Bon voila le dernier morceau du scénar, avec les modif, demandées. On parle plus de la tempete dans les souvenirs de fidriane (elle a oublié) et elle s'en va sans rien dire a la fin
A son réveil, Fidriane se trouvait sur son lit, dans sa propre chambre. Sa tête lui faisait horriblement mal, mais cela semblait s'atténuer doucement. Elle s'assit sur le bord du lit et tenta de se remémorer les événements précédents son "absence" : la mort de son père, les soldats, l'Assassin, l'enfant étrange… La mort de son père… Avant qu'elle ne s'en aperçoive des larmes coulaient le long de ses joues pour tomber sur le plancher. Sa tristesse fut vite remplacer par son désir de vengeance. L'Assassin ! Le retrouver et lui faire payer ! Elle se leva décidé.
Elle trouva son carquois et son arc près de la porte, ainsi que sa ceinture avec sa dague sur la commode, sans doute posés ici par les mêmes personnes qui l'avaient déposée elle.
En sortant de sa chambre, elle se trouva face à la porte de celle de son père. Des voies venaient de la pièce commune sur sa gauche, mais elle n'y prêta pas attention. Elle pénétra dans la chambre, et ne fut pas surprise de trouver le corps de son père sur le lit. Bien qu'il soit recouvert d'un linge sur sa partie supérieur, elle n'eu aucun mal à reconnaître les bras qui l'avaient serrer si souvent. Elle s'approcha et se pencha lentement au dessus de lui.
Tout leurs souvenirs commun défilaient dans sa tête. Elle recommença a pleurer. Son regard tomba sur la dague qu'il portait à la ceinture. Sans doute son objet le plus précieux car seul souvenir de sa défunte femme. En sortant la dague de son fourreau, elle fit un serment silencieux à son père : celui de lui ramener sa dague, une fois qu'elle l'aurai plongé dans le cœur de son meurtrier. La dague de sa mère l'aiderai à venger son père. Reculant vers la porte, elle regarda une dernière fois son père avant de sortir. Glissant l'arme dans la cache à l'intérieur de son carquois, elle se dirigea vers la fenêtre et l'ouvrit sans bruit. Les voies qu'elle avait entendu dans la pièce commune étaient celles du forgeron et du guérisseur du village. C'était sans doute eux qui les avaient amenés elle et son père jusqu'à la maison. Elle ne voulait pas les affronter maintenant. De toute façon elle savait ce qu'ils allaient lui dire. En attaquant les gardes, elle s'était opposée à la volonté de l'armée, et du coup elle serai sûrement recherchée pour être exécutée. Elle devait donc quitter le village pour ne pas les mettre en danger en restant avec eux.
Sortant silencieusement par la fenêtre, elle se dirigea vers le coté de la maison, où étaient attaché les chevaux. Zéphir, l'étalon de son père était là, déjà sellé. Sans se poser de question, elle grimpa sur le dois de l'animal et le fit partir au triple galot sur le petit chemin qui menait à la sortie du village, et de là emprunta la route menant à la cité.