Bon... finalement le gars arrive jusqu'à son abri...
Il tapa le code, entra et referma la porte sur une autre nuit gelée.
L'éclat des lampes, qui s'étaient allumées automatiquement dès l'ouverture de la porte, s'avéra douloureux après la pénombre de la nuit de Gelgaris. Il dut garder les yeux fermés quelques instants, puis laissa tomber ses gants en entrant dans la chaleur de l'abri.
Ah il entre 2 fois alors...
Mais son calvaire n'est pas fini...
Un minuscule décipède, bleu luisant (il se demandait souvent comment ils parvenaient à survivre alors qu'aucune autre espèce n'en était capable, mais cette question était à poser à un entomologiste), s'était faufilé sur ses dix pattes...
Déjà vous notez la longueur de la parenthèse... Mais surtout, si "aucune autre espèce" n'est capable de survivre, ben... c'est juste qu'il n'y a PAS d'autre espèce.
(sauf que quelques lignes plus loin l'auteur parle d'autres insectes qui vivent là, ce qui rend le truc ridicule, et vous aurez aussi noté la longueur de ma parenthèse)
Comme tout le monde, de retour chez lui, le gars va vérifier s'il a des messages sur son répondeur...
Un voyant rouge clignotait sur la console.
Les yeux bleus de Jake clignèrent; il ne savait si cette lueur était réelle ou s'il ne s'agissait que d'une agréable hallucination provoquée par le décipède.
Non, elle était réelle, et scintillait vivement comme celles des arbres de Noël des beaux quartiers de Tarsonis, à l'époque où Tarsonis existait encore.
Deux maladresses... La rpétition "clignoter" et "cligner"; et puis la lueur au singulier qui scintille comme "celles" au pluriel.
Et puis je ne sais pas ce qu'il a comme répondeur, mais comparer ça à des sapins de Noël, il doit y avoir un truc !!!
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti !... Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !...