Questions à pifouboy
(mais si d'autres membres sont en mesure de répondre sans dévoiler des informations devant demeurer strictement confidentielles, leurs réponses seront les bienvenues) :
1 - ) Depuis la sortie du premier tome de Lucky Luke (
"Les Rivaux de PG"), l'annonce au 2e plat de couverture
(qu'on appelait naguère le 4e plat ) des prochains titres à paraître s'est toujours transformée concrètement par la parution des albums mentionnés, et cela dans l'ordre initialement indiqué.
Pour la première fois donc, depuis le lancement de cette série d'albums en noir et blanc par B&W, le 2e plat du nouvel opus dont la mise en vente est imminente (
"Le Juge") contredit l'annonce figurant au 2e plat du dernier paru (
"En remontant le Mississipi"),
"Calamity Jane" venant désormais remplacer
"Les Collines noires" dans les futures parutions.
Ce changement intervient-il pour des raisons techniques, puisqu'on évoque depuis quelques pages la difficulté pour B&W d'exploiter correctement certains films de qualité médiocre proposés par l'éditeur d'origine ? Ou bien d'autres raisons sont-elles à l'origine de ce choix ?
2 - ) Jusqu'à présent, B&W a été en mesure de proposer en couverture, pour chaque titre paru, un dessin au trait en noir et blanc. B&W n'a pas trop axé sa communication et sa publicité autour de cette particularité. Pourtant, il serait légitime de le faire.
L'éditeur d'origine dispose-t-il du matériel permettant de publier tous les titres avec une pareille maquette ? On peut supposer qu'il s'agit d'un critère déterminant pour B&W qui a adopté une maquette esthétique permettant aux amateurs de découvrir des détails souvent absents des albums courants et même des éditions originales ?
Pour ceux qui ne saisiraient pas le sens de ma question, quelques visuels permettront de mieux piger mon propos.
Concernant le trait encré :
Regardez sur ces deux couves, les boucles et molettes dentées d'éperons des Dalton ou encore les bretelles ! Aucun trait à l'encre délimitant les contours de ces accessoires vestimentaires n'est visible sur la splendide gouache de Morris pour l'album des éditions Dupuis. Inversement, Morris n'a pas matérialisé la couture des pantalons (toile extérieure et revers) sur son dessin au trait. En vous attardant dans la comparaison, vous en découvrirez d'autres, forcément. Nous sommes en présence de deux originaux : l'un au trait, à l'encre de Chine ; l'autre à la gouache.
Concernant des détails (non visibles sur une couverture d'eo) : Jetez un coup d'œil sur la balustrade et la fenêtre à l'étage. L'ouverture apparaît dans sa totalité sur la couve de l'album B&W.