Morti a écrit: par principe je prendrais un bâtard ou un chat trouvé (on trouve rarement des chats de race) parce que ceux-là, ils resteront sur le carreau...et qu'à mon niveau, c'est tout ce que je peux faire.
Dans mes bras !
Mes parents ont récupéré un bébé chat blessé et abandonné qui miaulait dehors dans la nuit, depuis c'est devenu le plus adorable des chats et ça fait vraiment plaisir de le voir si bien quand on repense à ce qu'il aurait pu devenir.
A Lyon avec Miss_Eko nous avons nourris des bébés chats qui se cachaient dans les caves de notre immeuble, et nous les voyions jouer dehors le matin parfois, j'ai rarement vu une scène aussi "mignonne" avec des animaux, et pour rien au monde je ne regrette de les avoir nourri. J'en ai même attrapé un que je voulais garder, mais vu ce qu'il a fait de mon bras durant quelques instants où je l'ai porté après avoir miraculeusement réussi à l'attraper, j'ai préféré abandonner. Et puis le revoir jouer avec son frère et sa mère après m'a vraiment fait plaisir, je regrette désormais de ne plus les voir (ils sont grands, je ne vois plus que la mère de temps en temps), je m'y étais attaché comme rarement.
En tout cas, même si je comprends parfaitement l'argument de lutindesbois, je serais à la place du boucher je ferais pareil, j'en aurais besoin et ne pourrais pas ne pas le faire. Cela dit, je ne pourrais pas être boucher, par sentimentalisme, justement.




Tu cohabites avec le renard, mon gars, et si tu n'en as pas encore croisé, ça ne tardera pas : ils ont à peine terminé la période d'éducation des jeunes qui sont chassés par leur mère et doivent trouver un nouveau territoire! Sans rire : Je collabore avec un cinéaste qui prépare un documentaire sur la faune sauvage bruxelloise, il m'a montré un extrait de ses rushes où l'on voit maître Goupil se balader au milieu des passants à peine noctambules à proximité de la station de métro Maelbeek.










