thyuig a écrit:moi j'ai adoré le film et le livre !
NARCISSE a écrit:On aime ou pas le personnage Houellebecq, mais il faut reconnaitre que ce premier roman est remarquable, ou tout l univers de l auteur est présent et décrit avec une froideur le monde contemporain dans laquelle on vit . 150 pages et ça se lit très vite. Et si on est séduit on peut lire ensuite "Les particules élémentaires" et "Plateforme".
Mais comme je l ai dit, on aime ou pas.
monsieur burp a écrit:thyuig a écrit:moi j'ai adoré le film et le livre !
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Le film qui m'a fait bien marrer. Ça fait un peu Docteur Who dans un registre différent...
Charlie et Eli Sisters se rendent de l'Oregon à la Californie pour régler son compte à cette crapule de Warm. Ils agissent selon les ordres du Commodore qui pilote son duo de tueur depuis son bureau d'Oregon City et dès la scène inaugurale qui voit les deux frères se disputer le leadership de l’expédition, on comprend que le ton du roman devra plus aux frères Coen qu'à la Chevauchée fantastique.
Avec les Frères Sisters, Patrick de Witt invente un western résolument atypique, préférant les joutes verbales et les discussions légères sur le sens de la vie, aux duels et autres cavalcades -qui sont néanmoins présents en nombre-."Vous n'êtes pas croyant, Warm, n'est-ce pas ?
- Non, Et j'espère que vous non plus.
- Je ne sais pas si je le suis.
- Vous avez peur de l'enfer. La religion se résume à ça, en vérité. La peur d'un endroit où nous préférerions ne pas être, et d'où il est impossible de s'échapper par le suicide."
Je songeai, Pourquoi ai-je évoqué Dieu au saut du lit ?
L'intérêt du roman réside en le soin apporté aux personnages, à cet antagonisme inaugurale qui ne va cesser de croître pendant leur chevauchée, car en tant que frères, les Sisters se disputent en permanence. De Witt s'amuse à rendre le monde au travers de la vision complexe d'Eli, force de la nature qui voudrait un peu plus de finesse dans tout, que le monde soit plus juste, moins mercantile.
Eli va ainsi dilapider une fortune en dollars en n'attachant aucune importance à la valeur de ces derniers. Il va tomber également souvent amoureux.
Les Frères Sisters est un roman au rythme particulier, lancinant, il avance à dos de cheval et prend plaisir ou horreur à croiser d'autres protagonistes. Si le milieu du livre est sensiblement moins maîtrisé, l'ensemble dénote d'une telle qualité qu'on est heureux de refermer le roman avec à la tête cette idée des Terres Sauvages et des fabuleux Frères Sisters, deux tueurs intrépides que rien n'arrête.
monsieur burp a écrit:thyuig a écrit:moi j'ai adoré le film et le livre !
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Le film qui m'a fait bien marrer. Ça fait un peu Docteur Who dans un registre différent...
Dans ce roman qui signa le succès et la notoriété de Sôseki, nous suivons un jeune étudiant, provincial fraîchement débarqué à la capitale, Tôkyô, ville pieuvre,démesurée où il se laisse mener par un camarade de classe, filou et débrouillard.
sanshirô, un peu couard, un brin inadapté à la rapidité de cette vie, plein d' a priori sur les citadins (qu'il place sur le piédestal de la culture et du bon goût), n'est pas sans rappeler tous les nouveaux venus, pétrifiés par la différence entre leur "pays natal" et le monde urbain, quand ce n'est pas celui des études...
Au gré des rencontres et des situations parfois absurdes, on découvre un Japon en évolution, quelques décennies après son ouverture au monde (en 1853, quand le Commodore Perry entra sur le territoire nippon isolé depuis plus deux siècles), en effervescence et qui sculptait déjà son paysage culturel riche et duel, moderne et baignant dans les plus ancestrales traditions...
Source : Babelio
monsieur burp a écrit:thyuig a écrit:moi j'ai adoré le film et le livre !
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Le film qui m'a fait bien marrer. Ça fait un peu Docteur Who dans un registre différent...
MLH a écrit:
Olaf Le Bou a écrit:e m a écrit:Lu La vérité sur l'affaire Harry Quebert, de J.Dicker...
Ça faisait longtemps que je n'avais plus lu un livre comme ça : à attendre le soir pour pouvoir enfin m'y remettre, qui me donne envie de lire toute la nuit.
On pourra y trouver des défauts, trop de rebondissements sur la fin... Mais quand même, ça faisait vraiment longtemps.
ouaip, me suis relevé cette nuit pour le finir, impossible de fermer l'oeil sinon, une fois entamé la troisième partie du bouquin
NARCISSE a écrit:@ mlh
J aime beaucoup le "Limonov" d Emmanuel Carrère. Bon faut être familiarisé avec le "style " Carrère, mélange de biographie, fiction romancé, d essai journalistique ...
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