DR OZ: "Schools are a very appetizing opportunity. I just saw a nice piece in The Lancet arguing the opening of schools may only cost us 2 to 3%, in terms of total mortality. Any, you know, any life is a life lost, but ... that might be a tradeoff some folks would consider."
nexus4 a écrit:Voilà, pragmatique on vous dit. 2-3% de morts en plus on va pas en faire un plat non plus.DR OZ: "Schools are a very appetizing opportunity. I just saw a nice piece in The Lancet arguing the opening of schools may only cost us 2 to 3%, in terms of total mortality. Any, you know, any life is a life lost, but ... that might be a tradeoff some folks would consider."
https://twitter.com/MitchGerads/status/ ... 45123?s=20
DE-COM-PLEX-ÉS
fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper
fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper
Tonton Calou a écrit:Gorkh a écrit:fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper
Immunité de groupe, qu'on te dit.
C'est évidemment possible. Mais cela n'empêche une immunité de groupe pour autant. Tout dépend de la probabilité de rechope.
C'était la seconde de l'optimisme mesuré.
HOCHET Gabriel a écrit:Plein de gens en Afrique et Amérique du Sud s’en remettent aux remèdes ancestraux marabouteux pour le Covid 19 ....
Putain, on est en 2020.....
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unrefractaire a écrit:Et les Chinois vont effectivement devoir fournir les explications les plus claires pour avoir introduit ce nouveau danger au sein de la population mondiale.
Les élus qui s’embrassent et qui trinquent
Parmi les communes les plus emblématiques de ces contaminations, on peut encore citer Compiègne, dans l’Oise. Dans la semaine qui suit le premier tour trois élus et trois employés de la mairie sont diagnostiqués positifs. Si tous sont aujourd’hui guéris, ils ont un point commun : ils étaient présents à la soirée organisée au soir du premier tour. Selon Frederika Guillaume, journaliste de Oise Hebdo, "au fur et à mesure que la liesse augmentait avec les résultats qui arrivaient, tout le monde se congratulait ", alors que dans le même temps temps, devant les caméras, le maire appelait avec gravité, la population à se protéger du virus. Dans une vidéo publiée sur le compte Facebook de la ville, et reprise par Oise Hebdo, on peut voir derrière le maire les élus s’embrasser et trinquer. "Les gestes barrières ont disparu. Plus personne ne pensait au coronavirus", se souvient Frederika Guillaume. "Ce qu’on ne sait pas", ajoute-t-elle, "c’est que le chef de la police municipale, qui participe à la soirée sera testé positif le lendemain. Que le directeur de cabinet, lui aussi présent dans la salle, va être dépisté positif la semaine suivante, de même que la directrice de communication de la ville, ainsi que l’adjoint à la culture, et le député Pierre Vatin".
Le rôle des scientifiques
Pourquoi donc, dans ces conditions, le gouvernement a-t-il maintenu le premier tour, alors même qu’il fermait les bars, restaurants, les théâtres et les cinémas ? Pour le comprendre il faut revenir sur ce qui s’est joué en coulisses, à l’Elysée le 12 mars dernier. Ce jour-là, les dix membres du conseil scientifique Covid-19, arrivent à 10 heures 30. Ils s’assoient du même côté de la grande table du Conseil des ministres, face au président de la République et à ses collaborateurs. Ils expliquent à Emmanuel Macron pourquoi le nouveau coronavirus risque d’engorger les services de santé. La France ne réalise pas encore ce qui est en train de se passer, disent-ils au président. A cet instant, ce dernier est ébranlé. Il n’exclut pas un report du vote. A 13 heures, les experts ne quittent pas le palais. On leur apporte des plateaux repas, après quoi ils se retrouvent à huis clos pour répondre à la question suivante : y-a-t-il des arguments scientifiques plaidant en faveur de la suppression du premier tour des élections municipales ?
Pendant qu’Emmanuel Macron consulte les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, ainsi que d’autres personnalités politiques qui plaident majoritairement pour un maintien du scrutin, les scientifiques débattent. La discussion est franche, "cash", nous a-t-on confié. Certains interviennent spontanément. D’autres réclament la parole. Le président Jean François Delfraissy veille à ce que chacun puisse préciser sa pensée. Il recherche un consensus qui, peu à peu, va se dégager autour de deux arguments.
D’un côté, les experts membres du corps médical considèrent qu’à partir du moment où l’on permet à la population de sortir en respectant des mesures barrières, il n’existe aucun argument scientifique permettant de considérer que le premier tour aggraverait la situation, à condition que soient imposées : une distanciation sociale, l’absence de contacts, une file dédiée aux personnes à risque, et la présence de gel hydro alcoolique.
Le risque d’un séisme politique et médiatique
Mais un autre argument, beaucoup moins scientifique, va aussi être avancé. Il est essentiellement développé par les experts en sciences sociales du groupe (anthropologue et sociologue notamment). Ces derniers font valoir qu’une annulation du premier tour des élections, risquerait d’entrainer un séisme politique et médiatique qui détournerait l’attention des Français de la menace qui pèse sur eux. Si la presse titrait sur la confiscation du scrutin par le chef de l’Etat, la polémique enflerait, expliquent-ils, l’opposition s’en emparerait, et les messages de mobilisation de l’opinion autour du Covid-19 deviendraient inaudibles.
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