Genug a écrit:Dans le même temps on est chez Van Hamme, on sait combien ça le titille puisqu'il en fout partout et c'est aussi l'une de ses limitations : il voit des gouines partout. Pour tout le talent que je lui reconnais évidemment, je suis à peu près sûr que jamais Van Hamme ne s'aventurera à montrer un homo (je ne parle évidemment pas d'un personnage principal, hein, mais ne fût-ce qu'un second rôle) : autant il se sent à l'aise avec les lesbiennes malgré le (ou en raison du) cliché que ça représente, je doute qu'un jour il ose (bon, "oser" n'est peut-être pas le bon terme, peut-être plutôt "prenne le risque"...?) animer un homo. Et s'il s'y aventure, on peut craindre le bête cliché de la folle (cf. le refus de Francq de dessiner l'histoire que Van Hamme avait initialement prévue pour ce tome 17, parce qu'elle devait se dérouler en Afrique noire et que Francq était convaincu que Van Hamme ne saurait pas faire autre chose que des clichés). On assiste à ça aussi dans le DVD Largo, quand Van Hamme découvre sur l'écran de son ordinateur le physique que Francq a donné à un personnage féminin : c'est à peu près le contraire de ce que Van Hamme avait demandé, et au téléphone on entend Francq déclarer que oui mais il essaye toujours d'échapper aux clichés (sous-entendu "lui").Pandora10 a écrit:Je suis d'accord avec toi sur le côté gouine-camionneuse vulgaire
Ca y est ! Tu t'es réveillé !
P'tet un peu forcé sur l'café, quand même...