Busch a écrit:azertyuiop1 a écrit:Busch a écrit:3. Si un gros collectionneur a envie de mettre en vente tout ou partie de sa collection, c'est son droit, il n'a pas à demander l'autorisation de l'auteur.
Certe mais c'est le rôle de la maison de vente de se renseigner sur la possibilité de la mettre en vente publique. Et si l'auteur est vivant ce n'est pas très difficile, surtout quand un proche de la maison de vente est un proche de l'auteur. Je pense que c'est ce que Buzz reproche, le manque de boulot préalable. En principe quand une maison de vente fait une VEP on ne doit plus avoir à se poser ce genre de questions.
Je trouve que tu retournes le problème en 4), ce n'est pas à l'auteur de faire attention à ce qu'il se vend mais à la maison de vente de faire attention à ce qu'elle vend.
Quoiqu'il en soit, à moins qu'Uderzo ne reconnaisse clairement et publiquement son erreur, si erreur il y a, ces pièces me paraissent maintenant invendables. Qui prendrait le risque d'acheter des planches plus ou moins douteuses ? Si j'étais le vendeur, et si j'étais parfaitement de bonne foi, je ne serai pas très content du manque de professionnalisme de la maison de vente qui a grillé ces planches.
Dans le 4, ce que je veux dire, c'est qu'en voyant le catalogue, 'il' pouvait empoigner son téléphone et voir avec le galeriste d'abord mais on a été à l'intimidation tout de suite.
Résultat des courses: il ne récupère pas ses oeuvres et nous on ne peut pas les acheter...
Tout le monde est baisé et c'est très con.
La famille Uderzo va faire en sorte que ces œuvres de jeunesse devenues invendables réintègrent la future fondation Uderzo dont Sylvie Uderzo sera la ( redoutable

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