... des auteurs quittent un peu tous les bateaux tous les jours.... Y a des mecs qui se barrent de Dupuis pour aller chez Glénat, d'autres de Glénat pour aller chez Soleil, d'autres de Soleil pour Dargaud, et ainsi de suite...
Tu viens d'où toi
et apparemment puisque la valse des auteurs semble être une tradition, tu sais déjà où le vent te portera cher Gihef
Sinon pour cesser de taquiner le Gihef puiqu'il les a sensibles (ces boules vertes hein !), parlons du fond si le quidam sans connaissance aucune sur le sujet peut s'y lancer... J'adore mettre lesp ieds dans le plat :siffle:
1) Un peu plus de diplomatie dans les critiques émisés à l'encontre de Didier Borg lui aurait permis à de
présenter des projets aux fans que nous sommes tous ici. Ne plus le voir s'exprimer n'est plus une bonne chose (quelque soit la qualité de ses projets). Cela étant, s'il ne vient plus défendre son projet, on peut émettre un avis sur la qualité (ou la pertinence de celui-ci). (RAJOUT : Ouf il est reviendu!)
2) Didier Borg aurait dû se présenter tel qu'il était et non comme un nouvel éditeur. (Quant à la remarque sur les locaux identiques, elle est déplacée !) En Belgique, La DH et La LLB sont deux journaux avec des lignes éditoriales bien distinctes dans des bureaux annexes. Ca ne veut pas dire charrette même si ...
3) Parlons des projets, ne connaissant pas spécialement les guéguerres entre éditeurs de l'intérieur. On parle de BD et de stars (quelque soit leur monde d'action. Y'aura certainement moyen de trouver un public-cible donc pourquoi pas, chacun se lance à son gré dans sa propre galère. Cela étant, je trouve cette démarche de la merde vu que c'est juste pour se faire du pognon sans jamais atteindre une qualité qui a permis à la BD de se faire appeler 9° art (ouf, ça y est, je l'ai dit). Si mes propos choquent, je les justifierai par mon graduat et ma licence en communication, ce qui me permet d'en connaître un minimum sur les bases du marketing. La starification reste la manière la plus efficace de vendre de la bouze, trouvée ces dernières années et mise en abyme par tous les médias. Il suffit d'ouvrir les yeux, alors y'aura les pour et les contre. Et là-dessus y'a pas à juger même si ...
4) Une politique éditoriale traditionnelle n'implique en rien le lecteur. Point barre. Sauf si l'on se réfère au point 3 qui explique que les démarches marketing impliquent, soit-disant, le lecteur (puisque l'on parle de BD) sinon utilisons le terme de public-cible. Pour l'instant, aucun responsable n'est parvenu à trouver une politique fiable impliquant le public-cible, sinon ca se saurait. Puis, preuve à l'appui par cette discussion sur le forum, il est impossible de satisfaire l'ensemble d'un lectorat, le vécu de chacun variant bien trop... Peut-être que quand on sera tous lobotomisés cette démarche sera rendue efficace. Cela étant, il y a BDGest pour éviter la dérive de... 1981
5) Le monde est beau et faut que je parte au boulot ...
... quelque part dans dans un no man's land embrumé, sauvant Ryo Saeba d'une mort certaine et Horace d'une connerie désopilante, l'atrocité d'un monde sans limites ... d'achat de BDs, un portefeuille à l'agonie, une copine qui chiale. J'erre solitaire par