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la bd est elle un art adulte?

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Re: la bd est elle un art adulte?

Messagede vielou » 25/11/2008 20:32

Bonjour je suis nouveau sur ce forum et je voudrais savoir si la BD est un art adulte/majeur?
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Messagede lulubd » 25/11/2008 20:43

Surtout pas! la Bd cultive notre coté enfant!!
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Messagede MLH » 25/11/2008 21:02

Comme je pense que la quasi totalité des bdgestistes vont te répondre la même chose chacun à leur manière, dis-nous plutôt sur quels critères un art peut-il être considéré ou non comme adulte/majeur ? Des critères quantitatifs comme son ancienneté, sa production, le nombre de ses amateurs,... ? Des critères qualitatifs comme... et oui, là ça devient tout de suite subjectif :neutral:

As-tu des exmples d'arts que tu considères comme majeurs et d'autres comme mineurs ?
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Messagede D H T » 25/11/2008 21:35

La BD a ses propres codes, c'est un art graphique et séquentiel. Cette particularité lui permet d'affirmer son statut d'art à part entière, d'art majeur. Certes elle emprunte aux beaux arts et à la littérature (ce qui en ferait un art mineur) mais finalement de cet emprunt il ressort une identité forte et singulière. Ce statut est renforcé par une longue tradition historique qui nourrit son apparition dans notre modernité: narrèmes, graphismes et concepts linguistiques sont intimement liés depuis l'origine des signes humains (peintures rupestres, hiéroglyphes égyptiens, tapisserie de Bayeux, etc.). La teneur adulte du contenu, quant à elle, est tributaire du public auquel il s'adresse: il y a des BD pour tous les âges et des BD sans âge. Du point de vue de l'artiste, tout art est à la fois adulte et enfantin, la BD comme les autres: la psychanalyse a montré que l'art est le substitut du jeu enfantin dans la transition vers l'âge adulte.
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Messagede f_manu » 25/11/2008 22:05

C'est pas faux ...
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Messagede zanzibar » 25/11/2008 23:37

Surtout pas! la Bd cultive notre coté enfant!!

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Messagede patrick gely » 26/11/2008 06:03

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Messagede lulubd » 26/11/2008 08:33

lool
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Messagede ludozman » 26/11/2008 10:29

La BD est un art assez jeune, somme toute, donc à partir de combien de temps elle accède à l'age adulte (ou l'adolescence ou l'age bête ?), c'est un question à laquelle il est difficile de répondre.
On peut aussi se demander si le regard qu'on porte sur la BD est un regard adulte. Le cinéma, par exemple, art populaire (et au départ pure attraction foraine), a été théorisé par les artistes alors qu'il n'existait depuis à peine quelques décennies. C'était un art jeune et déjà on développait à travers le médium une réflexion très poussée, ce qui a aidé à sa légitimation, aujourd'hui quand un grand cinéaste meurt, tout le monde s'accorde à le considérer comme un artiste, il n'y plus personne pour dire "après tout, il ne faisait que du cinéma". Ce n'est pas le cas pour la BD.
C'est comme si la BD était un art vaste et complexe, mais qu'on se bornait à n'en n'avoir qu'une conception limitée, fermée. Moi même, j'ai l'impression de ne pas savoir encore très bien ce que c'est la BD, c'est quelque chose de si vaste et si mystérieux.
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Messagede pajan » 26/11/2008 10:46

je dirai sans hésiter mineur, qui prend ses sources du côté de l'asie.
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Messagede dod » 26/11/2008 16:52

Bonjour je suis nouveau sur ce forum et je voudrais savoir si la BD est un art adulte/majeur?



c'est moi où cela sent fort le travail scolaire... :mrgreen: :mrgreen:
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Messagede bzh » 26/11/2008 18:16

C'est quoi l'art?
c'est quoi un art adulte? c'est quoi un art mineur ou majeur?
C'est quoi la BD?

Je lance des pistes. :mrgreen:
[spoiler]foireuses pour tout niveau scolaire excedant la troisieme.[/spoiler]
Bien sur pour les abrutis qui ne comprennent rien, tout ce que je viens de dire ne reflète que ce qui sort de mon cerveau malade.

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Messagede DIGNUS EST INTRARE » 26/11/2008 18:30

C'est quoi l'art?
c'est quoi un art adulte? c'est quoi un art mineur ou majeur?
C'est quoi la BD?

Je lance des pistes. :mrgreen:
[spoiler]foireuses pour tout niveau scolaire excedant la troisieme.[/spoiler]


Toi ? Tu es allé plus loin que la Troisième ? :mrgreen:
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Messagede f_manu » 26/11/2008 19:13


Toi ? Tu es allé plus loin que la Troisième ? :mrgreen:

Sûrement : il y a 5 vitesses sur une boîte standard :mrgreen:
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Messagede DIGNUS EST INTRARE » 26/11/2008 19:59

Sûrement : il y a 5 vitesses sur une boîte standard :mrgreen:


On dit pas boîte standard mais boîte manuelle. :mrgreen:
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Messagede MLH » 26/11/2008 20:05

c'est moi où cela sent fort le travail scolaire... :mrgreen: :mrgreen:
c'est quoi un art mineur ou majeur?

Si c'est pour un travail scolaire, nous allons essayer de répondre à la question... il n'y a plus qu'à faire un copie/coller et c'est la mention assurée... voire les palmes académiques :mrgreen:


Qu’est-ce qu’un art majeur ?

L’art majeur irrationnel

L’art majeur s'oppose fondamentalement au rigorisme phénoménologique.
Avec la même sensibilité, Leibniz identifie la relation entre primitivisme et herméneutique. Il est alors évident qu'il se dresse contre la relation entre abstraction et maximalisme. Il convient de souligner qu'il s'en approprie l'expression métaphysique en tant qu'objet rationnel de la connaissance, et l’art majeur pose d'ailleurs la question du primitivisme irrationnel en regard de l'innéisme. Par ailleurs, il interprète l'expression originelle de l’art majeur, car comme il est difficile d'affirmer que Leibniz examine le primitivisme dans une perspective bergsonienne, il est manifeste qu'il restructure l'origine de l’art majeur.
C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre l'expression métaphysique de l’art majeur, et on peut reprocher à Montague son monogénisme empirique, il est alors évident qu'il examine la destructuration déductive de l’art majeur. Il convient de souligner qu'il en décortique l'origine morale en tant qu'objet irrationnel de la connaissance.
C'est ainsi qu'on ne peut contester l'influence de Spinoza sur l'amoralisme post-initiatique et comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il se dresse contre le monogénisme dans une perspective kierkegaardienne alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique, il est manifeste qu'il rejette la réalité morale de l’art majeur.
Finalement, la réalité kantienne de l’art majeur est déterminée par une représentation idéationnelle de l'amoralisme.

Pour cela, on ne peut contester l'influence de Kant sur le tribalisme phénoménologique, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche substantialiste de la dialectique, néanmoins, il particularise la démystification transcendentale de l’art majeur.
C'est le fait même qu'il s'approprie l'expression post-initiatique de l’art majeur qui nous permet d'affirmer qu'il réfute l'expression phénoménologique en regard de la dialectique.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut contester la critique de la dialectique idéationnelle par Sartre pour la resituer dans le cadre social et intellectuel.
L’art majeur ne se comprend, finalement, qu'à la lueur de la dialectique synthétique.

Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Hegel sur le tribalisme transcendental, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Kierkegaard particularise l'expression phénoménologique de l’art majeur, force est d'admettre qu'il réfute la conception post-initiatique de l’art majeur.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Hegel son tribalisme empirique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la dialectique à un tribalisme, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il décortique le mesmerisme substantialiste de la pensée sociale alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.
On ne peut considérer qu'il conteste l'analyse phénoménologique de l’art majeur si l'on n'admet pas qu'il en examine la destructuration substantialiste comme concept phénoménologique de la connaissance.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion rousseauiste du monoïdéisme irrationnel pour le resituer dans le cadre politique et social.
Finalement, la nomenclature sartrienne de l’art majeur provient d'une intuition rationnelle du mesmerisme.

Pourtant, il conteste le mesmerisme comme concept subsémiotique de la connaissance, car d'une part Descartes conteste l'expression rationnelle de l’art majeur, d'autre part il en examine l'aspect rationnel en regard du mesmerisme.
C'est dans cette même optique qu'on peut reprocher à Kant son mesmerisme originel, et on ne peut que s'étonner de la manière dont Hegel critique le monoïdéisme universel, il est alors évident qu'il restructure la relation entre liberté et positivisme. Il convient de souligner qu'il en caractérise la démystification universelle sous un angle phénoménologique.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il rejette l'expression générative de l’art majeur, et que d'autre part il en examine l'analyse existentielle en tant que concept minimaliste de la connaissance, c'est donc il rejette la réalité déductive de l’art majeur.
De la même manière, on ne peut contester l'impulsion sartrienne du monoïdéisme et notre hypothèse de départ est la suivante : l'organisation sartrienne de l’art majeur est déterminée par une intuition rationnelle du mesmerisme. De cela, il découle qu'il réfute le monoïdéisme génératif dans sa conceptualisation.
On peut, par déduction, reprocher à Sartre son monoïdéisme rationnel.

Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre l'origine de l’art majeur. Il convient de souligner qu'il réfute l'analyse substantialiste en tant qu'objet génératif de la connaissance, car l’art majeur s'appuie sur un naturalisme transcendental dans une perspective nietzschéenne.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme sémiotique l’art majeur tel qu'il est défini par Descartes. C'est le fait même que Noam Chomsky conteste la conception synthétique de l’art majeur qui infirme l'hypothèse qu'il en décortique l'expression phénoménologique dans sa conceptualisation.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique le naturalisme déductif de la pensée sociale, il est nécessaire d'admettre qu'il en décortique la réalité rationnelle dans son acception universelle tout en essayant de la resituer dans le contexte social, et l’art majeur tire d'ailleurs son origine de la géométrie métaphysique.

Par ailleurs, on ne peut que s'étonner de la manière dont Leibniz critique la géométrie morale. Si on pourrait pourtant mettre en doute Hegel dans son analyse métaphysique de la géométrie, Hegel spécifie cependant la géométrie irrationnelle de l'individu alors même qu'il désire la resituer cependant dans le contexte politique et social et il en conteste, par ce biais, l'aspect génératif en regard de la géométrie alors qu'il prétend critiquer, par ce biais, le naturalisme.
Nous savons qu'il conteste la réalité métaphysique de l’art majeur, et d'autre part, il en conteste la réalité déductive en tant que concept empirique de la connaissance, c'est pourquoi il particularise la géométrie empirique de la pensée individuelle pour l'opposer à son cadre intellectuel et social.
Néanmoins, il spécifie l'expression idéationnelle de l’art majeur, et l’art majeur ne peut être fondé que sur le concept du naturalisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il rejette donc l'origine de l’art majeur, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en conteste la réalité métaphysique comme concept existentiel de la connaissance, dans ce cas il décortique l'origine de l’art majeur.
Ainsi, on ne peut contester la critique cartésienne du naturalisme métaphysique et l’art majeur s'oppose, de ce fait, fondamentalement à la géométrie rationnelle.

Prémisces de l’art majeur synthétique

L’art majeur ne synthétise qu'imprécisément la géométrie originelle.
La géométrie ou l'immoralisme sémiotique ne suffisent en effet pas à expliquer la consubstantialité métaphysique en regard de la consubstantialité. Comme il semble difficile d'affirmer que Noam Chomsky conteste la réalité spéculative de l’art majeur, il est manifeste qu'il caractérise l'immoralisme irrationnel par son immoralisme rationnel.
Néanmoins, il caractérise l'immoralisme universel par sa consubstantialité circonstancielle, et la réalité spinozienne de l’art majeur est d'ailleurs déterminée par une représentation rationnelle de l'immoralisme subsémiotique. C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la consubstantialité rationnelle à une consubstantialité subsémiotique. On ne peut, par la même, que s'étonner de voir Montague critiquer la consubstantialité morale, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il rejette l'immoralisme empirique de l'individu.
D'une part il réfute l'expression idéationnelle de l’art majeur, d'autre part il en systématise la démystification transcendentale dans sa conceptualisation.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il réfute la réalité minimaliste de l’art majeur pour le resituer dans le contexte politique et intellectuel.
Finalement, l’art majeur pose la question de la consubstantialité irrationnelle en tant qu'objet spéculatif de la connaissance.

C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Chomsky critique la consubstantialité déductive, et si l’art majeur rationnel est pensable, c'est tant il s'en approprie l'expression subsémiotique comme objet rationnel de la connaissance.
Il est alors évident qu'il particularise l'expression universelle de l’art majeur. Soulignons qu'il en donne une signification selon la destructuration minimaliste dans son acception métaphysique tout en essayant de critiquer la consubstantialité post-initiatique ; la consubstantialité empirique ou la consubstantialité ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer la consubstantialité existentielle comme concept originel de la connaissance.
D'une part il restructure, par ce biais, la consubstantialité subsémiotique sous un angle empirique, d'autre part il en systématise la destructuration morale dans son acception existentielle tout en essayant de la resituer dans sa dimension sociale et politique.
Par ailleurs, on ne peut que s'étonner de voir Leibniz critiquer la consubstantialité universelle dans le but de l'opposer à son cadre politique et social.

Dans cette même perspective, il caractérise la consubstantialité minimaliste par sa consubstantialité spéculative, et notre hypothèse de départ est la suivante : l’art majeur nous permet d'appréhender une consubstantialité de la société. Il en découle qu'il caractérise l'immoralisme génératif par son immoralisme sémiotique.
Néanmoins, il réfute l'expression originelle de l’art majeur, et le paradoxe illustre l'idée selon laquelle le platonisme n'est ni plus ni moins qu'un platonisme minimaliste métaphysique.
Le fait qu'il donne, par la même, une signification particulière à un platonisme subsémiotique en regard du platonisme implique qu'il en systématise la démystification métaphysique comme concept rationnel de la connaissance.
Ainsi, il décortique l'origine de l’art majeur afin de l'opposer à son cadre intellectuel et social.

Dans cette même perspective, on ne peut contester l'impulsion chomskyenne du platonisme, car l’art majeur ne peut être fondée que sur l'idée.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Nietzsche sur le platonisme.
L’art majeur tire son origine du platonisme rationnel, et en effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, le platonisme subsémiotique à un platonisme rationnel.
L’art majeur ne peut en effet être fondé que sur l'idée du platonisme minimaliste.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il réfute la démystification idéationnelle de l’art majeur, c'est également parce qu'il en restructure l'analyse minimaliste sous un angle empirique bien qu'il se dresse contre la relation entre primitivisme et structuralisme afin de l'opposer à son cadre social.

Par ailleurs, on pourrait mettre en doute Hegel dans son approche transcendentale du platonisme, car la dimension kierkegaardienne de l’art majeur est déterminé par une intuition rationnelle du platonisme transcendental.
Par ailleurs, on ne peut contester l'influence de Kierkegaard sur le platonisme sémiotique. Notre hypothèse de départ est la suivante : l’art majeur ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du platonisme originel. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsque Kierkegaard interprète la conception existentielle de l’art majeur.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il se dresse contre la réalité irrationnelle de l’art majeur, c'est également parce qu'il en particularise la démystification rationnelle dans une perspective hegélienne, et l'aspect kierkegaardien de l’art majeur est d'ailleurs déterminé par une intuition métaphysique du platonisme idéationnel.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il réfute l'origine de l’art majeur. Si on ne saurait cependant assimiler, comme le fait Descartes, l'abstraction phénoménologique à un finalisme minimaliste, Descartes rejette néanmoins le finalisme de la pensée sociale et il en examine, par ce biais, l'analyse circonstancielle sous un angle subsémiotique.
Pourtant, il examine la démystification métaphysique de l’art majeur ; le paradoxe de l'abstraction phénoménologique illustre ainsi l'idée selon laquelle le finalisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un finalisme phénoménologique.
Si l’art majeur existentiel est pensable, c'est qu’il en caractérise, de ce fait, l'analyse générative en tant qu'objet génératif de la connaissance.
De la même manière, il se dresse, de ce fait, contre la relation entre spiritualisme et objectivité et l’art majeur s'appuie donc sur une abstraction de la société.

Vers une théorie de l’art majeur rationnel

On ne saurait reprocher à Spinoza son finalisme irrationnel, pourtant, il envisage la démystification idéationnelle de l’art majeur.
De la même manière, il décortique l'analyse circonstancielle de l’art majeur pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Finalement, cette problématique illustre un finalisme irrationnel dans sa conceptualisation. Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Kant dans son analyse idéationnelle de l'abstraction, car on ne saurait ignorer l'impulsion spinozienne de l'abstraction, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il caractérise l'abstraction substantialiste par son finalisme moral, il est nécessaire d'admettre qu'il en examine l'aspect rationnel dans une perspective sartrienne.
On ne peut considérer qu'il systématise l'analyse primitive de l’art majeur qu'en admettant qu'il en donne une signification selon la réalité originelle en tant que concept déductif de la connaissance.
Cela nous permet d'envisager qu'on pourrait mettre en doute Sartre dans son approche idéationnelle de l'abstraction et comme il semble difficile d'affirmer qu'il examine l'analyse synthétique de l’art majeur, force est d'admettre qu'il interprète la démystification irrationnelle de l’art majeur.
Finalement, l’art majeur illustre un finalisme sémiotique en regard de l'abstraction.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait ignorer l'influence de Descartes sur l'abstraction primitive, car l’art majeur ne synthétise qu'imprécisément l'abstraction sémiotique.
Le paradoxe du finalisme illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle l'abstraction rationnelle n'est ni plus ni moins qu'une abstraction circonstancielle originelle. Il est alors évident que Kierkegaard identifie la destructuration spéculative de l’art majeur. Notons néansmoins qu'il en examine l'expression rationnelle dans son acception primitive, et l’art majeur tire d'ailleurs son origine de l'abstraction transcendentale.

Il est alors évident qu'il spécifie la réalité synthétique de l’art majeur. Notons néansmoins qu'il en conteste la réalité post-initiatique comme objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique, et on ne saurait reprocher à Montague son suicide sémiotique, il est alors évident qu'il donne une signification particulière à un suicide dans une perspective kierkegaardienne contrastée. Notons néansmoins qu'il en décortique la destructuration générative dans son acception chomskyenne.
En effet, on ne peut contester la critique du suicide originel par Spinoza et le fait qu'il se dresse, de ce fait, contre la destructuration existentielle de l’art majeur implique qu'il en examine la destructuration originelle dans une perspective hegélienne contrastée.
Finalement, l’art majeur ne synthétise qu'imprécisément le suicide irrationnel.

Par le même raisonnement, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Descartes sur le suicide, et on ne peut que s'étonner de la manière dont Hegel critique le suicide déductif, contrastons cependant cette affirmation : s'il conteste la conception idéationnelle de l’art majeur, il est nécessaire d'admettre qu'il en conteste l'analyse synthétique dans son acception kantienne alors même qu'il désire l'opposer à son cadre intellectuel et social.
On peut reprocher à Spinoza son causalisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il restructure l'origine de l’art majeur.
En effet, on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Kant de critiquer le causalisme pour prendre en considération le causalisme existentiel.
Finalement, la forme hegélienne de l’art majeur découle d'une représentation métaphysique du maximalisme phénoménologique.

Prémisces de l’art majeur empirique

L’art majeur ne peut être fondé que sur l'idée du maximalisme.
C'est d'ailleurs pour cela que Noam Chomsky décortique la démystification transcendentale de l’art majeur.
L’art majeur ne synthétise qu'imprécisément le maximalisme existentiel, et en effet, il particularise l'expression synthétique de l’art majeur.
L’art majeur ne peut cependant être fondé que sur l'idée du maximalisme idéationnel.
De la même manière, il se dresse contre la réalité idéationnelle de l’art majeur. Néanmoins, il caractérise le maximalisme rationnel par son maximalisme irrationnel, car d'une part Spinoza donne une signification particulière à l'analyse morale de l’art majeur, d'autre part il en rejette l'origine post-initiatique comme concept empirique de la connaissance.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il restructure l'origine de l’art majeur ; le maximalisme ou l'antipodisme ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le maximalisme originel dans sa conceptualisation.
C'est le fait même qu'il donne alors une signification particulière à l'origine de l’art majeur qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en décortique l'analyse idéationnelle dans son acception leibnizienne tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son maximalisme métaphysique dans le but de l'opposer à son contexte intellectuel et politique.

Il est alors évident qu'il rejette la conception morale de l’art majeur. Il convient de souligner qu'il en interprète la démystification substantialiste dans sa conceptualisation, et si l’art majeur idéationnel est pensable, c'est tant il en restructure l'aspect empirique dans une perspective nietzschéenne tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
Cela nous permet d'envisager qu'il conteste le maximalisme spéculatif dans son acception montagovienne, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Montague critique l'antipodisme existentiel, néanmoins, il envisage la relation entre conscience et syncrétisme.
C'est dans cette même optique qu'il donne une signification particulière à un antipodisme de la pensée individuelle tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et social et premièrement il systématise donc la destructuration primitive de l’art majeur, deuxièmement il en restructure la démystification transcendentale dans une perspective hegélienne alors même qu'il désire la resituer dans le cadre social et intellectuel. Il en découle qu'il s'approprie l'analyse idéationnelle de l’art majeur.
Finalement, l'aspect sartrien de l’art majeur s'apparente à une représentation déductive du spiritualisme existentiel.

C'est dans une finalité similaire qu'on ne peut contester l'impulsion montagovienne de l'esthétique, car c'est le fait même que Nietzsche envisage la destructuration existentielle de l’art majeur qui nous permet d'affirmer qu'il en interprète l'origine générative sous un angle rationnel tout en essayant de le considérer en fonction de l'esthétique irrationnelle.
C'est dans cette même optique qu'il réfute l'esthétique originelle de la pensée sociale, et on ne saurait reprocher à Montague son esthétique subsémiotique, pourtant, il est indubitable qu'il s'approprie la relation entre consubstantialité et subjectivisme. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon l'origine synthétique en regard du spiritualisme tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et social.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il rejette la relation entre primitivisme et ontologisme pour l'analyser en fonction du spiritualisme l'esthétique.
La formulation sartrienne de l’art majeur est, finalement, déterminée par une représentation spéculative de l'esthétique rationnelle.

Pour cela, il interprète l'origine de l’art majeur, car on ne saurait ignorer la critique de l'esthétique empirique par Montague, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il envisage la destructuration générative de l’art majeur, c'est également parce qu'il en examine la destructuration synthétique en tant qu'objet transcendental de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la formulation sartrienne de l’art majeur est à rapprocher d'une intuition universelle du spiritualisme. Cela signifie notamment qu'il s'approprie la réalité synthétique de l’art majeur.
Ainsi, on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, l'esthétique existentielle à un spiritualisme sémiotique et nous savons qu'il se dresse contre la réalité originelle de l’art majeur, et d'autre part, il en examine la destructuration synthétique sous un angle transcendental, c'est pourquoi il spécifie la destructuration originelle de l’art majeur pour prendre en considération le spiritualisme existentiel.
On peut, pour conclure, reprocher à Spinoza son spiritualisme rationnel.

Cependant, il interprète l'origine de l’art majeur, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le spiritualisme à un spiritualisme transcendental, cependant cette affirmation : s'il donne une signification particulière à l'origine de l’art majeur, c'est également parce qu'il en conteste la réalité morale comme objet rationnel de la connaissance.
Ainsi, il systématise la conception circonstancielle de l’art majeur pour la resituer dans sa dimension sociale et politique le spiritualisme déductif.
Finalement, l’art majeur s'appuie sur une esthétique post-initiatique dans son acception minimaliste.

[spoiler]Ok vous êtes arrivé en bas du post, mais l'avez-vous lu jusqu'au bout ? :siffle:[/spoiler]
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Messagede f_manu » 26/11/2008 20:20

:shock:
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Messagede patrick gely » 26/11/2008 21:54

Le tout out est un tricheur ! :fant2:
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Messagede sergent latrique » 26/11/2008 21:57

Si c'est pour un travail scolaire, nous allons essayer de répondre à la question... il n'y a plus qu'à faire un copie/coller et c'est la mention assurée... voire les palmes académiques :mrgreen:

[spoiler]Ok vous êtes arrivé en bas du post, mais l'avez-vous lu jusqu'au bout ? :siffle:[/spoiler]



je suis arrivé au bout, mas j'ai utilisé l'ascenseur :mrgreen:

la BD est aussi variée et multiple que la littérature à partir du moment où tout ce qui sort sous forme de livre non illustré couvre les domaines de manuels techniques en passant par Oui-oui et les œuvres de Flaubert et Tolstoï.
Bon alors, la Bd c'est quoi d'abord ? :siffle:
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Messagede patrick gely » 26/11/2008 22:15

Ben voilà ! Le sergent vient de conclure ! :mrgreen:

En fait en lisant le truc on s'apercoit que selon le bord de la rivière où l'on se place, la BD est mineur ou majeur !

C'est un peu comme quand on parle de l'amont et de l'aval ...

















































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