GTB a écrit:Autant n'acheter aucun tome en attendant la fin de l'histoire, non? Si c'est pour ne rien lire, autant s'assurer que ça tient correctement jusqu'à la fin.
Charlus a écrit:Bah pour moi, c'est l'inverse d'egoes, plus je découvre les production de Luc Brunschwig, plus je me demande comment j'ai pu passer à coté de cet auteur aussi longtemps. L'axe par lequel il attaque l'intrigue, et l'intrigue elle-même sont pour moi des preuves d'intelligence, de finesse et d'une grande culture.
Et comme dans tout ce que j'ai pu lire de lui, ça se tient toujours après 3 albums, et avec cette intensité qui monte, qui monte, qui monte....
Vraiment une bonne idée d'avoir proposé cet album pour la fête de la BD !
egoes a écrit:Charlus a écrit:Bah pour moi, c'est l'inverse d'egoes, plus je découvre les production de Luc Brunschwig, plus je me demande comment j'ai pu passer à coté de cet auteur aussi longtemps. L'axe par lequel il attaque l'intrigue, et l'intrigue elle-même sont pour moi des preuves d'intelligence, de finesse et d'une grande culture.
Et comme dans tout ce que j'ai pu lire de lui, ça se tient toujours après 3 albums, et avec cette intensité qui monte, qui monte, qui monte....
Vraiment une bonne idée d'avoir proposé cet album pour la fête de la BD !
Mais nous sommes en réalité tout à fait d'accord, mon bon Monsieur !
Ce que je "reproche" (je garde bien ce verbe entre guillemets !) à Luc Bruncshwig n'est certainement pas un quelconque manque d'intelligence ni de culture.
Juste parfois son manque de "roublardise"...
Il y a des passages de ses oeuvres où je me dis : "c'est intelligent, bien trouvé... mais en fait ça ne me touche pas, alors que clairement, la scène a été écrite pour me faire vibrer".
Depuis la dernière page du tome 1 du Pouvoir (P***ain, quel cliffhanger !), ce qui manque selon moi à Luc Brunschwig c'est le sens "commercial" dans le sens "noble" du terme, parfois le "sens de la formule".
Une touche de Greg ou de Van Hamme, en quelque sorte .
Ses histoires seraient toujours aussi intelligentes, mais elles seraient encore plus prenantes.
Charlus a écrit:egoes a écrit:Charlus a écrit:Bah pour moi, c'est l'inverse d'egoes, plus je découvre les production de Luc Brunschwig, plus je me demande comment j'ai pu passer à coté de cet auteur aussi longtemps. L'axe par lequel il attaque l'intrigue, et l'intrigue elle-même sont pour moi des preuves d'intelligence, de finesse et d'une grande culture.
Et comme dans tout ce que j'ai pu lire de lui, ça se tient toujours après 3 albums, et avec cette intensité qui monte, qui monte, qui monte....
Vraiment une bonne idée d'avoir proposé cet album pour la fête de la BD !
Mais nous sommes en réalité tout à fait d'accord, mon bon Monsieur !
Ce que je "reproche" (je garde bien ce verbe entre guillemets !) à Luc Bruncshwig n'est certainement pas un quelconque manque d'intelligence ni de culture.
Juste parfois son manque de "roublardise"...
Il y a des passages de ses oeuvres où je me dis : "c'est intelligent, bien trouvé... mais en fait ça ne me touche pas, alors que clairement, la scène a été écrite pour me faire vibrer".
Depuis la dernière page du tome 1 du Pouvoir (P***ain, quel cliffhanger !), ce qui manque selon moi à Luc Brunschwig c'est le sens "commercial" dans le sens "noble" du terme, parfois le "sens de la formule".
Une touche de Greg ou de Van Hamme, en quelque sorte .
Ses histoires seraient toujours aussi intelligentes, mais elles seraient encore plus prenantes.
Oui nous sommes en effet tout à fait pas du tout d'accord, chère Madame
Ce que j'apprécie plus particulièrement, c'est justement ce coté "straight", ce côté "avec moi pas de truc, pas de roublardise". Un genre de ligne claire du scénario, quoi !
Ce qui ne nous empêche pas d'être surpris lors de certains dénouements, et "le pouvoir des innocents" réussi parfaitement cela, sans justement faire appel à des twists ou autres "deus ex machina". Toutes les motivations et éléments psychologiques des personnages sont là, tout est fluide.
Et moi j'aime ce rythme de narration un peu lent, qui prend le temps poser les éléments, je trouve que cela densifie le propos, ça étoffe l'histoire, et ça permet de jouer avec les personnages. Notre époque, à quelques exceptions, à tendance à faire que tout aille trop vite. Luc Brunschwig (on fait comme si vous n'étiez pas là, M. Brunschwig ) fait parti de ces auteurs rares qui savent utiliser ces éléments. Pourtant, il suffit de se regarder un "Jackie Brown" pour voir l'intérêt de tirer sur le temps et de poser l'histoire !!!
luc Brunschwig a écrit:Cette fois l'album est bel et bien bouclé et sa sortie prévue le 23 octobre 2015.
Il paraitra dans deux versions : une version normale et une version augmentée sous jaquette complétée d'un grand nombre de pages de making-off.
voila.
On se retrouve en octobre pour en causer.
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