Je viens de lire...

[choregraphe]

Message précédent :

La chronique de Arraigo par O. Vrignon est en ligne.

En voila un qui me tente bien merci

[toine74]

La chronique de Jeux de loi est en ligne !

[Nirm]

La chronique de Jeux de loi est en ligne !

Ouch, je la trouve dure cette chronique.
Certes elle ne révolutionne pas le genre, mais j'ai trouvé la lecture plaisante.
Je n'ai pas trouvé les ficelles trop grosses.
Oui, on peut se demander d'où sort cette discussion entre le héros et sa mère mais une fois lancée, je n'ai pas trouvé qu'elle sonnait à ce point faux. C'est une scène d'exposition qui sert à nous en dire plus sur l'enfance/passé de LSD et en ça, je la trouve utile en plus.

Bon, ça reste un tome d'introduction mais pas aussi mauvais que le "2 étoiles" pourrait laisser penser.
Par contre, je m'étonne de n'avoir pas lu un petit parallèle entre le héros et Maître Vergès.
À la lecture, j'ai pensé tout de suite à lui (avocat talentueux issu de l'immigration, amour des caméras, période durant laquelle il "disparaît" sans qu'on en sache plus).
En tout cas, je suis appâté (le petit cliffhanger de la fin a fonctionné à plein chez moi) et prendrai le T.2.

[Olaf Le Bou]

Chronique La dernière Targa Florio par A. Perroud[/quote]

[mome]

La chronique de Mitterrand un jeune homme de droite par A. Perroud est en ligne.

[mome]

La chronique de Charles de Gaulle (Plumail) T.1 par A. Perroud est en ligne.

[mome]

La chronique de Babyboom par A. Perroud est en ligne.

[chris24]

Quelqu'un aurait-il lu par hasard "Une vie : La biographie retrouvée" ?
J'ai été intéressé en feuilletant chez le libraire mais ile ne semble pas y avoir encore de topic dédié...



Juin1984. Un taxi dépose Anna Laurens au Grand Tetras, un hôtel de Saint-Véran, dans le Haut-Quéras. Le propriétaire de l’hôtel a envoyé un courrier à sa mère, de la part d’un de ses pensionnaires, Winston Smith. Celui-ci a disparu il y a quelques semaines en montagne. À 80 ans passé, il vivait à l’hôtel depuis des années. Il avait remis au propriétaire une lettre pour elle au cas où il disparaîtrait. Mais cela fait 4 ans que la mère d’Anna est morte, elle est donc venue à sa place, intriguée par le message d’un homme qu’elle ne connaît pas et qui dit avoir bien connu sa mère autrefois. En entrant dans la chambre de Winston Smith, restée en l’état, elle découvre une malle cabine avec de nombreux souvenirs et photos. Et un manuscrit, intitulé Life. Le journal de Winston Smith écrit pour sa mère. Un manuscrit qui devrait répondre à toutes ses interrogations et qui commence en 1916, au collège de Lands Priors en Angleterre…

[silverfab]

Oui, moi. Et j'ai été assez surpris.
Je reviens dessus rapidement (avant la fin de semaine je pense)

[chris24]

Yes ! Bonne nouvelle !

[silverfab]

J'avais eu ça mais pas pris le temps de le lire:



et j'avais eu tort parce que c'est tout bonnement délirant. C'est second degré à fond c'est irrévérencieux et bien fun (et assez court c'est vrai, et un peu cher vu la taille du bouquin).

Mais avec un bon score très premier degré lui, c'est une bonne récréation:

http://bobd.over-blog.com/2015/10/on-fait-pas-d-omelettes-sans-casser-des-oeufs-egg-vs-predator-2.html

[Freebird]

Après un album à la maison, avec la visite des Normands, nos deux compères vont reprendre leur baluchon. Ils partent à la recherche de Tragicomix, fiancé de Falbala, enrôlé de force dans la légion romaine. Après la garnison de Condate, c'est la traversée de la Gaule jusqu'à Massilia, la traversée de la Mare Nostrum, et enfin l'Afrique du Nord, où César affronte Scipion.
Pour la première fois, Goscinny confronte un de ses personnages aux sentiments : Obélix est amoureux de Falbala. La gaucherie d'Obélix donnera lieu à une scène drôle et tendre à la fois. Mais les sentiments éprouvés par Obélix l'inciteront à partir à la recherche du fiancé de la femme qu'il aime : bel exemple d'abnégation, trait de caractère pas si fréquent chez Obélix. Au-delà de ce récit eau-de-rose et fleur bleue, Goscinny et Uderzo exploitent au mieux ce que deux irréductibles gavés de potion magique peuvent commettre comme dégâts dans une institution dans laquelle ordre et rigueur essaient de régner en maîtres. C'est peine perdue : les officiers finissent en larmes, le cuisinier cuisine vraiment et le séjour de nos compères dans la légion est un hymne à l'indiscipline, l'irrévérence et l'amusement. Il y a dans cet album des réminiscences explicites au service militaire, petite parenthèse de la vie qu'ont connue les plus âgés d'entre nous. C'est en partie pour ça que l'album fonctionne toujours aussi bien. C'est encore un sans-faute, avec un dosage parfait entre péripéties et humour. Là encore, on trouvera de nombreuses scènes d'anthologie. Relisez Astérix, c'est revigorant!

[Ellroy]

J'accroche vraiment. Les dessins sont beaux, l'intrigue mêlant l'histoire, les croyances et l'ésotérisme tient bien la route, les personnages sont bien croqués. J'espère que sur la durée tout cela se maintiendra. En tout cas, pour l'instant, ça me plaît.

[nanoroc]

J'ai acheté cette série complète il y a 2 semaines et je l'ai lu très rapidement, pris par le sujet, les personnages et les scenarii.

J'ai beaucoup apprécié le côté didactique (j'en ai appris sur les samurais et le Japon, moi le profane), la qualité du dessin, des personnages. les petits clins d’œil au monde du manga (dont je ne suis pourtant pas fan) sont sympas également.

Après, en chipotant un peu, l'intrigue est, je trouve, parfois un rapide. Je n'irai pas jusqu'à dire bâclée, mais elle aurait pu être plus fouillée.

De bons moments de lecture quoi qu'il en soit.

[Ellroy]

Des aventures toujours aussi prenante avec un chouette dépaysement en Cappadoce. Par contre que Rochnan prenne une vraie épaisseur, je le trouve un peu "light" pour le moment.

[mome]

La chronique de Bagdad Inc. par O. Vrignon est en ligne.

[mome]

La chronique de Gainsbourg (Chabert) par F.Houriez est en ligne.

[Ellroy]

Enfin Rochnan sort le grand jeu avant le retour du Scorpion à Rome. Toujours aussi prenant malgré un découpage surprenant.

[Ellroy]

On avance, petit à petit. Et c'est pas grâce à ce tome qui fait du sur place.

[Ellroy]

Le rythme s'accélère grandement dans cet album où l'étau se resserre autour de notre héros. J'attends la conclusion avec impatience.

[mome]

La chronique de La pasionaria par M. Leroy est en ligne.