Mirdhynn a écrit:loopingatr a écrit:juste une petite précision sur les "absences", il faut peut-être différencier dans l'école absence au "travail" et absence devant élèves. Prof ou "instit" tu peux être en formation donc présent au travail mais "absent devant élèves.
Dans le primaire (en tout cas, de ce que je connais) des formations se font sur temps de "vacances", mais après, j'ai pas trop l'impression. mais ça doit être pareil dans le public ou dans le privé.
C'est marrant que tu mentionne ça, parce que mon exemple date de l'année dernière, l'instit de ma grande était justement en formation sur plusieurs semaines (c'était la 3ème fois en 2 mois qu'on nous demandait de la garder à la maison car instit en formation). Là je suis désolé, mais une formation, c'est un truc prévu, tu te réveilles pas le matin avec 40 de fièvre, donc c'est prévisible et "remplaçable" . Force est de constater que ce n'est pas souvent le cas (J'ose pas dire jamais dans mon cas).
Quand tu peux te débrouiller pour garder ton enfant, ça va, d'ailleurs, on essaye au maximum, mais qu'on te fasse chier quand tu ne peux pas, j'avoue que j'avais très moyennement apprécié.
J'imagine que tout ça, ça se gère au niveau de l'académie et que les autres instits subissent aussi, mais bon... Pour être tout à fait honnête, je ne rappelle pas que l'éducation nationale merdait autant du temps où j'y allais. Aussi bien en terme de programme, de capacité des instits à le boucler et en terme de gestion du personnel
Un vaste sujet, les absences non remplacées et les formations. Parents et enseignants sont dans la merde et ne peuvent discuter qu'entre eux, l'agacement et la fatigue n'aidant pas au dialogue. ^^
Une émission de France Cul (datant déjà d'avril 2023) abordait tous ces sujets d'une manière très limpide. Elle devait au départ se pencher sur la question épineuse des fermetures de classes mais tous les sujets étant imbriqués, ça a débordé.
Mots-clefs : sous-effectifs, financement public insuffisant, gestion comptable, économies...
Pour ceux que ça intéresse : c'est
ici. Et c'est édifiant.