fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper

Oh putain faites gaffe les mecs... la mort a échangé sa faux contre une gillette triple lame.
fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper
Tonton Calou a écrit:Gorkh a écrit:fanche a écrit:J'ai dans mon entourage une personne qui a été atteinte, qui en a chié et qui s'en est remise. Elle vient de le rechopper
Immunité de groupe, qu'on te dit.
C'est évidemment possible. Mais cela n'empêche une immunité de groupe pour autant. Tout dépend de la probabilité de rechope.
C'était la seconde de l'optimisme mesuré.
HOCHET Gabriel a écrit:Plein de gens en Afrique et Amérique du Sud s’en remettent aux remèdes ancestraux marabouteux pour le Covid 19 ....
Putain, on est en 2020.....
:
unrefractaire a écrit:Et les Chinois vont effectivement devoir fournir les explications les plus claires pour avoir introduit ce nouveau danger au sein de la population mondiale.
Les élus qui s’embrassent et qui trinquent
Parmi les communes les plus emblématiques de ces contaminations, on peut encore citer Compiègne, dans l’Oise. Dans la semaine qui suit le premier tour trois élus et trois employés de la mairie sont diagnostiqués positifs. Si tous sont aujourd’hui guéris, ils ont un point commun : ils étaient présents à la soirée organisée au soir du premier tour. Selon Frederika Guillaume, journaliste de Oise Hebdo, "au fur et à mesure que la liesse augmentait avec les résultats qui arrivaient, tout le monde se congratulait ", alors que dans le même temps temps, devant les caméras, le maire appelait avec gravité, la population à se protéger du virus. Dans une vidéo publiée sur le compte Facebook de la ville, et reprise par Oise Hebdo, on peut voir derrière le maire les élus s’embrasser et trinquer. "Les gestes barrières ont disparu. Plus personne ne pensait au coronavirus", se souvient Frederika Guillaume. "Ce qu’on ne sait pas", ajoute-t-elle, "c’est que le chef de la police municipale, qui participe à la soirée sera testé positif le lendemain. Que le directeur de cabinet, lui aussi présent dans la salle, va être dépisté positif la semaine suivante, de même que la directrice de communication de la ville, ainsi que l’adjoint à la culture, et le député Pierre Vatin".
Le rôle des scientifiques
Pourquoi donc, dans ces conditions, le gouvernement a-t-il maintenu le premier tour, alors même qu’il fermait les bars, restaurants, les théâtres et les cinémas ? Pour le comprendre il faut revenir sur ce qui s’est joué en coulisses, à l’Elysée le 12 mars dernier. Ce jour-là, les dix membres du conseil scientifique Covid-19, arrivent à 10 heures 30. Ils s’assoient du même côté de la grande table du Conseil des ministres, face au président de la République et à ses collaborateurs. Ils expliquent à Emmanuel Macron pourquoi le nouveau coronavirus risque d’engorger les services de santé. La France ne réalise pas encore ce qui est en train de se passer, disent-ils au président. A cet instant, ce dernier est ébranlé. Il n’exclut pas un report du vote. A 13 heures, les experts ne quittent pas le palais. On leur apporte des plateaux repas, après quoi ils se retrouvent à huis clos pour répondre à la question suivante : y-a-t-il des arguments scientifiques plaidant en faveur de la suppression du premier tour des élections municipales ?
Pendant qu’Emmanuel Macron consulte les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, ainsi que d’autres personnalités politiques qui plaident majoritairement pour un maintien du scrutin, les scientifiques débattent. La discussion est franche, "cash", nous a-t-on confié. Certains interviennent spontanément. D’autres réclament la parole. Le président Jean François Delfraissy veille à ce que chacun puisse préciser sa pensée. Il recherche un consensus qui, peu à peu, va se dégager autour de deux arguments.
D’un côté, les experts membres du corps médical considèrent qu’à partir du moment où l’on permet à la population de sortir en respectant des mesures barrières, il n’existe aucun argument scientifique permettant de considérer que le premier tour aggraverait la situation, à condition que soient imposées : une distanciation sociale, l’absence de contacts, une file dédiée aux personnes à risque, et la présence de gel hydro alcoolique.
Le risque d’un séisme politique et médiatique
Mais un autre argument, beaucoup moins scientifique, va aussi être avancé. Il est essentiellement développé par les experts en sciences sociales du groupe (anthropologue et sociologue notamment). Ces derniers font valoir qu’une annulation du premier tour des élections, risquerait d’entrainer un séisme politique et médiatique qui détournerait l’attention des Français de la menace qui pèse sur eux. Si la presse titrait sur la confiscation du scrutin par le chef de l’Etat, la polémique enflerait, expliquent-ils, l’opposition s’en emparerait, et les messages de mobilisation de l’opinion autour du Covid-19 deviendraient inaudibles.
Mirdhynn a écrit:A un moment, les militants d’extrême gauche vont peut être aussi comprendre que la provocation verbale violente peut engendrez des répliques.
Ils jouent les saintes nitouches dés que ça se retourne contre eux, mais les truc du genre tête de Macron au bout d'une pique ou "on t'attends", ou même sur ce forum il y a deux jours "Vous serez tondus avec vos idoles à la libération" (J'ai personnellement moyennement apprécié celle la), va falloir arrêter un peu.
Ils veulent être dans le phrasé violent, il ne faut pas s'étonner si les personnes d'en face finissent par s'ennerver.
toque a écrit:"Je souhaite que donc que vous soyez tondu à la libération avec vos idoles."
rahoul a écrit:toque a écrit:"Je souhaite que donc que vous soyez tondu à la libération avec vos idoles."
Tu as pensé à tous ces coiffeurs en chômage forcé idolâtrés par la population confinée qui attendent tous le 11 Mai ?
( Hors de question que je prête ma tondeuse !)
Coronavirus. Les nouvelles ne sont pas très bonnes en ce qui concerne l’immunité collective
Les autorités chinoises de Wuhan, premier épicentre de la pandémie de coronavirus, ont commencé une campagne de tests sérologiques auprès de milliers de personnes reparties travailler et d’autres sans symptôme. Objectif : avoir une idée plus précise du nombre de personnes ayant développé des anticorps à la suite d’une infection au Covid-19. Et les premiers résultats ne sont pas très optimistes : seuls 2 % des personnels soignants et des patients testés auraient développé des anticorps.
dod a écrit:.... les mots ont un sens...
nexus4 a écrit:Si l'immunité ne dépasse pas le trimestre, on est très mal.Coronavirus. Les nouvelles ne sont pas très bonnes en ce qui concerne l’immunité collective
Les autorités chinoises de Wuhan, premier épicentre de la pandémie de coronavirus, ont commencé une campagne de tests sérologiques auprès de milliers de personnes reparties travailler et d’autres sans symptôme. Objectif : avoir une idée plus précise du nombre de personnes ayant développé des anticorps à la suite d’une infection au Covid-19. Et les premiers résultats ne sont pas très optimistes : seuls 2 % des personnels soignants et des patients testés auraient développé des anticorps.
https://www.ouest-france.fr/sante/virus ... ve-6810744
Après faut voir si la réinfection ne réenclenche pas une immunité plus longue (comme certains vaccins qui ont un premier rappel assez rapproché avant d'être peinard un certain temps).
Espérons.
Croaa a écrit:Ah... L'immunité de groupe ne serait donc plus une option ?
https://www.wsj.com/articles/wuhan-star ... 1587039175
Ah ben zut... Du coup déconfiner en masse ne serait pas la solution....
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités