toque a écrit:PEB a écrit:
Non, ce ne sont pas des craintes, juste un agacement devant un militantisme provocateur et déplacé - déplacé parce qu'il y a des sujets bien plus important que la langue, même quand il s'agit du droit des minorités. Je ne fais pas partie de ceux qui poussent des cris d'orfraie à cause du iel. Je m'en fous. cf. la vidéo postée par toque supra: elle reflète parfaitement mon opinion sur le sujet.
Ta position est, je trouve, un peu contradictoire. Qui militent ? Ce sont les transgenres qui ont fait des manifs pour imposer le iel ?
Non. C'est un dico qui l'a ajouté de son propre chef.
Le dico n'y est pour rien. Il acte que le mot est utilisé, point barre. Et encore une fois, le iel n'est pas un problème.
toque a écrit:Ceux qui ont milité, c'est les réacs ! Il se sont mis en PLS alors qu'on leur avait absolument rien demandé. Sans eux, je pense que je ne serais toujours pas que cela existe.
Et tu peux appliquer cette mécanique a absolument toutes les polémiques stériles sur l'épouvantail woke.
100% d'accord.
toque a écrit:Non, pas d'accord. Écrire en langage dit "inclusif" c'est avoir une approche militante du langage et donc de la communication.
L'utilisation de la langue est toujours militante. Pour interroger l'abjecte Darmanin j'ai utilisé le mot réfugié. Il m'a répondu avec le mot migrant. Chacun laisse transpirer sa vision du monde à travers son langage. Même de façon inconsciente.
Quand tu parles à Darmanin tu interpelles un politique, tu as une approche militante et c'est normal. Quand je parle à un voisin ou à mon boulanger, en général je n'ai pas une approche militante. Et si mon boulanger me répond en langue inclusive bizarroïde, je l'emmerde. Point barre, foin de polémique stérile: