Gorkh a écrit:Les gens confondent trop souvent diversité éditoriale et journalisme d'investigation.
À quoi ça sert d'avoir plusieurs opinions sur des faits si il n'y a personne pour les découvrir ?
Gorkh a écrit:Les gens confondent trop souvent diversité éditoriale et journalisme d'investigation.
À quoi ça sert d'avoir plusieurs opinions sur des faits si il n'y a personne pour les découvrir ?
Mirdhynn a écrit:Je suis en train de regarder c'est dans l'air, que des médecins autour de la table
J'ai envie de donner des claques aux intervenants . Morceaux choisis :
un reportage sur des patrons de restaurants qui sont au bord du gouffre car obligé de fermer . L'une des médecins dit mais qu'est ce que c'est que cette attitude ? Il ne pourra de toute façon pas ouvrir avec un personnel malade
elle a pas du comprendre que le mec il va fermer définitivement. ...
La même un peu plus tard quand on évoque le délai des tests. ben oui on s'isole tant qu'on a pas reçu le résultat.S'il y a du délai tant pis !
Quand comme par chez moi tu mets 10 jours à avoir un rdv et 1 semaine pour avoir le résultat. ..
On se plaint des politiques qui sont hors sol mais là. ...
Et ils ont les rennes du pays en ce moment
Manu85 a écrit:Dans dix jours nous serons de retour au niveau du 11 mai....
Je ne prends malheureusement pas beaucoup de risque....
Leotaud, je suis désolé mais j'ai vraiment l'impression que tu ne comprends pas comment fonctionne la dynamique de l'épidémie.
J'ai une super anaphore, quand sur autoroute à 130 on arrive à un péage, on ne freine pas 10m avant.
Plusieurs villes / régions françaises auraient déjà du être reconfiné afin de ralentir la progression de l'épidémie.
Ne pourrait-on pas renforcer les équipes et le matériel des hopitaux
Mr Degryse a écrit:Ne pourrait-on pas renforcer les équipes et le matériel des hopitaux
Médecins, infirmiers etc , cela ne s'apprend pas en 4 mois
Mr Degryse a écrit:Pour les 2 derniers constats, je suis d'accord.
Cependant, dans les endroits ou le numérus clausus a été supprimé ( cf l'Espagne), ou les études de médecine sont parait il plus faciles ( Belgique), cela n'a pas mieux marché. La situation des médecins en Espagne est même horrible. Trop d'entrée sur le marché de médecins a fait que le niveau de vie de ces professionnels a tellement baissé que le métier n'attire plus............
marone222 a écrit:Mr Degryse a écrit:Pour les 2 derniers constats, je suis d'accord.
Cependant, dans les endroits ou le numérus clausus a été supprimé ( cf l'Espagne), ou les études de médecine sont parait il plus faciles ( Belgique), cela n'a pas mieux marché. La situation des médecins en Espagne est même horrible. Trop d'entrée sur le marché de médecins a fait que le niveau de vie de ces professionnels a tellement baissé que le métier n'attire plus............
Justement, ne pourrait-on pas faire venir (ponctuellement) des équipes médicales (médecins, infirmiers) de ces pays ayant des disponibilités pour renforcer les hopitaux marseillais ? Ils seraient grassement rémunérés + voyage + hotel, etc...Cela couterait de toute manière moins cher que de mettre des milliers de personnes au chomage et de fermer définitivement des milliers de business...
Mr Degryse a écrit:Cependant, dans les endroits ou le numérus clausus a été supprimé ( cf l'Espagne), ou les études de médecine sont parait il plus faciles ( Belgique), cela n'a pas mieux marché. La situation des médecins en Espagne est même horrible. Trop d'entrée sur le marché de médecins a fait que le niveau de vie de ces professionnels a tellement baissé que le métier n'attire plus............
Brian Addav a écrit:
ouh la !!! ça a été fait au mois de mars ailleurs hein. Et c'est compliqué hein !
T'imagines pas tout le pataquès d'administration pour gérer tout ça !!! Non non, c'est faisable, mais faut qq mois pour mettre en place le système, surtout le n° vert.
biborax a écrit:En France il y a un autre problème, face au manque de médecin pérenne, on fait appel à des remplaçants ou vacataire qui sont grassement payés, ce qui pose des problèmes de trésorerie aux hôpitaux.
https://www.lepoint.fr/sante/urgences-ces-medecins-interimaires-qui-gagnent-une-fortune-09-09-2019-2334460_40.php#
Entre 2015 et 2019, la taille du stock a en effet été divisée par deux, tant en volume qu’en valeur. On est ainsi passé en cinq ans de 86 millions d’unités d’antibiotiques à 12 millions, de 141 millions d’unités d’antidotes à 96 millions, et de 303 millions d’antiviraux à 51 millions. Les masques FFP2 ont quasiment disparu tandis que le nombre de masques chirurgicaux est passé de 795 millions à 459 millions. Cette chute s’explique par le fait qu’une partie importante du stock était arrivée à péremption et a été détruite, sans que de nouvelles commandes soient passées.
marone222 a écrit:Pour les masques, oui. Pour le reste, je ne crois pas
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