--- Sympa, la chronique ; ça donne envie de le lire !
Le début de l'histoire semble renvoyer aussi à Little Big Man, d'Arthur Penn.
Édit : enfin, pas tout à fait : il aurait fallu que ce soit Lucky Luke lui-même, que le gars vienne voir... pardon.[/quote] Moi qui vient de finir cette lecture, je dirais que c'est de loin le meilleurs Lucky Luke vu par.. Et ça faisait longtemps que j'avais pas aussi bien ris sur une bd récente.
En replongeant dans les archives d'anciens calendriers Spirou, je constate que Lucky Luke par Achdé ressemble pas mal à une femme, lorsqu'il est vu de face... .
lusabets a écrit:En replongeant dans les archives d'anciens calendriers Spirou, je constate que Lucky Luke par Achdé ressemble pas mal à une femme, lorsqu'il est vu de face...
Je pencherai plutôt pour un transgenre pan-sexuel vegan non-binaire PTSD...
lusabets a écrit:En replongeant dans les archives d'anciens calendriers Spirou, je constate que Lucky Luke par Achdé ressemble pas mal à une femme, lorsqu'il est vu de face...
Je pencherai plutôt pour un transgenre pan-sexuel vegan non-binaire PTSD...
Avec JUL au scénario, fallait pas s'étonner
Nobody is gonna hit as hard as life. But it ain’t about how hard you hit. It’s about how hard you can get hit and keep moving forward; how much you can take and keep moving forward.
alambix a écrit:Avec JUL au scénario, fallait pas s'étonner
Effectivement. Et comme ce n'est plus Jul qui s'adapte à l'univers de Lucky Luke mais que c'est l'univers de Lucky Luke qui doit s'adapter à celui de Jul, on peut craindre le pire pour le prochain album Espérons que celui-ci ne soit pas entièrement rédigé en écriture inclusive...
Nobody is gonna hit as hard as life. But it ain’t about how hard you hit. It’s about how hard you can get hit and keep moving forward; how much you can take and keep moving forward.
Blague à part, j'ai relu "La corde au cou" pendant ces "vacances". Étonnement, j'ai pris bien plus de plaisir avec cet album "scénarisé" par Gerra (entre guillemets parce j'ai un doute sur la nature exacte de son travail) qu'avec ceux de JUL. JUL qui me fait regretter Gerra ...
Nobody is gonna hit as hard as life. But it ain’t about how hard you hit. It’s about how hard you can get hit and keep moving forward; how much you can take and keep moving forward.
Ils bénéficiaient quant à eux de la caution morale, non pas des ayants-droit, mais des auteurs mêmes qu'ils pastichaient et parodiaient allègrement.
J'ai posté sur le topic dédié à Giraud- Moebius les contributions de Gir et de Gotlib dans le Pilote 631 spécial 25e anniversaire de Lucky Luke, de décembre 1971. C'est ICI.
Mais en ajouter davantage reviendrait à polluer le topic par des hors-sujets. Donc, la suite vient ici.
Miss Bretécher, qui bossa un temps avec Goscinny, avec Raoul Cauvin, puis aux côtés de Gotlib et Mandryka au sein de Pilote et plus tard en fondant l'Echo des Savanes avant de se lancer en solo dans le Nouvel Obs pour s'y moquer notamment de la gauche bobo-caviar (à la demande de ses employeurs), ne manqua pas de donner sa version "du" cow-boygirl solitaire dans une savoureuse parodie. Evidemment truffée de clins d'œil et de références.
Pour un format plus agréable et une netteté du trait, préférez le lien ci-après. Cliquez là... Vous bénéficierez de la faculté d'agrandir la planche et, en outre, le scan inclut le titre du gag avec en médaillon la caricature de Claire Bretécher par le spécialiste maison, Alexis.
Dans la deuxième vignette, je précise pour les plus jeunes que l'air que fredonne notre cow-girl (Papy blue) est un détournement-inversion (féminisme à la sauce Bretécher oblige) du tube planétaire de 1970 "Mamy blue" (en France, ce fut Nicoletta qui popularisa la chanson écrite par un certain Giraud Hubert et interprétée pour la première fois par un italien).
Dernière édition par Cabarezalonzo le 06/12/2022 18:45, édité 2 fois.
J'ai l'album d'hommages dont tu parles. Quant à ces gags de Malabar, ils passaient dans Tintin et/ou dans Spirou, Pif, etc... Mais il ne s'agit plus d'hommage ni de "vu par" mais d'utilisation de LL à des fins publicitaires.
Cabarezalonzo a écrit: Miss Bretécher, qui bossa un temps avec Goscinny, avec Raoul Cauvin, puis aux côtés de Gotlib et Mandryka au sein de Pilote et plus tard en fondant l'Echo des Savanes avant de se lancer en solo dans le Nouvel Obs pour s'y moquer notamment de la gauche bobo-caviar (à la demande de ses employeurs), ne manqua pas de donner sa version "du" cow-boygirl solitaire dans une savoureuse parodie. Evidemment truffée de clins d'œil et de références.
C'est digne de Mondo Reverso
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)
Tout à fait, des transferts ou inversions de genre d'avant l'heure.
Sinon, à propos de cette couverture du Corriere dei Piccoli de juillet 1967, je me demande bien quel est l'artiste italien qui aurait réalisé cette couverture ? A moins qu'il ne s'agisse d'un bidouillage de maquettiste ? Solomon pourra peut-être nous éclairer ?
Dans cette revisitation, le dessinateur a visiblement repris le "Rantanplan-truffe-au-sol" de l'ouverture de Sur la piste des Dalton.
Enfin lu choco-boys. Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi les gays sont qualifiés de salopettes ? Est-ce que c'est un mot péjoratif qui existe ou bien c'est un jeu de mot du traducteur (sur la base de lopette j'imagine) ?
"Pour qu'il y ait le moins de mécontents possibles il faut toujours taper sur les mêmes." Jacques Rouxel