RosbOOm a écrit:
On a en gros 4 000 soignants antivax suspendus pour 1 200 000 soignants, soit 0,3%.
.
Mirdhynn a écrit:C'est pas LFI qui a fait pareil il y a quelques temps (dépose massive d'amendements) pour bloquer une loi ?
sergent latrique a écrit:Quand un édifice s'effondre, ça vient d'un seul coup après des années de fragilisation, alors,vous croyez qu'on va encore assister à ça pendant plus de quatre ans sans que ça parte totalement en vrille ? Je m'interroge
nexus4 a écrit:Coté santé.
Et c'est pas des gauchos avec le poux qui saute.
toque a écrit:Le soucis ce n'est plus du tout le numerus clausus. Ce sont les salaires et les condition de travail. Il y a un taux de démission jamais vu dans le milieu hospitalier. Plus personnes ne veux y bosser. Le métier est exercer dans des conditions trop difficile pour un salaire trop faible.
D'ailleurs ce que tu dis est contradictoire. Le numerus clausus n'existe plus. Pourquoi le problème serait encore là dans 20 ans dans ce cas ?
Arrêtons de gérer l’hôpital comme une entreprise et les patients comme des produits. C'est ça la clef
toque a écrit:
Des infirmiers.ères et des aides soignants.es formé qui n'exerce plus dans le médical il y en a par milliers.
toque a écrit:C'est bien t'as écouté 10 minutes. Il t'en reste plus que 30.
Tu entendras parler des démissions, des salaires, des conditions de travail, de la tarification à l'acte. Mais, je te spoil, tu n'entendras pas parler du numerus clausus.
Des infirmiers.ères et des aides soignants.es formés qui n'exercent plus dans le médical il y en a par milliers. Les compétences existent, mais elles ne veulent plus exercer dans le milieu de la santé. Même des médecins rendent leur blouse désormais.
Je ne dis pas que le numerus clausus n'est pas un problème, je dis qu'en réglant uniquement celui là tu n'auras rien réglé du tout.
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