nexus4 a écrit:La concession je vois plus ça comme un usufruit que comme une propriété.
On a la jouissance du bien, on a le devoir de l'entretenir, mais il ne nous appartient pas.
nexus4 a écrit:La concession je vois plus ça comme un usufruit que comme une propriété.
On a la jouissance du bien, on a le devoir de l'entretenir, mais il ne nous appartient pas.
Coldo3895 a écrit:"Propriété" ça ne veut pas forcément dire bâtiment ou terrain.
On peut être propriétaire d'une licence, d'un droit d'exploitation, d'une... concession.
pabelbaba a écrit:mettre fin prématurément à ce genre de contrat, ça doit être prévu et il doit il y avoir des pénalités ou autre...
pabelbaba a écrit:lJe ne vois pas de propriété.
ubr84 a écrit:Coldo3895 a écrit:"Propriété" ça ne veut pas forcément dire bâtiment ou terrain.
On peut être propriétaire d'une licence, d'un droit d'exploitation, d'une... concession.
Je me vois quand mon employeur voudra me licencier lui répondre : tu n'as pas le droit, je suis propriétaire du contrat de travail."
Coldo3895 a écrit:ubr84 a écrit:Coldo3895 a écrit:"Propriété" ça ne veut pas forcément dire bâtiment ou terrain.
On peut être propriétaire d'une licence, d'un droit d'exploitation, d'une... concession.
Je me vois quand mon employeur voudra me licencier lui répondre : tu n'as pas le droit, je suis propriétaire du contrat de travail."
Ben... ton employeur ne peut pas te virer n'importe comment, ni sans les indemnisations prévues au contrat, etc...
C'est la France, tu sais, ce pays ultra-libéral...
pabelbaba a écrit:A peu de choses près.
Selon les informations du Monde, deux dossiers judiciaires risquent fortement de perturber le cours de la campagne présidentielle : la gestion de la crise sanitaire et l’affaire Dupond-Moretti. Dans le premier, les magistrats entendent, en effet, poursuivre des personnalités ayant appartenu ou appartenant au gouvernement ; dans le second, ils intensifient leurs investigations sur le garde des sceaux, mis en examen depuis le 16 juillet pour « prise illégale d’intérêts ». Deux enquêtes embarrassantes pour l’exécutif tant elles menacent de jeter une lumière crue sur des dysfonctionnements de la machine gouvernementale depuis 2017.
(...)
Les trois juges (...) envisagent donc de la mettre en examen pour deux motifs distincts : l’« abstention volontaire de combattre un sinistre », infraction visée initialement par les juges, mais aussi, désormais, la « mise en danger de la vie d’autrui ».
(...)
Agnès Buzyn a quitté ses fonctions de ministre de la santé le 16 février 2020, pour préparer la campagne des élections municipales à Paris, et ce, alors qu’elle connaissait la situation sanitaire déplorable du pays, assailli par la première vague de Covid-19. Ce qui ne l’avait pourtant pas empêchée de déclarer publiquement, le 24 janvier 2020 : « Les risques de propagation du coronavirus dans la population sont très faibles. » Or, elle devait, quelques semaines plus tard, se contredire dans des déclarations au Monde : « On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. (…) Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. »
(...)
Olivier Véran, successeur d’Agnès Buzyn au ministère de la santé, devrait d’ailleurs lui aussi être convoqué dans les semaines à venir par la CJR. Il devra fournir des explications sur la gestion au moins erratique des équipements de protection individuelle, ces masques indispensables aux gestes barrières. Outre le fait qu’il n’en restait plus qu’une centaine de millions de disponibles en France, contre un stock de plus de 1,5 milliard quelques années auparavant, et ce, en dépit des recommandations officielles, les magistrats s’attachent à déterminer si les différents ministres ont sciemment dissimulé la pénurie de masques en expliquant, imprudemment, que ces protections n’étaient pas indispensables.
La CJR a également en sa possession des éléments attestant que des masques encore utilisables n’ont pas été distribués à la population, au début de la pandémie, comme une enquête du Monde l’avait déjà révélé en mai 2020. Enfin, les juges pourraient se pencher sur la gestion très controversée du troisième confinement, en février-mars, quand le gouvernement et Emmanuel Macron ont refusé de suivre les préconisations du conseil scientifique.
ubr84 a écrit:Coldo3895 a écrit:ubr84 a écrit:Coldo3895 a écrit:"Propriété" ça ne veut pas forcément dire bâtiment ou terrain.
On peut être propriétaire d'une licence, d'un droit d'exploitation, d'une... concession.
Je me vois quand mon employeur voudra me licencier lui répondre : tu n'as pas le droit, je suis propriétaire du contrat de travail."
Ben... ton employeur ne peut pas te virer n'importe comment, ni sans les indemnisations prévues au contrat, etc...
C'est la France, tu sais, ce pays ultra-libéral...
Et donc ? Tu dirais que mon contrat de travail est "inviolable et sacré" ? C'est intéressant comme concept
ubr84 a écrit:Et au fait sachant que, en France, on exproprie pour construire des routes et des voies ferrés et des aéroports tu dirais aussi que les infrastructures de transport ne relèvent pas de la "nécessité publique". Je ne te savais pas un tel fervent ZADiste
Coldo3895 a écrit:Il est parfaitement permis d'exproprier en France...
ubr84 a écrit:Coldo3895 a écrit:Il est parfaitement permis d'exproprier en France...
C'est exactement ce que je dis...
C'est bien pour ça que ton argumentaire initial sur le fait qu'on ne puisse pas casser un contrat de concession au nom du droit de propriété n'a à peu près aucun sens.
ubr84 a écrit:Et un contrat n'est par définition par inviolable vu que chaque partie peut le rompre quand elle le souhaite (sous réserve d'éventuelles indemnités). Ca veut dire quoi inviolable pour toi ? Parce que moi je peux casser mon contrat de travail quand je veux, c'est pour moi l'exact opposé du mot inviolable non ? Ou je suis débile ?
ubr84 a écrit:Ou je suis débile ?
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