Mirdhynn a écrit:toque a écrit:Oui tu as raison c'est chaud. Tous les étudiants qui se présente on leur fou un flingue sur la gueule et on les empêche de sortir de l'amphi.
Non, on ne les empêche pas de sortir mais de rentrer. Alors jouons sur les mots, c'est une prise d'otage inversée.
Nop l'inversse d'une prise d'otage c'est pas une prise d'otage, c'est un blocage. C'est vous qui joué sur les mots en les travestissant. Pas moi.
Mirdhynn a écrit:Donc oui, c'est une prise d'otage :
Non non et non, tu peux t’entêter. Une prise d'otage ce n'est pas ça.
Mirdhynn a écrit:"Si vous ne me donnez pas mon année, personne ne l'aura".
La tu utilise l'argument d'un branleur en vidéo sur youtube pour caricaturer le tout mouvement.
Mirdhynn a écrit:Pour te donner une image, on peut faire la scène au cinéma avec un mec qui prends en otage sa femme qui vient de le plaquer "Si je ne peux pas l'avoir personne ne l'aura".
Oui, un homme qui séquestre une femme chez lui pour quelques raison que ce soit c'est une prise d'otage. Mais cela n'a rien à voir avec le blocage des facs. Si tu veux faire un parallèle bancale, on pourrait dire que le blocage des facs c'est comme si un homme empêché l’accès au son domicile à sa femme. Et encore c'est bancale.
Pour l'argument de l'année de fac qui coute chère. C'est le même que celui des train qui empêche les salariés qui ne peuvent pas se permettre de faire grève d'aller travailler. C'est une réalité.
Mais prenez du recul. Le souci ce ne serais pas plutôt la paupérisation des étudiants et la précarité des travailleurs ?