Lecture du tome 21 achevée et toujours aussi plaisante.
Ce tome contient essentiellement des histoires courtes de 10 pages, ayant pour intrigue une situation de la vie quotidienne. Les péripéties, rebondissements et surprises s’enchaînent, à chaque fois, avec une fluidité remarquable, tant au niveau de l’histoire que du dessin, le tout sur un ton humoristique indémodable. J’ai également apprécié, et trouvé remarquable, que, bien souvent, la fin n'est pas connue d'avance.
Plusieurs infos sympas dans les dossiers, avec, par exemple, une allusion à Gotlib et un quatrième caballero inédit.
Concernant le jeu des erreurs, on n’est, bien entendu, pas déçu !
En voici quelques-unes, aperçues en première lecture et pour certaines déjà signalées par jb18v.
Page 21, case 3, pas de ponctuation à la fin de la phrase. Un point d’exclamation, certainement.
Page 54, case 7, « vegeance », au lieu de « vengeance ».
Page 68, présentation de l’histoire « Le Faucon maté », qui est dans le tome 20, page 68, sans rapport avec l’histoire de ce tome qui est « pêche d’expert ».
Une curiosité dans la traduction de l’histoire « Huissier sans pitié ! » : on fait référence à un impayé de 1997, page 166, et à un autre impayé de 1940.
Page 199, case 6, deux fois le même texte dans les bulles : « On ne peut plus ouvrir la porte ! ». Le Trésor de Picsou n°27 propose pour la seconde bulle : « Le gardien est réveillé ! ».
Même problème de redite, page 246, case 8, et page 247, case 1, où on a le même texte : « Le maire a dit de les apporter à son bureau ! Il faut que je les attrape ! ». Pour la première de ces deux bulles, le journal de Mickey 27 propose « Les insectes ! Ils sont de nouveau dans mon potager ! ».
Page 304, case 8, on a un « plus turd » au lieu d’un « plus tard ».
Page 320, case 2, on a un « rrouvé » au lieu d’un « trouvé ».
Page 345, on a un « rit au éclat » au lieu d’un « rit aux éclats » et il est fait référence à la page 350, alors que cela devrait être la page 354.
Pages 382 et 383, plusieurs hésitations entre « Bombi » et « Bombie ».
Au niveau des couleurs, quelques manques de cohérence à l’intérieur d’une même l’histoire, comme dans « Dinde en péril », où la boîte aux lettres de Donald est rouge, page 212, puis mauve à la page 218.