Désolé, mais je continue à dire que ça veut rien dire.biborax a écrit:le fond du problème c’est le manque de lit d’hospit :
S’il y a une activité quasi quotidienne dont Marie-Astrid Piquet, gastro-entérologue au CHU de Caen, se passerait volontiers, c’est bien celle de chercher des lits pour hospitaliser des patients. « Ce week-end, j’ai passé deux heures pour en trouver un à un malade transféré depuis Cherbourg, raconte-t-elle. Comme quasiment à chaque fois, j’ai été obligée pour l’accueillir de faire sortir un autre malade plus tôt qu’il n’aurait fallu. » Lorsqu’elle était interne, le service comptait 90 lits d’hospitalisation complète. Vingt-cinq ans plus tard, il n’en compte plus que 40, ainsi que 10 d’hospitalisation de semaine et 20 places à la journée.
Depuis plus de trente ans, le mouvement a été massif dans les hôpitaux français. Entre 1993 et 2018, près de 100 000 lits ont été fermés, dont 83 000 en médecine, chirurgie et obstétrique, soit, pour cette seule catégorie, une baisse de 29 % en vingt-cinq ans, selon les calculs du géographe de la santé Emmanuel Vigneron.
Ces lits ont été fermés au profit d’une prise en charge en « ambulatoire », c’est-à-dire sans nuit à l’hôpital mais « sans que corrélativement les places d’alternatives à l’hospitalisation traditionnelle suivent », souligne M. Vigneron. Selon lui, les pouvoirs publics ont « préféré jouer sur les durées d’hospitalisation pour libérer des capacités à l’année ».
dod a écrit:Le covid c'est maintenant , là , tout de suite.....pas le temps d'attendre de résoudre un problème vieux de plusieurs années...
Charlus a écrit:dod a écrit:Le covid c'est maintenant , là , tout de suite.....pas le temps d'attendre de résoudre un problème vieux de plusieurs années...
ça et si on peut aussi éviter les arguments du style :
- avant ils étaient pas vaccinés (bah oui, il y avait pas de vaccin)
- autant rendre la vaccination obligatoire (bah non, il n'y a pas encore assez de vaccin)
Charlus a écrit:Si on parle spécifiquement du COVID et en particulier de la première vague, on a réalloué hommes et lits, moi je considère que le système a fonctionné et en tout cas a encaissé le choc.
Ce qu'il a manqué, ce sont des respirateurs artificiels, mais on sait maintenant que ce n'est pas le bon traitement (en tout cas pas systématique).
Dans certaines régions, on a même surréagit dans la réallocation.
Donc encore une fois, non.
dod a écrit:Oui et non....
Le manque de lut explique forcément que le système risque de craquer lors d'une vague ...c'est sûr qu'en doublant les lits et les effectifs tu as moins de problèmes....
Mais comme Charlus et Myrdhin l'expliquent c'est un problème multifactoriel en causes et en solution....
Le covid c'est maintenant , là , tout de suite.....pas le temps d'attendre de résoudre un problème vieux de plusieurs années...
Là maintenant pour éviter le craquage du système c'est Vaccin ET maintien de plusieurs gestes barrières....
Malheureusement....
biborax a écrit:Charlus a écrit:Si on parle spécifiquement du COVID et en particulier de la première vague, on a réalloué hommes et lits, moi je considère que le système a fonctionné et en tout cas a encaissé le choc.
Ce qu'il a manqué, ce sont des respirateurs artificiels, mais on sait maintenant que ce n'est pas le bon traitement (en tout cas pas systématique).
Dans certaines régions, on a même surréagit dans la réallocation.
Donc encore une fois, non.
On a réalloué des lits et du personnel, en désorganisent les hôpitaux, déprogramment soins et opérations. Pas vraiment la bonne solution. On a sacrifié des soins nécessaire sur l’autel du covid faute de moyens qui avant existé…
sergent latrique a écrit:En voilà un qui mérite un pass "VIP - platinum member"
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/au-b ... d-20210820
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités