kilfou a écrit:Décès d'Harlan Ellison, qu'avait adapté Corben dans Vic & Blood (A boy and his dog)
wormy a écrit:Ils ont du retard par rapport aux dates annoncées au départ, je me suis renseigné auprès de delirium comme je dois partir bientôt en vacances. J'ai du changer mon adresse de livraison
Certains d'entre vous ont déjà commencé à recevoir leur coffret et d'autres l'attendent toujours. Rassurez-vous, le fichier d'envoi est en cours de traitement, et tous les envois devraient être finis d'ici la fin de la semaine ou le tout début de la semaine prochaine, au plus tard.
alacoume a écrit:Je viens de lire les 8 tomes de Den et outre le fait que se soit excellent, je suis surpris que le tome 4 de la saga soit en fait le début de l’histoire qui se continue dans les 2 tomes de la quête et que cette dernière n’y trouve pas sa conclusion. Du coup, l’histoire est inachevée et c’est dommage...
cicerobuck a écrit:Bien d'accord avec l'Aigle.
Après, Den, c'est vraiment une oeuvre de son temps : je me rappelle le choc visuel éprouvé dans les années 80, mais franchement, ça à depuis perdu pas mal de son impact, c'est un bête récit de fantasy/SF un peu bizarre, avec des boobs et des bites. D'ailleurs, Corben ne s'y est pas trompé, puisqu'il est depuis revenu à du noir et blanc assez traditionnel, parfois coloré par d'autres avec talent. Dans les années 70-80, il était dans l'expérimentation, un des premiers à tâter les couleurs assistées par ordinateur, ainsi qu'à développer des technique de photomontage et d'impression artisanales inédites mais parfois foireuses.
Corben à signé bien des récits plus intéressants que Den, que ce soit scénaristiquement ou/et visuellement. Mais Den conserve une aura, un peu comme Druuna (de la même époque et aux thématiques désuètes similaires), un coup d'éclat ayant marqué la rétine de 2-3 générations, hors toutes considérations paluchardes (ce fut manifestement un plus pour certains). De toute manière, si tu aimes Den, c'est que tu aime Corben, un de ces rares artistes qui pourrait illustrer Buffy (il l'as fait sur quelques pages de la série régulière!) et nous passionner, ou du moins satisfaire notre addiction d'un bref shoot d'ombres et lumières, de formes rebondies et décrépies.
Car c'est ça en fait Corben, une représentation idéalisée du corps, dans toute sa splendeur athlétique, au top de ses capacité reproductives, et puis parallèlement dans toute sa décadence et décrépitude. C'est surtout cette opposition qui fascine, je pense. C'est un peu la rencontre de Leni Riefenstahl et Lovecraft, avec une touche pathétique salvatrice. Car oui, ce n'est jamais gai les BD d Corben, c'est même toujours légèrement déprimant, un peu comme sa vie, cet espèce de nerd mochdingue et rachitique qui s'est mis à la fonte pour combler un manque (Den c'est lui), mais qui se rends bien compte du ridicule de l'affaire...
HOCHET Gabriel a écrit:Ça commence à me faire chier, ça.....
J’ai l’impression (extrèmement désagréable) de découvrir à chaque mois (non, allez, trimestre) des trucs de CORBEN que je ne connaissais pas.....
Me lancerais-Je un jour dans une “chasse“ exhaustive ? Qui me couterais un bras.... Qui sait.....
Fait chier.......
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