Coldo3895 a écrit:Ouais !
Bon... c'est sûr que si on essaie de savoir en quoi l'Allemagne et la Corée ont mieux fait que la France, là ça devient beaucoup plus compliqué.
Ils ont systématisé les tests ?... ok mais... tester n'empêche pas de tomber malade. Donc... c'est certainement pas ça qui a un impact sur la contamination.
LeJoker a écrit:makidoo a écrit:LeJoker a écrit:Pouffy a écrit:Si on ajoute à cela que la labo Sanofi qui le produit est au Maroc et que l'état Marocain a réquisitionné tout le stock....
Tout est foutu, hatons l'apocalypse.
Par contre, pouffy, si il nous prend l'idée d'en être un cavalier, ça risque de ne pas etre pris au sérieux, voire même de remonter le moral: un cowboy torse nu chevauchant un hamster, on fait plus apocalypse quand même.
Ce qui est bizarre, c'est que j'ai pris le rer b de nombreuses fois, ai travaillé dans un milieu cosmopolite, ai eu sans doute une pneumonie, et n'ai toujours pas sucite l'interet du virus. Je ne sais pas comment le prendre.
Tiens c’est curieux (si ce que tu dis est vrai). Pendant les vacances de Noël mon fils a eu une grippe avec une très forte toux sèche. Je tombe malade le 1er janvier (grippe je pense), qui s’avère être une infection pulmonaire (diagnostique le 4 janvier, avec arrêt de travail). Mon fils me dit après qu’il connaît au moins 2 camarades d’école qui étaient malade : infection pulmonaire. Une très bonne copine de province un peu plus tard a aussi une infection pulmonaire. Mais on ne parlait pas encore de coronavirus quand j’étais malade, et, plus tard, dans le cas de mon amie, il était seulement en Chine.
Je veux sachoir.
Enre spoilers, ça n'intéressera que Makidoo[Révéler] Spoiler:Non non, je ne blague pas.Après, je n'ai plus la chrono exacte en tête.
Comme je sais que je ne suis malade qu'une fois par an et que ça passe systématiquement avec du sommeil sans médocs, je ne suis pas allé chez le médecin, surtout qu'au moment où j'aurais pu y aller, le virus a déboulé en France, donc j'ai estimé que les médecins avaient autre chose à faire. Et puis pas de fièvre. Auto priorisation donc.
Du coup c'est flou.
Donc: je -ne-sais-quoi en janvier, avec toux, puis toux sèche très isolée qui s'espace mais s'accroche, et enfin "gênes thoraciques" assez sérieuses en février-début Mars, puis rétablissement. Là, le corps doit récupérer sans doute, encore une gêne thoracique résiduelle.
Du coup je me pose aussi la question. Si je reste en vie et qu'on me fait éventuellement un test de dépistage, on saura.
...ou bien ça n'a pas été le virus, je suis donc une personne hyper vulnérable, et j'ai des chances de passer à la cadreuse au prochain coup de marée, ou bien ça a été le virus, ma santé de fer l'a flingué en y laissant quelques plumes dans l'offensive, et je suis donc à l'abri.
C'est un peu le Salaire de la peur. Mais sans salaire. Et sans peur non plus.
rennois a écrit:J'aurai dit l'inverse
Coronavirus : Des professionnels botswanais demandent l’extension de la saison de chasse
TOURISME « Beaucoup de clients chasseurs », venus pour tuer éléphants et léopards « ne peuvent pas voyager à cause des restrictions de voyage en place » a expliqué une association
« nombreuses annulations et nombreux reports » de réservations. « Beaucoup de clients chasseurs », venus essentiellement d’Europe et des Etats-Unis pour tuer éléphants, léopards, buffles, autruches ou zèbres, « ne peuvent pas voyager à cause des restrictions de voyage en place », a-t-elle souligné. « Arriver au Botswana par un vol commercial en provenance d’un de ces pays est impossible », a-t-elle expliqué.
Le Monde a écrit:Le confinement généralisé de la population en France, après l’Italie et l’Espagne, rend perplexes les pays développés d’Asie. Ceux-ci voient tout à coup des sociétés aux économies sophistiquées n’avoir comme seule solution pour contrer l’explosion des contaminations que de recourir à une méthode primitive, au coût économique immense, que seule la Chine autoritaire, la première touchée par l’épidémie, a dû mettre en œuvre.
En serions-nous arrivés là si nous n’avions pas regardé de haut les mesures prophylactiques mises en place par les tigres asiatiques ? Celles-là même qui ont permis à Taïwan, Hongkong, la Corée du Sud et Singapour, et aussi, jusqu’à aujourd’hui le Japon, de se protéger d’une propagation exponentielle du virus. Voire, comme pour la Corée du Sud, de la juguler.
Une telle riposte, aux allures de ratage, laisse aujourd’hui un goût amer à ces pays qui doivent désormais se barricader contre l’arrivée de personnes infectées, venues non plus de Chine directement, mais de pays contaminés dans un deuxième temps.
Tous ces Etats asiatiques ont tiré des leçons de l’épisode de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) survenu en 2003, du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) en 2015 et de plusieurs accès de grippe aviaire. Les aéroports de la région s’étaient alors dotés de caméras infrarouges mesurant la température des passagers, une mesure écartée en France au prétexte que « son efficacité n’est pas prouvée ». Les voyageurs ont pris l’habitude de remplir des formulaires de santé pour les remettre à des préposés en blouse blanche.
Face à l’épidémie de Covid-19, ces protocoles ont été très vite activés et enrichis de nouveaux dispositifs, afin d’établir la traçabilité des personnes déclarées plus tard infectées. Des mises en quarantaine ont ciblé les individus venant de zones infectées, ainsi que des restrictions à l’entrée du territoire – du moins à Taïwan, Hongkong et Singapour.
La mise à disposition de gels hydroalcooliques dans les lieux publics et la désinfection régulière des surfaces ont été la règle depuis le début. Enfin, les gouvernements se sont vite assurés que des masques étaient disponibles – tout en en réservant suffisamment, et de qualité supérieure, au personnel médical. Certains pays comme la Corée du Sud ont misé sur le dépistage massif, avec succès.
Mode de confinement ambulant
En France, comme dans le reste du Vieux Continent, cette chaîne prophylactique est largement incomplète, du moins vue d’Asie. Ainsi du port préventif du masque, qui n’est autre qu’un mode de confinement ambulant et individuel très largement présent dans la panoplie de la région.
A Hongkong, le microbiologiste Yuen Kwok-yung qui conseille le gouvernement de la région autonome et a fait partie de la délégation de scientifiques qui a visité la ville chinoise de Wuhan en janvier, épicentre de l’épidémie, a immédiatement préconisé le port « universel » du masque du fait des caractéristiques du virus, très présent dans la salive : pour se protéger soi, mais aussi les autres, en raison de la contagiosité de personnes asymptomatiques ou ressentant peu de symptômes.
Le masque relève en Asie du « bon sens » : une rame de métro bondée où des gens discutent entre eux, soupirent et toussent est le scénario idéal de propagation de l’infection. Dans les villes chinoises, il est ainsi devenu au plus fort de l’épidémie interdit de se déplacer sans masque – ce qui a permis d’autoriser les sorties, tout en régulant leur fréquence au niveau de chaque immeuble. « Vous voulez stopper l’épidémie ? Mettez un masque ! », a lancé Hu Shuli, la fondatrice du site d’information chinois Caixin, dans un édito daté du 19 mars à l’attention des Occidentaux.
Née il y a des décennies au Japon, où c’est une politesse pour les gens se sentant malades d’en porter, la culture du masque s’est généralisée lors de la crise du SRAS dans toute l’Asie du Nord-Est. En Chine, la pollution de l’air en a fait un attribut normal du citadin, qui en fait des réserves chez lui.
Aussi, les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), reprises par les pouvoirs publics en France, de n’en porter que si l’on est « malade » ont dérouté en Asie, tout comme l’argument selon lequel les différentes normes de masques rendent compliquée son utilisation.
Résultat du déni initial
Cela a nourri une culture du déni, et du dénigrement : des vidéos d’incidents montrant des Asiatiques conspués précisément parce qu’ils portaient des masques dans le métro à Paris ont profondément choqué en Asie. Comme le fait que le personnel en contact avec le public français – les policiers, les caissières, les serveurs et le personnel médical non urgentiste – susceptible de propager le virus n’en porte pas. Le port de masque est même parfois proscrit pour le personnel de vente en France par crainte de « faire fuir le client » – l’inverse de l’Asie où un vendeur sans masque indispose.
L’autre argument mis en avant en Europe est de prévenir la pénurie de masques pour le personnel médical. Or, celle-ci a bien lieu, alors que la Chine a rétabli ses stocks et souhaite en livrer aux Etats européens. Les pays d’Asie ont connu des difficultés d’approvisionnement en masques en janvier. La Corée du Sud a mis en place des mesures de rationnement. D’autres ont dopé leurs productions face à la demande.
A Hongkong, des fabriques ont surgi pour en confectionner. A Taïwan, des associations industrielles ont uni leurs forces pour monter soixante lignes de production en un mois. En Chine, General Motors et le constructeur de voitures électriques BYD ont décidé d’en fabriquer en masse. Une réponse dans l’urgence en forme de leçon pour l’Europe.
Bonjour, est il autorisé de faire des fêtes chez soi tard le soir et en compagnie de plusieurs jeunes qui n'habitent pas ensemble ?
-Dou
Cher Dou,
La plupart des questions reçues sur ce live appellent de longues réflexions et des recherches poussées, aussi aimerais-je vous féliciter pour la vôtre qui me permet de vous répondre, très clairement :
Non.
Bon dimanche tout de même.
Bonjour, je commence à me demander comment je vais réussir à trouver un substitut à vos lives lorsque tout cela sera terminé.
-Addict
C'est très simple : lorsque tout ceci sera terminé, les lives sport pourront reprendre.
rennois a écrit:Jusque là, j'étai fataliste. Depuis ce matin, j'ai sérieusement les boules de devoir de nouveau me retrouver dehors demain matin, à cotoyer des gens hors ma maison
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