Non vraiment, aucun scrupule et aucune inquiétude pour les salariés (dont je suis)
On se doutait que tu en étais, hein, d'où l'autruche pour les conséquences sur les prestataires

Non vraiment, aucun scrupule et aucune inquiétude pour les salariés (dont je suis)
toque a écrit:Ouep j'avais donné ça à l'époque. De mémoire c'était 80% des aides pour les entreprises de plus de 1000 salariés. Ces mêmes entreprises qui paient seulement 5% d’impôt grâce à l'évasion l'optimisation fiscale.
Non vraiment, aucun scrupule et aucune inquiétude pour les salariés (dont je suis)
toque a écrit:Après s'il faut socialiser les moyens de production pour sauvegarder l'emploi plutôt que les dividendes ...![]()
Mais chaque chose en son temps camarade.
Mirdhynn a écrit:Quand on voit l'état des services publics en France je me demande comment on peut encore espérer qu'une boite puisse mieux fonctionner si elle est gérée par l'état...
Mirdhynn a écrit:Euh désolé, mais j'ai travaillé comme toi dans le service public (moins longtemps, certes). J'ai vu les effectifs pléthoriques des administrations pour alimenter le foutoir, la machine a broyer les gens, l'absentéisme endémique etc. Il y a surement des choses à modifier quand même sans parler de "sabordage"
Pouffy a écrit:C'est tout le paradoxe du système économique mondial actuel : libérale quand il s'agit de l'individu, protectionniste/socialiste quand il s'agit de l'entreprise.
Philemon a écrit:Je crois que ces caractérisations n'ont plus de sens (si elles en ont déjà eues).
Par exemple, comment qualifier la France ?
Certains sont intimement convaincus que nous vivons dans une dictature ultralibérale: privation/limitation des libertés individuelles et régression sociales, liberté maximale pour les entreprises et les riches.
D'autres sont tout aussi convaincus que l'on est dans l'état le plus socialiste possible, avec un service public démesuré et hors de prix, un état nounou qui s'occupe de tout, une protection sociale unique au monde et couteuse, des impôts démentiels, des contraintes maximales pour les entreprises.
toque a écrit:Après s'il faut socialiser les moyens de production pour sauvegarder l'emploi plutôt que les dividendes ...![]()
Mais chaque chose en son temps camarade.
marone222 a écrit:Tellement difficile de trouver un vrai marxiste de nos jours, presqu'aussi dur à trouver qu'une EO de Tintin au pays des Soviets![]()
marone222 a écrit:Tintin au pays des Soviets
Pouffy a écrit:Philemon a écrit:Je crois que ces caractérisations n'ont plus de sens (si elles en ont déjà eues).
Par exemple, comment qualifier la France ?
Certains sont intimement convaincus que nous vivons dans une dictature ultralibérale: privation/limitation des libertés individuelles et régression sociales, liberté maximale pour les entreprises et les riches.
D'autres sont tout aussi convaincus que l'on est dans l'état le plus socialiste possible, avec un service public démesuré et hors de prix, un état nounou qui s'occupe de tout, une protection sociale unique au monde et couteuse, des impôts démentiels, des contraintes maximales pour les entreprises.
Les gouvernements récents sont pour un libéralisme de l'économie. Sauf qu'ils ne supportent de perdre la main dessus et surtout ont du mal à s'affranchir du fait que le faire c'est admettre que les boîtes vont faire n'importe quoi.
Prenons un exemple : l'état privatise l'école primaire. Les boîtes privées feront immédiatement payer le coût de l'enseignement en fonction de charge générée par le gosse. Ton gosse est perturbateur, dyslexique, handicapé... tu paieras forcément plus cher. De même, tu pairas plus cher en zone rurale car tu n'arrivera pas à optimiser l'effectif en classe.
Pouffy a écrit:marone222 a écrit:Tintin au pays des Soviets
Le fonctionnement des entreprises actuellement n'en a jamais été aussi près.
Mirdhynn a écrit:
Du coup allez! On commence par virer la moitié de l'administration !
Mais qu'est ce qu'on en fait après de ces gens là? On leur paye le chômage, du coup l'état n'a rien gagné.
Pouffy a écrit:Philemon a écrit:Je crois que ces caractérisations n'ont plus de sens (si elles en ont déjà eues).
Par exemple, comment qualifier la France ?
Certains sont intimement convaincus que nous vivons dans une dictature ultralibérale: privation/limitation des libertés individuelles et régression sociales, liberté maximale pour les entreprises et les riches.
D'autres sont tout aussi convaincus que l'on est dans l'état le plus socialiste possible, avec un service public démesuré et hors de prix, un état nounou qui s'occupe de tout, une protection sociale unique au monde et couteuse, des impôts démentiels, des contraintes maximales pour les entreprises.
Les gouvernements récents sont pour un libéralisme de l'économie. Sauf qu'ils ne supportent de perdre la main dessus et surtout ont du mal à s'affranchir du fait que le faire c'est admettre que les boîtes vont faire n'importe quoi.
Philemon a écrit:S'ils étaient vraiment pour le libéralisme, ils ne fileraient pas 160 milliards d'aide.
Et surtout, ils se concentreraient sur les basiques attendus par le libéralisme et ne mettraient pas leur nez partout.
Là, on navigue dans un social-libéralisme qui échoue...
Philemon a écrit:S'ils étaient vraiment pour le libéralisme, ils ne fileraient pas 160 milliards d'aide.
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