Boulon31 a écrit:Cooltrane a écrit:tout ce que cette vaste organization criminelle installée dans sa forteresse à Rome (à l'abri d'une république, elle-mêe bien pourrie) me sembe surtout à ne pas prendre au sérieux... et même à bannir au plus vite de notre éducation... qui serait tellement mieux sans notre complexe de culpabilité judéo-chrétienne...
sinon je pense que la version de dufaux est certainement plus crédible que cette fable de pierre crucifié la tête en bas. Genre le mec il est condamné à mort mais comme il fait son précieux on lui donne une croix sur mesure pour l'aider à soigner sa légende...
Ceci dit, le crucifier avec la tête en bas, n'aurait fait qu'accélérer la mort (et donc de diminuer la durée de l'agonie), vu l'afflux de sang dans le cerveau... Donc à la rigueur, c'était un traitement plus humain
Croaa a écrit:Après avoir lu de Tome 9, qui est plutôt pas mal, je me demande franchement quel pourrait être l'intérêt de pages plus "osées" que celles présentées dans la version expurgée. J'entends pour l'intérêt du récit bien entendu, pas pour l'intérêt du voyeurisme primaire dont nous faisons preuve bien souvent.
Je suis assez d'accord avec toi, que la planche dont on nous a montré brievement les crayonnés dans ces deux dernières pages de ce topic , elle est peu utile à l'histoire proprement dite...
Mais on nous parle depuis le début de
deux planches, dont une avec une orgie
(le trio du milieu d'album n'est pas une orgie sauf éventuellement si Pétrone se joint avec tous les autres domestiques) , qui devrait intervenir dans la surboum donnée par le gugusse, en fin d'album
(donc je dirais aux environs de la planche 44 ou 45) >> donc là, on ne peut juger, surtout que manifestement on suivra la suite de la soirée dans le tome suivant ... à la rigueur, il n'est que demi-martyr
... bon je
Par contre il semble bien que la page du trio sous la pluie, elle a été purement et simplement sucrée, sans modification: on voit la servante prendre le gode, puis on la voit occupée avec Lucius et Claudia en bas de la page suivante, épiés par Pétrone... >>> on frise la censure pure et simple comme les curés qui arrachaient les pages de magizines ou suprimait les scènes de baiser un peu trop appuyées au cinoche du village il y a encore 80 ans....
Et certains ici ont fait un bien, plus grand scandale quant à la soit-disant tentative de censure des ayant-droits à propos de Gringos Locos...
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)