marone222 a écrit:Je veux bien que tu nous expliques comment on peut y arriver...
toine74 a écrit:Oui, c'est une visite d’État, ils n'allaient pas noliser le Flunch de la rue de Beaubourg et filer des pin's pour marquer le coup.
Philemon a écrit:Super la polémique sur le coût du repas… comme si c’était votre argent !
Philemon a écrit:Super la polémique sur le coût du repas… comme si c’était votre argent !
Mirdhynn a écrit:choregraphe a écrit:Mirdhynn a écrit:Bah tu peux être sur qu'il est utilisé Et à la limite ça ne me dérange pas si c'est pour faire de l'anti terrorisme ou du contre espionnage. En ce qui concerne le commun des mortels, notre loi nous protège quand même pas mal. Tu passera forcement devant un juge si tu as des problèmes qui ont été détectés par ce genre de logiciel
Et raté ce logiciel n'est pas déclaré donc non contrôlé et donc cela te parais logique que l'on bafoue les droits de l'homme , ses libertés d'opinions et ses libertés syndicales
Je te dis pas qu'il est déclaré. Je te dis que sur l'échiquier international, avec des joueurs qui se contre foutent des règles et des droits de l'homme, tu es obligé de faire pareil pour pas te faire écraser. La seule différence c'est le curseur et jusqu'où tu va. Je pense pas que la france soit prête a déclencher une guerre ou un genocide pour servir ses intérêts. Un poutine n'hésitera pas. Alors un logiciel espion, c'est quand même un moindre mal.
Sur une utilisation au niveau intérieur, évidemment c'est encore moins reluisant, mais ils faut se dire que les RG ça ne date pas d'hier. Tu peux t'indigner ça ne changera pas grand chose et jusqu'à preuve du contraire on ne persécute pas les syndicalistes et les foutant en prison.
Dans l’idéologie européenne depuis 1958, on a tout fait pour détruire les frontières internes mais aussi externes. Aujourd’hui, nous sommes une passoire.
Mirdhynn a écrit:Je pense pas que la france soit prête a déclencher une guerre ou un genocide pour servir ses intérêts
Mirdhynn a écrit:jusqu'à preuve du contraire on ne persécute pas les syndicalistes et les foutant en prison.
Ce mercredi, le tribunal de Bobigny a condamné trois ex-salariés d'Air France à 3 à 4 mois avec sursis pour violences, dans le procès de la "chemise arrachée".
Réforme des retraites : un syndicaliste CGT condamné pour avoir lancé une bouteille sur les forces de l'ordre
LA cour d’appel de Toulouse a suivi le tribunal de grande instance de Rodez en condamnant, jeudi, cinq militants syndicaux à un mois de prison avec sursis. Les faits remontent au 5 juin 1989. Une centaine d’agents d’EDF s’étaient introduits dans la salle où se tenait un comité mixte à la production (l’équivalent d’un comité d’entreprise). Ils demandaient des explications sur la fermeture du district rural de Millau (Aveyron) et les dix-huit suppressions d’emploi qui en découlaient. Le directeur répondait en déposant une plainte contre X pour séquestration. Quatre ans plus tard, c’était la condamnation
Brian Addav a écrit:Dans l’idéologie européenne depuis 1958, on a tout fait pour détruire les frontières internes mais aussi externes. Aujourd’hui, nous sommes une passoire.
Roussel ?
Marine ?
Darmanin ?[Révéler] Spoiler:
toque a écrit:Philemon a écrit:Super la polémique sur le coût du repas… comme si c’était votre argent !
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Cette mère de famille était surveillante de prison à Douai. En 2019, un détenu l'a accusé d'avoir introduit 500g d'explosifs dans l'établissement pénitentiaire, en prétendant avoir une vidéo pour prouver ses dires. Suite à ces accusations, une enquête a été ouverte et Delphine Pader, également conseillère municipale à Bourlon, a été mise en examen. Elle était soupçonnée de faits d'"association de malfaiteurs" et "détention en bande organisée de produit explosif".
Quatre ans après sa mise en examen, Delphine Pader s'est suicidée. Le 31 juillet dernier, elle a laissé derrière elle un mari et un enfant. "J’ai l’impression d’être considérée comme une criminelle, de ne plus exister", a-t-elle écrit dans la lettre qu'elle leur a laissée, d'après Le Parisien.
Un mois et une semaine plus tard, le 8 septembre, le parquet de Lille a requis un non-lieu. Il n'y a "pas de charges suffisantes" à l'encontre de cette femme. "Aucun témoignage direct ou élément matériel" n'ont pu être apportés pour prouver la soi-disant implication de Delphine Pader dans l'introduction des explosifs dans la prison.
La vidéo dont le détenu a parlé n'a jamais été visionnée. Le parquet n'a pas pu s'assurer de son existence. Le téléphone dans lequel elle aurait dû se trouver n'a été expertisé qu'en 2023, rapporte Le Parisien, alors qu'il aurait été saisi en 2019.
Le non-lieu devra être prononcé par un juge d'instruction pour être effectif.
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