toque a écrit:Nous sommes tellement habitué a réfléchir sous le prisme du libéralisme que dés qu'un journaliste ose sortir de ce prisme il deviens militant ...
Soyons clair je n'ai pas trouvé Plenel bon dans cet exercice difficile. Cependant la neutralité n'existe pas, et tous les journalistes sont désormais dans le moule libéral. Tous ! Et pour une bonne raison, tous les journaux appartiennent à des milliardaires libéraux.
Je ne parle pas du fond mais bien de la forme.
Bien sûr que personne n'est objectif, et surtout pas les journalistes.
Mais il est clair que Plenel n'avait aucune intention d'interviewer Macron. Il ne s'agit pas de sortir ou de rentrer dans un prisme.
Personnellement je pense qu'une interview n'est pas supposée ressembler à un débat entre 2 camps.
Un exemple frappant était la discussion autour des manifs étudiantes. Plenel n'a absolument pas interrogé Macron sur le fond de la loi, de la réforme. Il aurait pu, s'il avait fait un vrai boulot de journaliste, attaquer sérieusement Macron sur sa loi.
Mais il a choisi volontairement l'approche militante en accumulant les mensonges et approximations.
Et ça s'est vu.
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti !... Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !...