Si c'est pour un travail scolaire, nous allons essayer de répondre à la question... il n'y a plus qu'à faire un copie/coller et c'est la mention assurée... voire les palmes académiques
Si c'est pour un travail scolaire, nous allons essayer de répondre à la question... il n'y a plus qu'à faire un copie/coller et c'est la mention assurée... voire les palmes académiques
Qu’est-ce qu’un art majeur ?
L’art majeur irrationnel
L’art majeur s'oppose fondamentalement au rigorisme phénoménologique.
Avec la même sensibilité, Leibniz identifie la relation entre primitivisme et herméneutique. Il est alors évident qu'il se dresse contre la relation entre abstraction et maximalisme. Il convient de souligner qu'il s'en approprie l'expression métaphysique en tant qu'objet rationnel de la connaissance, et l’art majeur pose d'ailleurs la question du primitivisme irrationnel en regard de l'innéisme. Par ailleurs, il interprète l'expression originelle de l’art majeur, car comme il est difficile d'affirmer que Leibniz examine le primitivisme dans une perspective bergsonienne, il est manifeste qu'il restructure l'origine de l’art majeur.
C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre l'expression métaphysique de l’art majeur, et on peut reprocher à Montague son monogénisme empirique, il est alors évident qu'il examine la destructuration déductive de l’art majeur. Il convient de souligner qu'il en décortique l'origine morale en tant qu'objet irrationnel de la connaissance.
C'est ainsi qu'on ne peut contester l'influence de Spinoza sur l'amoralisme post-initiatique et comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il se dresse contre le monogénisme dans une perspective kierkegaardienne alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique, il est manifeste qu'il rejette la réalité morale de l’art majeur.
Finalement, la réalité kantienne de l’art majeur est déterminée par une représentation idéationnelle de l'amoralisme.
etc ...
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Ce qui est bien, c'est que si on remplace Art Majeur par brosse à dent, ou cassoulet (pour faire mode), le texte garde tout son sens.
La Sartre, c'est bien le département des rillettes ? :siffle:
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As-tu des exmples d'arts que tu considères comme majeurs et d'autres comme mineurs ?
La BD a ses propres codes, c'est un art graphique et séquentiel. Cette particularité lui permet d'affirmer son statut d'art à part entière, d'art majeur. Certes elle emprunte aux beaux arts et à la littérature (ce qui en ferait un art mineur) mais finalement de cet emprunt il ressort une identité forte et singulière.
cet art mineur n'est-il pas tout simplement formidablement intéressant, comme le sont souvent les arts mineurs ou plutôt les arts bâtards
Ce qui renforce ce coté "art-mineur" c'est la quasi absence d'étude critique, universitaire et même non-universitaire( on peut me citer harry Morgan et scott Mac cloud mais ça ne va pas aller très loin).
La bande dessinée est ainsi plus proche des arts mineurs populaires, qui, échappant à toute étude intellectuelle sérieuse peuvent engendrer le pire, c'est souvent le cas, et le meilleur dans une espèce d'innocence préservée. En bref, tout le monde s'en fout donc c'est moins sclérosant pour les créateurs.
A ma connaissance il n'y a pas d'unité de recherches concernant la bande dessinée, ni même de revues critiques pérennes, et son champ critique est assez délaissé. Qu'il y ait quelques franc tireurs de qualité ne me parait pas suffisant comparé par exemple à la littérature, au théâtre ou au cinéma. Et oui, que vous le vouliez ou non un art devient majeur quand il est reconnu, et en particulier reconnu par le pouvoir intellectuel de son époque (ne pas confondre avec le pouvoir médiatique, les intellectuels influents sont souvent assez peu communiquants et délèguent volontiers ce qu'ils considèrent comme un pensum), ce qui n'est pas le cas...mais c'est pas grave.
A ma connaissance il n'y a pas d'unité de recherches concernant la bande dessinée, ni même de revues critiques pérennes, et son champ critique est assez délaissé. Qu'il y ait quelques franc tireurs de qualité ne me parait pas suffisant comparé par exemple à la littérature, au théâtre ou au cinéma. Et oui, que vous le vouliez ou non un art devient majeur quand il est reconnu, et en particulier reconnu par le pouvoir intellectuel de son époque( ne pas confondre avec le pouvoir médiatique, les intellectuels influents sont souvent assez peu communiquants et délèguent volontiers ce qu'ils considèrent comme un pensum), ce qui n'est pas le cas...mais c'est pas grave.
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