kamandi a écrit:faudrait que je retrouve le nom de la boite israélienne que ma société distribuait. Mais c'était il y a 10 ans.
Si tu retrouves, MP
kamandi a écrit:faudrait que je retrouve le nom de la boite israélienne que ma société distribuait. Mais c'était il y a 10 ans.
kamandi a écrit:je vois que tu n'as jamais travaillé dans ou pour un hôpital.
ça a l'air fou mais aucun hôpital (en Europe c'est sur) n'est capable de recenser exactement le matériel dont il dispose.
Comme celui ci change tout le temps de place, au bout d'un moment il arrive que personne ne sache ou est le matos.
A tel point qu'il y a des sociétés (notamment en Israël) qui ont développé des capteurs pour que l'on sache a tout moment ou se trouve le matériel. Et ils avaient des clients dans le monde entier
tzynn a écrit:kamandi a écrit:je vois que tu n'as jamais travaillé dans ou pour un hôpital.
ça a l'air fou mais aucun hôpital (en Europe c'est sur) n'est capable de recenser exactement le matériel dont il dispose.
Comme celui ci change tout le temps de place, au bout d'un moment il arrive que personne ne sache ou est le matos.
A tel point qu'il y a des sociétés (notamment en Israël) qui ont développé des capteurs pour que l'on sache a tout moment ou se trouve le matériel. Et ils avaient des clients dans le monde entier
On l'a fait aussi comme société, c'est le phénomène de l'écureuil. Les utilisateurs ne veulent pas devoir chercher le matos, et le mettent donc de côté pour être sur de tomber dessus. Cela génère deux effets: un sur-achats de 15% et des problèmes pour la maintenance qui n'arrive pas à trouver le matériel quand il faut.
Le souci c'est que le remède est compliqué à mettre en place: soit des tags actifs mais il faut changer les piles de temps en temps et couvrir avec bcp de réseau, soit des tags passifs mais si ça sort par une zone non couverte on ne le retrouvera pas.
De plus, il est difficile de faire payer les hôpitaux pour cela, parce que c'est transversal et qu'ils veulent faire payer tous les départements qui considèrent qu'ils ont des achats plus urgents.
Confinement général alors que le pays n'est qu'à 142 cas et 0 décèsTerminaux de ferries pris d'assaut, razzia dans les supermarchés, expatriés coincés à l'étranger... la panique gagnait mardi la Nouvelle-Zélande, à la veille d'un confinement général contre le coronavirus.
La police est notamment intervenue aux terminaux des bateaux effectuant les rotations entre Wellington, sur l'Île du Nord, et Picton, sur l'Île du Sud.
Des centaines de personnes tentaient en effet désespérément d'obtenir une place à bord des ferries traversant le détroit de Cook.
"Il y a eu un afflux de personnes qui n'avaient pas de billet", a précisé la police qui demandait à ceux qui n'avaient pas de réservation de ne pas se présenter.
La Première ministre Jacinda Ardern a ordonné lundi un confinement général de quatre semaines de la population à compter de mercredi 23H59 (10H59 GMT) pour endiguer la propagation de l'épidémie de Covid-19.
L'archipel est nettement moins touché que nombre d'autres pays dans le monde, avec 142 cas. Mais le gouvernement est convaincu que ce chiffre risque d'exploser si des mesures drastiques ne sont pas prises.
Air New Zealand, dont l'activité internationale est désormais quasiment nulle, a en revanche augmenté le nombre de vols intérieurs pour permettre aux habitants de rentrer chez eux avant le début du confinement.
Le chaos dans les terminaux de ferries et dans les aéroports a cependant convaincu le gouvernement de donner 48 heures de plus à la population pour rentrer chez elle.
"Se calmer "
"Jamais auparavant nous n'avions nous décidé de fermer notre pays en 48 heures (...) Je sais que c'est stressant, particulièrement pour ceux qui se trouvent dans les terminaux de ferries, mais nous y arriverons", a dit Mme Ardern aux journalistes.
"Nous permettrons aux gens de rentrer chez eux."
La police a indiqué qu'elle surveillait la situation dans les supermarchés, théâtre de scènes de panique, alors même que le gouvernement a affirmé qu'il y avait suffisamment de réserves.
Countdown, une des principales chaînes de supermarchés, a fait état d'une ruée dans ses rayons après l'annonce d'un confinement, alors que la demande était déjà très forte depuis trois semaines.
"Il faut se calmer", a déclaré la porte-parole du groupe Kiri Hannifin à Radio New Zealand. "Ce n'est pas de notre faute si les rayonnages sont vides, mais c'est à cause de la façon dont les gens font leurs courses. Or tout cela n'est pas du tout nécessaire."
De son côté, le vice-Premier ministre Winston Peters a exhorté ses dizaines de milliers de compatriotes coincés à l'étranger, et qui n'arrivent plus à revenir, à rester là où ils se trouvent.
"Il est désormais très difficile de revenir en Nouvelle-Zélande, et ce au départ de n'importe où", a-t-il dit dans un communiqué.
"Nous en sommes au point où le mieux pour les Néo-Zélandais à l'étranger est de trouver abri là où ils sont, de se préparer à y rester en sécurité."
Mme Ardern a déclaré qu'elle ne s'attendait pas à voir de ralentissement du nombre de contaminations dans les "10 à 12 jours".
"Les gens ne doivent pas s'inquiéter s'ils voient le nombre de cas grimper", a-t-elle dit. "Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas en train de réussir."
LeJoker a écrit:tzynn a écrit:kamandi a écrit:je vois que tu n'as jamais travaillé dans ou pour un hôpital.
ça a l'air fou mais aucun hôpital (en Europe c'est sur) n'est capable de recenser exactement le matériel dont il dispose.
Comme celui ci change tout le temps de place, au bout d'un moment il arrive que personne ne sache ou est le matos.
A tel point qu'il y a des sociétés (notamment en Israël) qui ont développé des capteurs pour que l'on sache a tout moment ou se trouve le matériel. Et ils avaient des clients dans le monde entier
On l'a fait aussi comme société, c'est le phénomène de l'écureuil. Les utilisateurs ne veulent pas devoir chercher le matos, et le mettent donc de côté pour être sur de tomber dessus. Cela génère deux effets: un sur-achats de 15% et des problèmes pour la maintenance qui n'arrive pas à trouver le matériel quand il faut.
Le souci c'est que le remède est compliqué à mettre en place: soit des tags actifs mais il faut changer les piles de temps en temps et couvrir avec bcp de réseau, soit des tags passifs mais si ça sort par une zone non couverte on ne le retrouvera pas.
De plus, il est difficile de faire payer les hôpitaux pour cela, parce que c'est transversal et qu'ils veulent faire payer tous les départements qui considèrent qu'ils ont des achats plus urgents.
Les écureuils sont bons pour les affaires. 15% de sur-achat, ça a été votre moyenne de croisière ou vous avez réussi à faire bien mieux ?
Après, moi je parlais d'identification, je n'allais pas jusqu'à la localisation. Mais quand même, qu'une institution ne sache même pas le mobilier qui entre ou qui sort de son patrimoine!!!
Coldo3895 a écrit:https://blogs.mediapart.fr/olivierbelli/blog/220320/le-pr-raoult-et-la-chloroquine-les-failles
A prendre avec précaution, comme toujours !
(après tout, c'est un blog de Médiapart )
Mais intéressant.
prejoris a écrit:Des nouvelles d'ailleurs...Confinement général alors que le pays n'est qu'à 142 cas et 0 décès(...)
Les Néo-Zélandais à l'étranger restent où ils sont (va savoir si certains ne sont pas des bombes à retardement, après tout).
Ni aimer, ni haïr : voilà la moitié de toute sagesse.
Ne rien dire et ne rien croire : voilà l'autre.
biborax a écrit:Coldo3895 a écrit:https://blogs.mediapart.fr/olivierbelli/blog/220320/le-pr-raoult-et-la-chloroquine-les-failles
A prendre avec précaution, comme toujours !
(après tout, c'est un blog de Médiapart )
Mais intéressant.
mais alors on fait quoi, on teste, re-teste,on fait tout le protocole, les études vont prendre des semaines, des mois. Et puis dans 6 mois on va dire : ah oui en fait ça fonctionne sur le covid 19... comment ? la pandémie est finie depuis 2 mois...
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/chloroquine-nous-n-avons-pas-le-temps-d-attendre-20200323
HOCHET Gabriel a écrit:Woua, marrant le JT de FR3 ce midi : reportage sur mon patelin (St. Martin-de-Landelles) avec l’action contre le coronamescouilles de mon cousin et voisin le Maire, et on a même vu très brièvement ma maison.....
Brian Addav a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Woua, marrant le JT de FR3 ce midi : reportage sur mon patelin (St. Martin-de-Landelles) avec l’action contre le coronamescouilles de mon cousin et voisin le Maire, et on a même vu très brièvement ma maison.....
C'est lequel de reportage Gaby ? Celui avec la camionnette haut-parleur ?
HOCHET Gabriel a écrit:Brian Addav a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Woua, marrant le JT de FR3 ce midi : reportage sur mon patelin (St. Martin-de-Landelles) avec l’action contre le coronamescouilles de mon cousin et voisin le Maire, et on a même vu très brièvement ma maison.....
C'est lequel de reportage Gaby ? Celui avec la camionnette haut-parleur ?
Voilà, c’est ça.... Pourquoi, y’a un autre reportage sur mon patelin ?
superscream a écrit:sa commence .....
Aux Etats-Unis, un homme meurt après avoir ingéré du phosphate de chloroquine
Après avoir regardé la conférence de presse de Donald Trump, lundi, un couple de sexagénaires a ingéré une trop forte dose de phosphate de chloroquine. L’homme en est mort.
source:
http://www.leparisien.fr/societe/aux-et ... 286732.php
Philemon a écrit:Question sur les études médicales: à partir de quel taux de réussite un médicament est-il validé comme ok pour mise en vente ?
Ca dépend du médicament, chaque médicament est unique
Sinon pour les essais cliniques, ce que je peux te dire c'est que chaque protocole définit des endpoints qui, s'ils sont atteints, définis l'efficacité du traitement. C'est du cas par cas.
Et en parallèle il y a un SAP (statistical analysis plan) qui définit le nombre de patients à inclure, leurs caractéristiques démographiques etc. Mais pareil, c'est du cas par cas
Brian Addav a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Brian Addav a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Woua, marrant le JT de FR3 ce midi : reportage sur mon patelin (St. Martin-de-Landelles) avec l’action contre le coronamescouilles de mon cousin et voisin le Maire, et on a même vu très brièvement ma maison.....
C'est lequel de reportage Gaby ? Celui avec la camionnette haut-parleur ?
Voilà, c’est ça.... Pourquoi, y’a un autre reportage sur mon patelin ?
Bon,c'est laquelle ta maison ?
kobaia a écrit:Philemon a écrit:Question sur les études médicales: à partir de quel taux de réussite un médicament est-il validé comme ok pour mise en vente ?
J'ai demandé à ma frangine, qui est pharmacienne chef de projet en pharmacovigilance côté safety (pas efficiency). Elle se renseigne demain auprès de collègues dont c'est la spécialité, mais en attendant, j'ai ça comme éléments de réponse :Ca dépend du médicament, chaque médicament est unique
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