce qu’il n’y a pas d’alternative en infantilisant de surcroît ses citoyens et en passant son temps à les menacer de sanctions. C’est peut-être aussi pour cela que les gens ne se retrouvent pas dans la rue tous les deux mois pour manifester. De plus il me semble quand même avoir dit que tout n’était pas rose, notamment quand je sais plus qui, est venu expliquer que tout allait bien en Helvétie parce que les salaires étaient élevés, et que donc tout était rose (plus j’y pense plus ça devait être un truc avec Yannzeman). Et je crois même avoir parler de la pauvreté, vu que là je viens carrément de retrouver la discussion :
https://www.bdgest.com/forum/parler-des-jeunes-parler-des-banlieues-dans-les-bd-t87334-40.html
LEAUTAUD a écrit:Gorkh a écrit:Quels banquiers allemands ? Quel ultimatum ?
Tape "cour constitutionnelle allemande", tous les sites d'infos en parle.
Ce sont les juges teutons qui sont à la manoeuvre, mais derrière il y a bien la banque allemande.
fanche a écrit:En fait toi tu es un nationaliste suisse qui traite les autres de baltringues pour te faire mousser.
Kobaia l'a dit gentiment et tu en fais une affaire d'état, c'est dingue les extrémistes chez toi!
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