Charlus a écrit::nononon:
Les retours (y compris le mien) sont plutôt bon sur les BD millenium.
Draxxen a écrit:Je me permet de te conseiller les films de Niels Arden Oplev et Daniel Alfredson (je n'ai pas vu celui avec Daniel Craig) qui ont le mérite je pense de garder l'esprit 'suédois'.
Quant aux BDs, je les ai feuilletées, à l'époque de leur sortie et j'ai trouvé ça bien pourri
chris24 a écrit:Il ne faut à mon avis pas fermer la porte aux reprises et réinterprétations. J'ai autant aimé le Seigneur des Anneaux en livre qu'en film par exemple. Différents supports peuvent servir la même histoire, la compléter sans forcément lui nuire. Comme différents éclairages. Je ne veux pas dire par là non plus que toutes les adaptations sont justifiées mais systématiquement fermer la porte me semblerait dommage...
Tireg a écrit:Le fond et la forme sont choisis par les auteurs, les transposer sous une autre forme, c'est fatalement dénaturer ce qui fait l'essence du fond.
nexus4 a écrit:Tireg a écrit:Le fond et la forme sont choisis par les auteurs, les transposer sous une autre forme, c'est fatalement dénaturer ce qui fait l'essence du fond.
Ah non, pas d'accord ! Au contraire, tout l'intérêt des adaptations est de changer la forme en restant fidèle au fond.
Faire du mot à mot n'a aucun intérêt.
nexus4 a écrit:Tireg a écrit:Le fond et la forme sont choisis par les auteurs, les transposer sous une autre forme, c'est fatalement dénaturer ce qui fait l'essence du fond.
Ah non, pas d'accord ! Au contraire, tout l'intérêt des adaptations est de changer la forme en restant fidèle au fond.
Faire du mot à mot n'a aucun intérêt.
nexus4 a écrit:Tireg a écrit:Le fond et la forme sont choisis par les auteurs, les transposer sous une autre forme, c'est fatalement dénaturer ce qui fait l'essence du fond.
Ah non, pas d'accord ! Au contraire, tout l'intérêt des adaptations est de changer la forme en restant fidèle au fond.
Faire du mot à mot n'a aucun intérêt.
edgarmint a écrit:Après, il est évident que certaines adaptations de romans (ou autre) en bande dessinée ont dû avoir comme point saillant, dans le sens positif du terme, une/des trahison(s) à l'esprit/la lettre du texte. Je n'ai pas d'exemple en tête et suis loin de chez moi, loin de mes livres...
edgarmint a écrit:Pour revenir à cette comparaison, j'ai vu ces derniers mois sur les étals une adaptation en bande dessinée de La nouvelle rêvée d'Arthur Schnitzler sous le titre La nouvelle de rêve ( nouvelle-de-reve-hinrichs-le-nouvel-attila-t67562.html ), avec en bandeau un texte un rien racoleur qui disait en substance "adapté de la nouvelle qui a inspiré Eyes wide shut". Le style graphique, très mécanique et, par là même, déshumanisé, m'est apparu tellement éloigné de l'esprit de la nouvelle que ça relevait pour moi de l'incongruité. J'ai fait, à tort peut-être, un blocage sur ce point. Après, il est évident que certaines adaptations de romans (ou autre) en bande dessinée ont dû avoir comme point saillant, dans le sens positif du terme, une/des trahison(s) à l'esprit/la lettre du texte. Je n'ai pas d'exemple en tête et suis loin de chez moi, loin de mes livres...
Thierry_2 a écrit:...
Si je n'avais pas lu le roman de Claudel, j'aurais certainement adoré cet album. Parfois, l'ignorance a du bon
Thierry_2 a écrit:pour moi, une adaptation doit apporter quelque chose à l'oeuvre original et ne pas se limiter à être un déclaque.
edgarmint a écrit:J'entends bien, mais toute bande dessinée amènera au moins une vision, une interprétation graphique du livre, donc quelque chose ; un plus, un moins, c'est selon (le lecteur). Dans le cas présent, cette fidélité au texte, d'après ce que je comprends, me semble être voulue, Manu Larcenet livre sa vision, le cheminement parallèle et fou de l'horreur et de la beauté, de la violence et de la sérénité. Des hommes et de la nature en quelque sorte.
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