Busch a écrit:Et il va pouvoir le revendre très cher chez Artcurial ou chez Millon...
jfmal a écrit:Tout compte fait, je crois que je vais l'acheter cette intégrale Blueberry HACHETTE...
C'est qu'ils viennent bien involontairement de nous éditer le collector ultime
stephane_ a écrit:En attendant si le fan sincère qu'est Pascal touche des royalties, ce sera tant mieux pour lui
Brian Addav a écrit:stephane_ a écrit:En attendant si le fan sincère qu'est Pascal touche des royalties, ce sera tant mieux pour lui
En plus c'est le mec qu'avait pondu le site des amis de Spirou à une époque, et c'était bien. Voilà.
guigoune a écrit:En revanche pour de l'édition papier il est difficile de trouver un visuel en haute définition qui puisse permettre de faire une pleine page...
stephane_ a écrit:guigoune a écrit:En revanche pour de l'édition papier il est difficile de trouver un visuel en haute définition qui puisse permettre de faire une pleine page...
Remarque judicieuse !
Ceux qui ont ce magnifique album pourraient nous dire si ça pixelise ?
stephane_ a écrit:Remarque judicieuse !
Ceux qui ont ce magnifique album pourraient nous dire si ça pixelise ?
Edhral a écrit:stephane_ a écrit:Remarque judicieuse !
Ceux qui ont ce magnifique album pourraient nous dire si ça pixelise ?
Ton mépris pour les acheteurs de l'album mis de côté, je vais répondre... Non, pas un poil de pixelisation. Hormis le visuel erroné - et je ne minimise pas l'erreur d'Hachette -, l'objet est parmi les mieux fabriqués que j'ai, et j'ai plusieurs milliers de bouquins chez moi.
stephane_ a écrit:Quant à mon mépris (décidément c'est un festival) je n'en ai pas. Je ne tiens pas dans mon estime ces collections au rabais et surtout leur système de marketing à la noix, mais je n'ai jamais rien dit sur les gens qui les achetaient, donc on arrête les fantasmes stp
stephane_ a écrit:Dire que quelqu'un s'est fait pigeonner c'est loin d'être du mépris.
Cela étant précisé, je veux bien m'expliquer sur le rejet que j'éprouve pour Hachette (s'agissant de ces collections) et France Loisirs.
Je fais succinct.
Un éditeur accompagne des auteurs, mise sur eux en espérant rentabiliser son investissement.
Il y a donc un risque financier, justifié par "l'oeil" d'un directeur éditorial. De la pertinence de son choix, de sa propension à le défendre : et le titre marchera ou pas.
Nombre de jeunes auteurs arrivent donc dans la profession par ce biais, en étant défendu et soutenu par leurs éditeurs respectifs.
Bien entendu, le succès n'est pas toujours au rendez vous mais les succès des uns financent les échecs des autres.
Ensuite, c'est aussi aux libraires de prolonger (ou non) la démarche de l'éditeur.
Dans les cas qui nous occupent, les libraires ne sont déjà plus de la partie mais laissons de côté cet aspect "sabordage de la chaîne du livre" (la plupart d'entre vous est déjà convaincue de l'utilité de cette chaîne pour la santé de la production éditoriale)
Ce qui me fait dire que c'est de l'édition au rabais (j'entends les arguments sur la qualité de la fabrication elle même), c'est que ces éditeurs n'ont jamais fait émerger un seul talent, ils volent simplement au secours du succès, sûrs de rentabiliser leur investissement (de par leurs fameux test pour Hachette).
Voilà, éditeur, c'est un métier de gens qui savent évaluer un livre (ils peuvent aussi se planter !) et qui prennent des risques, et qui défendent l'émergence de talents, et occupent une place prépondérante dans la chaîne du livre.
Ceux qui ne font pas ça ne font, à mes yeux, que du parasitisme éditorial.
stephane_ a écrit:Un éditeur accompagne des auteurs, mise sur eux en espérant rentabiliser son investissement.
Il y a donc un risque financier, justifié par "l'oeil" d'un directeur éditorial. De la pertinence de son choix, de sa propension à le défendre : et le titre marchera ou pas.
Nombre de jeunes auteurs arrivent donc dans la profession par ce biais, en étant défendu et soutenu par leurs éditeurs respectifs.
Bien entendu, le succès n'est pas toujours au rendez vous mais les succès des uns financent les échecs des autres.
Ensuite, c'est aussi aux libraires de prolonger (ou non) la démarche de l'éditeur.
Dans les cas qui nous occupent, les libraires ne sont déjà plus de la partie mais laissons de côté cet aspect "sabordage de la chaîne du livre" (la plupart d'entre vous est déjà convaincue de l'utilité de cette chaîne pour la santé de la production éditoriale)
Ce qui me fait dire que c'est de l'édition au rabais (j'entends les arguments sur la qualité de la fabrication elle même), c'est que ces éditeurs n'ont jamais fait émerger un seul talent, ils volent simplement au secours du succès, sûrs de rentabiliser leur investissement (de par leurs fameux test pour Hachette).
Voilà, éditeur, c'est un métier de gens qui savent évaluer un livre (ils peuvent aussi se planter !) et qui prennent des risques, et qui défendent l'émergence de talents, et occupent une place prépondérante dans la chaîne du livre.
Ceux qui ne font pas ça ne font, à mes yeux, que du parasitisme éditorial.
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