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[Corto Jyl]

Message précédent :
Trouvé dans une brocante; Histoire du socialisme de 1789 à 1945 de Paul Louis - 4ème édition 1946



C'est une très bonne synthèse, éclairante et facile à lire.

[zanzibar]

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Le récit est éclaté du au fait que tout le livre est sous forme d'interview après les évènements, mais c'est vraiment très malin.
Bon, et franchement en terme d'adaptation le film avec le blondinet est honteux, mais le livre est vraiment très chouette et plein d'humour bien noir.
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[MLH]

Un ouvrage très bien documenté qui trace des portraits détaillés de la "France" (du/des royaume(s) des francs) à différentes époques de 480 et 1180 : évolution du tissu social, juridique, religieux, urbain, des liens de vassalité,... c'est très riche en informations.

[toine74]

Premiers romans de Vargas, tout n'est pas encore en place, mais le soucis pour des intrigues finement construites est déjà là.

[BOBetBOBETTE]

JE SUIS TOMBÉ LÀ-DESSUS: J'EN CONNAIS AUCUN, JE CROIS:

En 2012, le site The Millions, spécialisé en littérature, avait dressé un top 10 des livres les plus difficiles à lire. De grands classiques dont il est difficile de venir à bout, et en cette période estivale souvent riche en lecture, nous vous mettons au défi. Ah les vacances d'été ! Nous voici enfin à cette période de décompression où vous avez tout de même pris le pari de vous cultiver et de dévorer des pavés de littérature, histoire de ne pas bronzer idiot. Vous savez, ces oeuvres classiques "à lire absolument", abandonnées après quelques dizaines de pages, avec l'ennui et l'embarras de ne pas parvenir à rester suffisamment concentré pour aller plus loin. Ce qui poussera certains à se réfugier dans les méandres sirupeux de quelques Musso, Levy, ou Fifty Shades of Grey de E.L. James, soulagés de retrouver un style et des intrigues plus minimalistes et accessibles. Serez-vous "supérieur à l'Homo Sapiens" ? Ces livres quasiment impossibles à lire, Emily Colette Wilkinson et Garth Risk Hallberg, deux critiques littéraires du site The Millions, ont mis pas moins de trois ans avant de pouvoir les lister. Au final, ils sont parvenus à dresser un top 10, sélectionnés de par "leur longueur, leur style, leur étrange structure, leur technique expérimentale ou leur abstraction". Voici la liste de ces "monts Everest littéraires", accompagnés de brefs résumés au cas où vous vous seriez d'humeur audacieuse cet été. A noter que leur lecture est tellement complexe que les critiques eux-mêmes reconnaissent que "si vous pouvez lire les dix, vous êtes probablement supérieur à l'Homo Sapiens."
Top 10 des livres les plus compliqués à lire

1. Le bois de la nuit, de Djuna Barnes : Ce livre publié en 1936 raconte l'histoire de Robin Vote, une femme qui épouse un baron vénal et finit par vivre une relation amoureuse homosexuelle. Le livre ne fait que 180 pages, idéal pour commencer le top 10 donc. Par contre, sachez que si son écriture est un travail d'orfèvre, il peut en émaner un ennui profond dû à une histoire qui traîne en longueur et lestée d'emphases métaphoriques qui peuvent rapidement épuiser.

2. La veillée des Finnegan, de James Joyce (1939) : Attention, celui-ci est particulièrement rude. Suivant une théorie cyclique de l'histoire, la première phrase commence sur la dernière page et la dernière phrase se termine sur la première page pour faire du livre un cycle. Le concept est séduisant mais, mêlant plusieurs langues, ce livre est réputé pour être incroyablement complexe à finir. Son traducteur en français, Philippe Lavergne, a mis vingt ans à retranscrire le texte après avoir eu un coup de foudre à l'âge de 17 ans... Une anecdote qui en dit long sur la difficulté de l'oeuvre.

3. Le conte du tonneau, de Jonathan Swift (1704) : Premier roman important de l'auteur des Voyages de Gulliver, il s'agit d'une satire de la stupidité de son temps, mélangeant digressions humoristiques et les aventures de trois frères. L'enchevêtrement des styles et des histoires en feraient un livre particulièrement complexe à suivre.

4. Être et Temps, de Martin Heidegger (1927) : Considérée comme l'oeuvre majeure du philosophe Heidegger, cette dernière recèlerait de néologismes indigestes pour décrire une nouvelle pensée scientifique de l'"être". Si Garth Risk Hallberg dit que ce livre aura changé sa vie, il signale qu'il a mis pas moins d'un an avant d'en venir à bout.

5. La phénoménologie de l'esprit, de Hegel (1807) : Ce livre est un monument prépondérant de la philosophie moderne, réfutant l'idéalisme Kantien pour esquisser une anatomie de la conscience, du savoir et de l'esprit, décryptant également les processus dialectiques. La densité théorique de l'ouvrage est conséquente et ne saurait être décrite en quelques lignes. Bref, l'oeuvre est passionnante, profonde, mais l'étendue du sujet et les terminologies sont plutôt incompréhensibles sans une formation préalable ou quelques guides annexes d'explications.

6. La Reine des fées, d'Edmund Spenser (1590) : Un poème épique en six livres aux strophes finement ciselées, mettant en scène des chevaliers symbolisant tous une vertu particulière. Mais il devient rapidement interminable à cause de son trop-plein allégorique, le style archaïque et tortueux ainsi que l'enchaînement imprévisible des péripéties jouant beaucoup sur les basculement passé/futur.

7. La promenade au phare, de Virginia Woolf (1927) : Racontant l'histoire de la famille Ramsay lors de leurs visites sur l'île de Skye, en Ecosse. Ici, l'intrigue s'efface derrière l'introspection philosophique. Surfant sur le courant de conscience, il est compliqué de savoir qui dit quoi, qui est qui, le rythme est décousu et les critiques signalent qu'il faut faire abstraction de soi pour saisir l'oeuvre et être capable de tourner les premières pages. Un beau livre en forme de défi en quelques sortes.

8. The Making of Americans, de Gertrude Stein (1925) : Un roman léger de plus 1000 pages, parfait pour les voyages en somme. On ne tarit pas d'éloges à propos de ce livre qui sublime le réel, offrant une réflexion sur le sensible et sur l'écriture de l'oeuvre en elle-même. Cependant, le style est tellement pesant qu'une page peut prendre plusieurs longues minutes pour être lues, même par des critiques chevronnés.

9. Clarisse Harlowe, de Samuel Richardson (1748) : 1 500 pages pour ce roman dont le simple format physique est une pièce de bravoure. Sous forme épistolaire, il explore magnifiquement la profondeur psychologique de son personnage principal, progressivement déshumanisé par une famille monstrueuse, mais les éléments perturbateurs y sont quasiment inexistants. Un facteur décourageant l'impression de tourner en rond est persistante, bien que le style soit particulièrement raffiné.

10. Women & Men, de James McElroy (1993) : Cette dernière oeuvre est issue de la période post-moderne, la singularité de la prose y serait déconcertante et impalpable tout comme son intrigue, longue à s'installer. Toutefois Garth Risk Hallberg dit de cette oeuvre "C'est un livre, étrange et merveilleux. Je ne peux pas attendre avant de me replonger dedans à nouveau."En bref, si ces oeuvres sont difficiles à lire et à s'accaparer, leur lecture apporterait tout de même une satisfaction inédite et un enrichissement bien plus conséquent que la commune consommation de romans de gare aux élans Arlequins.

Et vous, avez-vous déjà achevé l'un de ces ouvrages ?

[MLH]

4. Être et Temps, de Martin Heidegger (1927) : Considérée comme l'oeuvre majeure du philosophe Heidegger, cette dernière recèlerait de néologismes indigestes pour décrire une nouvelle pensée scientifique de l'"être". Si Garth Risk Hallberg dit que ce livre aura changé sa vie, il signale qu'il a mis pas moins d'un an avant d'en venir à bout.

J'ai recherché au hasard celui-là sur le net juste par curiosité, on le trouve facilement en pdf mais comment dire... Voilà le titre de la première partie : L'interprétation du Dasein par rapport à la temporalité et l'explication du temps comme horizon transcendental de la question de l'être Et en guise de dernier paragraphe : L’analytique temporalo-existentiale du Dasein et la question fondamental-ontologique du sens de l’être en général... Vous avez 2 heures semaines pour disserter

[MLH]

Beaucoup facile à lire ( ), un petit recueil de jeux que nous connaissons tous et qui ont des origines très anciennes, les échecs, les dames et les jeux de dés bien sûr mais aussi le backgammon, la marelle, les osselets, les gobelets (bonneteau), les jonchets (mikado), le jeu de Nim,...

[gotlib-fan]

Vlan ! Aujourd'hui :


J'ai fini le seul roman traduit en français du Dali. Fort, pompeux, pompier, fou par intermittence, plein de flegme louche, long, dru mais peu dur, très classique, lourd, phrases de demi-pages, les dix-quinze dernières (pages) sont pourtant merveilleuses, presque, pour parler vulgairement, "touchantes" ; et les descriptions de mises en scènes drôles de bien fichues, mais les personnages, à la psychologie trop étudiée -sans que ce soit Dosto- sont parfois plutôt creux, sans pour autant s'enterrer. Enfin, toujours cette maîtrise des symboles, mais cette fois-ci foutus dans une historicité existante, et servant sans grand doute une sorte d'espèce d'autofiction.
Pourquoi pas, mais ses théories, ses journaux, et ses poèmes, sont à préférer .


J'ai fini ceci aussi, sorte d'Artaud, politisé et féminin, par moments, emplie de Vie tarée, puis pleine d'angoisses fondamentales -extrêmement littéraires-, des zigzags, de l'autobiographie, du talent, des talons, pas d'Achille ; et les lettres... La femme de Bataille (Georges) vaut donc bien son mari, sinon plus .


J'ai fini également ce machin. Bon. Quoi dire. Ah. Une dune indispensable dans le désert intellectuel, pleins de questions plus ou moins légitimes, rempli de conneries, de noms, de choses formidables, de disparus, de curiosités... Le dommage vient aux héritiers : complotistes, Nouvelle Droite, ufologues (alors que Bergier même ne croyait pas à l'existence des zoveunis, du moins, c'est ce qu'il disait),... Fait découvrir des tas d'autres fantômes, c'est une mine de diamants (dont quelques-uns en tocs, puisqu'introuvables partout), sans nains qui chantent dedans. A éviter de prendre au sérieux de manière totale, d'ailleurs les auteurs eux-mêmes le signale implicitement, et chez mon libraire de Poitiers quelque part en Avril, j'ai trouvé quasiment l'intégralité des numéros de Planète et du Nouveau Planète. Voilà qui peut vraiment se prétendre "essai", car c'en est un ; et ça n'est pas un copier/coller de biographies d'idées philosophiques/sociologiques illogiques et incompétentes et sans aucun humour .


Quand j'écris des lettres à des amis et amies, je fais ça autrement que la simplicité ici affichée -tant à la forme qu'au fond (ce qui est la même chose)- et une fois fini ce superbe et rare ouvrage, j'eus la très désagréable impression de voir là une sorte de double féminin (c'est en tous cas ce sur quoi on m'a appuyé, puisque j'ai envoyé le lien qui suivra à quelques connaissances). Je puis prétendre de Colette Thomas connaître le visage, le buste habillé et, désormais, son écriture. Il me manque ses jambes et sa voix à voir. Que j'aimerai. C'est une Artaud féminin, elle aussi, mais plus simple, plus fragile, c'est du verre d'os, ça se brise, du papier de riz solide. Frais, beau, et tout le tintouin.
Voici donc le lien, pour ceusses que ça intéresserait (se lit en deux petites heures et presque plus) :
http://letestamentdelafillemorte.blogspot.fr/

Et j'entame, en plus de L'Esprit contre la Raison (Crevel), Opium (Cocteau), L'Enterrement de la Sardine (Arrabal), Exégèse des Lieux Communs (Bloy), Le Monde Etc (Klima) et Étoiles Peintes (Reverdy) ceci :

Dont je n'aurai point dû réaliser l'achat, étant donné qu'un deuxième tome est là, et surtout que les deux sont assemblés en un, mais le dit un me paraissant cher, j'évitai son achat et me rapatria sur ce bouquin-ci, à grand tort ! Et de fait, je pensai que la totalité de ses écrits 1915-1930 y figuraient. Quelle erreur et quel dommage ! Quel mal m'atteignit lorsque je vis le peu de pages de la chose, me doutant bien alors que tout n'y était pas. On devrait toujours se renseigner avant et pas hésiter quand on voit certains prix, pourtant à priori plus ou moins excessifs. Comme je m'en veux



Vivement que je me prenne de nouvelles bédés, ça se lit décidément plus rapidement, et les dessins, parfois les couleurs, on aura beau dire, permettent de souffler, tout en restant dans le fendard ou le sublime (et c'est pas les trois pauvres illustrations du Dali qui vont rendre les mains plus chaudes de cire).
Seul problème : même d'occaze, de celles que je vise, c'est bien souvent plus cher. Heureusement, il reste les brocantes et vide-greniers.
Vivement le prochain vide-grenier, la prochaine brocante.
Faudrait aussi que j'aille voir les éventuelles ventes sur le site même.

5. La phénoménologie de l'esprit, de Hegel (1807) : Ce livre est un monument prépondérant de la philosophie moderne, réfutant l'idéalisme Kantien pour esquisser une anatomie de la conscience, du savoir et de l'esprit, décryptant également les processus dialectiques. La densité théorique de l'ouvrage est conséquente et ne saurait être décrite en quelques lignes. Bref, l’œuvre est passionnante, profonde, mais l'étendue du sujet et les terminologies sont plutôt incompréhensibles sans une formation préalable ou quelques guides annexes d'explications.

Je l'avais commencé voici trois ou quatre ans. Je l'ai jamais fini. Des fois je le regrette, des fois pas. Souvent, je marche, plutôt, plus tard.

Ils ont loupé L’Être et le Néant dans les imbitables trop gros. Un véritable marais ce truc. Jamais fini non plus. Je le regrette pas

[BOBetBOBETTE]

Vlan ! Aujourd'hui :


J'ai fini le seul roman traduit en français du Dali. Fort, pompeux, pompier, fou par intermittence, plein de flegme louche, long, dru mais peu dur, très classique, lourd, phrases de demi-pages, les dix-quinze dernières (pages) sont pourtant merveilleuses, presque, pour parler vulgairement, "touchantes" ; et les descriptions de mises en scènes drôles de bien fichues, mais les personnages, à la psychologie trop étudiée -sans que ce soit Dosto- sont parfois plutôt creux, sans pour autant s'enterrer. Enfin, toujours cette maîtrise des symboles, mais cette fois-ci foutus dans une historicité existante, et servant sans grand doute une sorte d'espèce d'autofiction.
Pourquoi pas, mais ses théories, ses journaux, et ses poèmes, sont à préférer .

Ça raconte quoi ?

[MacCabbe]

snip

Tiens, t'es pictave, toi ?

[gotlib-fan]

A propos de Visages Cachés :

Ça raconte quoi ?

Allons-y franco (la mouèrté ?), tout du contraire que le bouquin :
C'est la Solange de Cléda et le Hervé de Grandsailles, c'est des bourges pétés de thunes (l'écriture du manoir est pas mal du tout) qui s'amourachent (déjà là, c'est du spoile, mais on s'en doute) l'un de l'autre ; mais enfin il y a d'autres personnages, et l'intrigue y est, dans la première partie du moins, plutôt centrée sur des rencontres, un bal, une salle magnifique avec de l'opium et une lesbienne (Cécile Goudreau, qu'elle s'appelle, et Betka, c'est son "apprentie", qui tombe malade et tout) ; et puis apparaissent dans les suivantes des secrets, la guerre (deuxième mondiale), quelques opinions politiques, un officier nazi, une rupture, une cache en Amérique, des envies, des désirs, des passions, des voyages,... Tout ce qui fait un grand roman un peu caricatural, sauf que là c'est Dali, et, s'attendant à ce qu'il joue au marteau, il a préféré faire le clou. C'est-à-dire que c'est un objet extrêmement curieux que les détracteurs les plus totaux des peintures du monsieur pourraient apprécier ; en clair : sa "Folie" n'y est que très peu présente (écrit pourtant en 1943, un moment où sa peinture était à un sommet). Parfois franchement ennuyeux (c'est que c'est proche d'atteindre les 600 pages. Alors, certes, ça n'est pas énorme, mais, et là est le principal problème, ça n'est pas non plus Hénaurme).
Un paragraphe assez joli qui, je crois, pense assez bien l'ensemble, et en résumé, et en impression eue de la chose :

On eût dit le plus beau jour de printemps. Les grandes tragédies se sont toujours déroulées sous un éclairage de splendeur qui souligne d'un profond relief les plus petits détails. Le soleil, complice de tous les drames, peignit les six pattes de chaque fourmi des iridescents reflets du paysage.

Des moments comme ça, très posés, tranquilles, normaux ; des dizaines de pages entrecoupées de dialogues fleuris pâquerettes ou roses. Et puis, plus rares ceux-ci, cependant des éclairs, de l'avancée lente aux tons pseudo-prophétiques, avec de la drôlerie et des symboles, en entière roue libre (quoique retenue par une ficelle parfois bien maigre), ce à quoi on s'attend quand on veut lire du Dali qui joue la fiction (c'est-à-dire avec tout de même un minime d'attaches à une sorte de "réel") :

Sabotage ! Il se représenta tout l'ignoble conglomérat de matières des cinq usines -ciment, caoutchouc, tripes de câbles, squelettes de rails, tourbillons de roues et constipations de fonte- soufflé dans la fulgurante clarté d'une seule explosion de dynamite. Sabotage ! Et les myrtes et le chèvrefeuille reprendraient à pousser là où ils avaient fleuri pendant trois mille ans, et de leur éternel verdoiement panseraient les cicatrices de la terre mutilée*. Sabotage ! Et les escargots recommenceraient à glisser lentement au dos des mêmes pierres, qui n'avaient pas bougé de place depuis l'époque des Romains !

*On dirait pas du Zola, là ?

Ce que je fais toujours quand c'est là et qu'on me demande de résumer un bouquin, je cite la noble, ô combien, table des matières :

Avant-propos
Remerciements

Première Partie : La Plaine Illuminée
1 - Les amis du comte Hervé de Grandsailles
2 - Les amis de Mme Solange de Cléda

Deuxième Partie : Nihil
3 - Un bal reporté
4 - La nuit d'amour
5 - Guerre et transfiguration

Troisième Partie : Le Prix de la Victoire
6 - "La forza del destino"
7 - Lunes de fiel**
8- Chimère des chimères, tout est chimère...

Épilogue. La plaine illuminée
Postface

**Que Polanski il reprendra ce titre pour l'un de ses films, sans pour autant qu'il n'ait quelque rapport avec, vu que c'est une adaptation éponyme d'un machin d'un certain "Pascal Bruckner". Il y a de la tricherie dans l'air

snip

Tiens, t'es pictave, toi ?

Qu'est-ce-que "snip" ?
Pour les zétudes seulement.
En vrai, avant c'était Orléans, pis depuis voilà trois ans bientôt, c'est à Darvoy.
A part les voitures et les camions et les petits connards en scouteurs, et les affiches du FN partout, y a rien à dire, c'est cool, ça coule, y a assez souvent des vides-poches-greniers dans le coin anguleux de la chose.
Voilàvoilàvoilà.

Sinon, j'ai fini le Reverdy.
Et bien c'est très bien, mais alors mille fois trop court !...
Je crois qu'il est dispo sur le ouiki où on qu'on peut lire des livres.
Affirmatif.
Il est là :
http://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89toiles_peintes

[Le Complot]

"Guerre et transfiguration"
Puis

[MLH]

Premier président de la société ALS-THOM née en 1928 de la fusion de la Société Alsacienne de Constructions Mécaniques avec la société Thomson-Houston, Auguste Detoeuf s'est également consacré à l'écriture, dont ce livre qui décrit avec humour voire causticité le monde de l'industrie en prêtant différentes réflexions au personnage de Oscar Barenton, célèbre industriel créateur de la "fameuse" Compagnie Générale de la Crème Glacée (C.G.C.G.).

A travers des réflexions courtes sont passés en revue les industriels, les ingénieurs, les techniciens les ouvriers, les banquiers, les diplômés, les comptables, les publicitaires, le conseil d'administration,... c'est savoureux !

[LeMoineFou]

Et une émission de radio pour aller avec:
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1300

[thyuig]

j'ai crée une liste de romans, 50 romans pour 50 états américains.

C'est ici :

http://www.babelio.com/liste/1062/50-ro ... r-50-etats

[junjun]

j'ai crée une liste de romans, 50 romans pour 50 états américains.

C'est ici :

http://www.babelio.com/liste/1062/50-ro ... r-50-etats

sympa ça. je vais étudier cette liste

[mistercoyote]

j'ai crée une liste de romans, 50 romans pour 50 états américains.

C'est ici :

http://www.babelio.com/liste/1062/50-ro ... r-50-etats

de très bons choix (et certains que je vais l'empresser de trouver

[e m]

j'ai crée une liste de romans, 50 romans pour 50 états américains.

C'est ici :

http://www.babelio.com/liste/1062/50-ro ... r-50-etats

J'en ai lu 5... Ou 6, je crois bien avoir lu Le monde selon Garp.
Ca en fera quelques uns à découvrir

(Pour la Louisiane, j'aurais bien vu La Conjuration des imbéciles de JK Toole)

****
Je viens de m'acheter ça :


http://www.moutons-electriques.fr/livre-260

Donc il y a quand même des éditeurs français qui se donnent la peine de faire des jolis bouquins

[thyuig]

pour la Louisiane, je ne pouvais pas ne pas citer James Lee Burke, impossible !

et gagner la Guerre est un formidable bouquin, ça m'agace un peu que les Moutons le rééditent comme ça alors que la première édition dont je dispose est très banale.

[e m]

pour la Louisiane, je ne pouvais pas ne pas citer James Lee Burke, impossible !

Jamais entendu parler de cet auteur (!)
Je note pour un prochain achat.

et gagner la Guerre est un formidable bouquin, ça m'agace un peu que les Moutons le rééditent comme ça alors que la première édition dont je dispose est très banale.

Édition limité à 2000 exemplaires, je suis tombé dessus par hasard
Dommage que je n'ai pas eu la patience d'attendre l'auteur, je suis reparti sans dédicace 8)

[thyuig]

oui, tu aurais pu lui demander s'il travaillait sur un autre bouquin, gagner la guerre date un peu.

J'ai déjà du en parer ici mais Gagner la guerre reprend un personnage d'une nouvelle de Janua Vera, le premier livre de Jaworski. Je trouve qu'il vaut mieux commencer par le recueil.