Putain, vous vous mettez à deux pour me gâcher ma soirée, là....
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D'abord, le gag Franquin avec les chevaux dans le bureau.... je trouve les (le, me souviens plus) chevaux à tomber... C'est un souvenir, pas revu depuis longtemps, et c'est juste là qu'habite la légende (là je fais dans l'ésotérique à la brésilienne, et donc vous avez tous le droit de m'insulter...) qui pour moi sonne comme une des plus magistrale image de
bourrins de mon imaginaire bédéesque..... Donc, là, jf, tu me troue le cul... J'ai pas trouvé plus précis comme expression....
Concernant les bourrins d'Uderzo, bon ben là je crois qu'on doit être raccord....
Le vrai débat, c'est qu'un bourrin c'est pas fastoche à dessiner. Et la plupart des dessinateurs rament à mort, voir pire....
J'ai pu noter que certains
bédégéistes considèrent certains dessinateurs comme bons dans l'exercice pas facile du cheval, et à mon sens, se gourrent complètement. Ils se gourrenlaxent (contraction de se gourrer et lacsisme) à priori parcequ'ils ne ce sont pas vraiment penchés sur le problème....
L'art de dessiner un cheval serait-il un élément majeur de l'art du dessin ? J'ai aussi remarqué (mais ce n'est qu'une analyse personnelle) que les dessinateurs ayant une très forte base académique, donc surtout les
latinos espagnols, italiens, argentins, etc... se sortent mieux que les autres de cet exercice casse-gueule....
Bon, je sens que je pourrais encore faire 20 paragraphes qui feraient chier tout l'monde, donc je vais, peut être, ouvrir le topic "l'art de dessiner le cheval en BD"....
vais encore me faire insulter....