yodada a écrit:Ce que l'on peut ressentir pour une BD varie beaucoup, on peut conseiller une lecture mais parfois ce que les autres ont aimé, on peut ne pas apprécier ! Moi ça m'arrive tout le temps, on me conseille telle ou telle BD et franchement à la lecture je ne ressens rien de particulier !
nexus4 a écrit:Je crois que le syndrome madeleine de Proust y est pour beaucoup.
fleur a écrit:pour passer un coup de plumeau dessus?
NIKE WAYNE a écrit:Même constat que Magic Fred, j'avais acheté les rééditions chez 12 bis pour découvrir cette série.
J'ai lu les trois premiers tomes, mais la magie n'a pas entièrement agi sur moi non plus, les dessins et l'histoire sont intéressants, je n'en disconviens pas, mais j'attendais un plus par rapport à d'autres albums. Néanmoins, il me reste deux volumes pour que la vapeur soit inversée...
fleur a écrit:tiens, ça me donne envie de retrouver l'avatar Isa
nexus4 a écrit:Dans le même genre, je me demande quel est l'age moyen des afficionado de la Marque Jaune.
marieeve a écrit:'ai aussi appris des trucs en relisant les compagnons. Pas simple au premier abord ces histoires de forces blanche-rouge et noire, c'est ce qui rend la relecture plus plaisante.
Les Passagers du vent ont été l’incontestable phénomène éditorial de l’année 1980. Bourgeon fait partie de cette génération d’auteurs qui a fait ses débuts chez Fleurus Presse, comme Juillard ou Dermaud, et qu’Henri Filippini a l’intelligence d’amener chez le jeune éditeur Glénat avec du matériel prépublié dans Djinn ou Formule 1. Devant le succès relatif de ces titres, Glénat accepte de publier de nouvelles séries inédites. Il n’est pas très emballé par cette « nouvelle histoire de pirates », un thème plus vraiment à la mode. Filippini insiste et l’histoire finit par passer dans Circus en 1979, il y a tout juste 30 ans.
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