toque a écrit:J'aime bien Muse aussi. Du moins jusque Black Holes and Revelations.
Par contre coldplay non. Faut pas déconner non plus.
Après je connais des mecs qui ont écouté Yes, donc bon ...
HOCHET Gabriel a écrit:Owner of a Lonely Heart.… c’est caca ??…….
Olaf Le Bou a écrit:euh... si vous le dites a écrit: ce pouvoir de l'immédiateté, cette sensation de vivre pleinement, passionnément et exclusivement avec ce qui se fait dans l'instant présent, ça reste marqué à jamais, d'autant plus que c'est vécu à une période, l'adolescence, où ce qui se vit se marque avec le plus d'intensité.
voilà un truc que je n'ai jamais connu, j'ai toujours été décalé, dans les années 70 je n'écoutais que de la chanson des années 60 (Brel, Ferré, Ferrat, etc), dans les années 80 j'écoutais essentiellement des trucs des 70's (Leonard Cohen, Rainbow, Pink Floyd), de la musique classique, et du metal. Et fin eighties je suis passé directement aux musiques traditionnelles et au jazz.
ah, si, la seule fois où j'ai été un peu en phase avec l'effervescence du moment c'est toute la période indy française, autour de Bondage record et Boucherie Prod.
Olaf Le Bou a écrit:pareil que toque, j'aime bien les premiers Muse, mais j'ai toujours détesté Coldplay. Et Oasis. Et Blur.
euh... si vous le dites a écrit:Olaf Le Bou a écrit:euh... si vous le dites a écrit: ce pouvoir de l'immédiateté, cette sensation de vivre pleinement, passionnément et exclusivement avec ce qui se fait dans l'instant présent, ça reste marqué à jamais, d'autant plus que c'est vécu à une période, l'adolescence, où ce qui se vit se marque avec le plus d'intensité.
voilà un truc que je n'ai jamais connu, j'ai toujours été décalé, dans les années 70 je n'écoutais que de la chanson des années 60 (Brel, Ferré, Ferrat, etc), dans les années 80 j'écoutais essentiellement des trucs des 70's (Leonard Cohen, Rainbow, Pink Floyd), de la musique classique, et du metal. Et fin eighties je suis passé directement aux musiques traditionnelles et au jazz.
ah, si, la seule fois où j'ai été un peu en phase avec l'effervescence du moment c'est toute la période indy française, autour de Bondage record et Boucherie Prod.
C'est bien pour cela que j'insiste sur le côté essentiel du parcours individuel de chacun.
Moi, avant l'adolescence, je ne garde rien.
Mes parents écoutaient peu de musique et ce qu'ils écoutaient ne m'intéressait pas du tout. Je suis l'aîné donc pas de grand frère ou de grande soeur pour me faire écouter ce qu'ils aiment. Mes goûts à moi n'ont, eux aussi, à l'époque aucun intérêt.
A l'adolescence, je suis tombé dans la marmite du post-punk et du punk et ça a été l'électrochoc. Mon univers musical s'est construit à cette époque contre les goûts de mes parents. Ca a été une ébullition qui a rayé de la carte tout ce qui précédait, complètement en phase avec la tabula rasa du punk.
En résumé, c'était : post-punk à fond, les hardos c'est des craignos, la variétoche, c'est pour les minets et l'histoire du rock ça n'existe juste pas. C'était ça mon quotidien dans ces années qui ont construit mon rapport à la musique.
Après, ça n'empêche pas qu'aujourd'hui, sur une ile déserte, je prendrais plein de Schubert et certainement pas de Sex pistols...
euh... si vous le dites a écrit:C'est bien pour cela que j'insiste sur le côté essentiel du parcours individuel de chacun.
Moi, avant l'adolescence, je ne garde rien.
Mes parents écoutaient peu de musique et ce qu'ils écoutaient ne m'intéressait pas du tout. Je suis l'aîné donc pas de grand frère ou de grande soeur pour me faire écouter ce qu'ils aiment. Mes goûts à moi n'ont, eux aussi, à l'époque aucun intérêt.
A l'adolescence, je suis tombé dans la marmite ...
euh... si vous le dites a écrit:C'est bien pour cela que j'insiste sur le côté essentiel du parcours individuel de chacun.
pabelbaba a écrit:Caca c'est pas assez fort.
On est plus sur le truc de tricératops dans Jurassic Park.
Pouffy a écrit:euh... si vous le dites a écrit:C'est bien pour cela que j'insiste sur le côté essentiel du parcours individuel de chacun.
J'ai grandi en écoutant le TOP50, donc essentiellement de la new wave commerciale. Mon père à apporté ensuite quelques éléments fondateurs : Renaud, Brassens, Clapton, Django, Pink Floyd... et ensuite ça roule.
J'écoute de la musique comme je lis de la BDs... c'est à dire de tout et beaucoup. J'ai une préférence, notamment en live, pour tout ce qui est metal... et globalement tout ce qui a du caractère (en gros j'ai du mal avec la variété française).
Je me souviens qu'en octobre 2019 en à peine 2 jours, je me suis battu pour avoir des places pour Céline Dion (veilles charrues), le Hellfest et Don Giovanni à Garnier. L'année d'avant j'avais enchainé Iron Maiden à Bercy et Juliette dans un petit festival.
Brian Addav a écrit:Je poste juste un gros drapeau, mais a priori j'ai dû vivre dans un monde parallèle dans les années 2000, tant après la vague Brit Pop initiée par Morissey, portée au firmament par Blur, Oasis et autre Shed Seven, pour moi le rock c'était dans des genres très différentes Make Up et International Noise Conspiracy.
Le dernier truc qui aurait pu être grand étant Matchbox.
Du coup je vais essayer de vous suivre même si je connais pas 4/5 des noms cités
Pouffy a écrit:La vague brit'pop c'est le milieu des années 90 donc entre le grunge et le retour du garage-punk. D'ailleurs on colle souvent The Libertines dans la Brit'pop alors que pour moi ça va plutôt dans la deuxième case. Oui je sais les cases, les étiquettes c'est mal.
pabelbaba a écrit:
T'enchaînes : Votre fille a 20 ans, la Dernière Séance et la Nuit Je mens, ça fait autre chose que d'écouter Ol Dirty Bastard.
euh... si vous le dites a écrit:Une aversion profonde pour cette musique, née d'une opposition frontale entre deux groupes de fans de musique qui se détestaient.
euh... si vous le dites a écrit:Tiens sinon, je ne sais pas si vous avez des enfants et si oui quel âge ils ont mais l'effet que ça me fait avec mes filles c'est qu'au fur et à mesure qu'elles grandissent, ça me fait replonger dans des émotions qui correspondent à celles que j'avais à leur âge.
Là, avec la plus grande, je me revois à l'âge de 15 - 16 ans, et ça fait tout drôle parce que c'est l'âge où j'ai basculé musicalement.
Il y a quelques jours, elle m'a même demandé si on pouvait aller voir IAM ensemble...
Depuis, je me repasse en boucle L'école du micro d'argent.
J'ai jamais trop adhéré au rap français mais putain d'album quand même.
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