pabelbaba a écrit:Un peu.pajan a écrit:pabelbaba a écrit:Le gouvernement prend à bras le corps la question des besoins psychiatriques et psychologiques des français.
Boum, un numéro vert
C'est beau, j'en pleure devant mon clavier.
tu décompenses?
J'aimerais quand même savoir si c'est typiquement français ou si on a piqué l'idée à un autre pays?
"Ministère de la Santé, bonjour !" Ne vous fiez pas au message d'accueil : les téléopérateurs travaillent pour Sitel, l'un des leaders mondiaux des centres d'appels, détenu par la famille Mulliez (Auchan, Decathlon, Leroy Merlin…). Ses salariés n'ont jamais mis les pieds au ministère de la Santé mais sont "des conseillers spécialisés dans la gestion de crise", se vante la direction.
pajan a écrit:yuk yuk, paf dans ta gueule Hidalgo.
«C’est le mur de Berlin.» L’expression est répétée en boucle par les habitants de Pantin qui regardent, désabusés, les ouvriers poser les derniers blocs de parpaing. Désormais, la rue Forceval et son tunnel sous le périphérique sont condamnés. D’un côté Pantin, ses rues animées avec de nombreux cafés, le marché couvert et son éternel va-et-vient. De l’autre Paris, et le square de la Porte de la Villette, où sont maintenant rassemblés les consommateurs de crack de la capitale.
Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a décidé plus tôt dans la journée de les faire évacuer du secteur des jardins d’Eole (XIXe arrondissement), où ils étaient regroupés ces derniers mois. «Une opération a lieu, visant à regrouper ces personnes aux abords de la place Auguste-Baron, Porte de la Villette, dans un secteur sans riverains aux abords immédiats», a indiqué dans un communiqué la préfecture de police de Paris. Et pour empêcher les toxicomanes de rentrer en Seine-Saint-Denis, un mur a donc été construit à la surprise générale ce vendredi après-midi.
«Sur mon instruction, la préfecture de police évacue ce matin les toxicomanes des secteurs des jardins d’Eole et de Stalingrad. Le combat contre la drogue est un combat quotidien et j’ai entendu la colère des riverains», a commenté dans le même temps sur Twitter le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Sauf que la colère des riverains, comme le problème du crack, se déplace avec ses consommateurs. «Non seulement on nous impose les camés, mais en plus on nous enferme dans notre quartier, commente un jeune habitant de Pantin qui rigole nerveusement. Quand est-ce qu’ils vont arrêter de se chier dessus sérieux ?»
Crack : entre Paris et Pantin, la polémique du "mur de la honte"
Un mur a été construit à la hâte vendredi 24 septembre sous le pont qui sépare Paris de la ville de Pantin (Seine-Saint-Denis). Il a été érigé après l'installation des consommateurs de crack évacués des jardins d'Éole. Le gouvernement parle de solution transitoire.
Il a fait irruption en quelques heures vendredi 24 septembre. Un mur, rebaptisé "mur de la honte" par les habitants de Pantin (Seine-Saint-Denis), a été construit à la hâte par la préfecture de police de Paris, pour empêcher les consommateurs de crack d'entrer dans la ville. Les toxicomanes sont relocalisés dans ce square parisien depuis la semaine dernière, sur décision du ministère de l'Intérieur.
Les riverains se sentent en danger
À la frontière entre Paris et Pantin, un nouveau camp du crack a donc vu le jour dans le parc de la Porte de la Villette. Pour le maire de Pantin, ce mur est un rempart dérisoire. "Ce mur est le symbole de cette décision qui est absurde [...] On sait pertinemment qu'il suffit de faire le tour à quelques dizaines de mètres", déclare Bertrand Kern. Les riverains, eux, se sentent en danger et affirment que ce mur ne les protège pas. "Ça fait peur, parce qu'il y a des parents qui ont des enfants. Moi je vais rentrer le soir, et bien je n'ose plus passer par la Villette", conteste une habitante du quartier. Face à la polémique, la préfecture parle d'un mur provisoire qui constitue une indispensable protection des habitants.
Sandrine Rousseau venait donc de passer trente minutes avec Yannick Jadot. De son propre aveu, ça ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu. L’écoféministe, forte de ses 49 %, imaginait que le candidat à la présidentielle lui « ouvrirait grand les bras ». Il lui a plutôt proposé d’intégrer un conseil politique encore à l’état de projet. « Je n’ai même pas compris ce que c’était », a réagi Sandrine Rousseau, qui se demande « si Yannick Jadot est réellement le grand rassembleur qu’il prétend être. Je ne suis pas certaine qu’il ait vu ou qu’il veuille voir le mouvement qui s’est levé avec ma candidature. C’est à lui de faire un geste, mais durant notre entretien, il ne m’a rien proposé. Je n’ai vu aucun signe. Il m’a dit qu’il me rappellerait. »
nexus4 a écrit:Ce qu'il dit sur Schiappa, c'est exactement ce que je reproche à Barbara Steigler à propos de son livre sur la pandémie. Elle donne une définition très discutable et enquille apparemment tout le bouquin pour dire que ca pose un problème (de ce qu'elle en a dit longuement, je n'ai pas lu le livre).
Affaire Bygmalion : Nicolas Sarkozy jugé coupable de financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012
Les treize autres prévenus sont déclarés coupables de complicité de financement illégal de campagne électorale
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