bdmaniak a écrit:Malheureusement, la ministre écolo qui reste n'est pas la plus fut-fut
NARCISSE a écrit:Les écolos réfléchissent sur leur avenir dans le gouvernement, ils étaient d'accord avec Batho. Mais bon comme d'hab avec les écolos, ils vont se coucher..bdmaniak a écrit:Malheureusement, la ministre écolo qui reste n'est pas la plus fut-fut
Duflot est loin d être bête bien au contraire. Elle l'a montré l année dernière en sabordant la candidate des verts en faisant les tractations avec le socialistes. Une vraie arriviste qui a tout compris de la politique..
Philemon a écrit:Au moins, le message est clair et ne fait pas dans l'hypocrisie: rien à péter de l'écologie, on a d'autres priorités.
Prochaine étape: la suppression de ce ministère gadget.
NARCISSE a écrit:Les écolos réfléchissent sur leur avenir dans le gouvernement, ils étaient d'accord avec Batho. Mais bon comme d'hab avec les écolos, ils vont se coucher..
Brian Addav a écrit:Quand Brick s'est fait virée, on l'a foutu à l'écologie où elle connaît rien. (Batho est PS, ....
kollambre a écrit:Et au niveau de la fermeture de l'espace aérien français à l'avion du président bolivien, de retour de Moscou, et dont des rumeurs disaient qu'il transportait également Snowden, on le prend comment?
MLH a écrit:Philemon a écrit:Au moins, le message est clair et ne fait pas dans l'hypocrisie: rien à péter de l'écologie, on a d'autres priorités.
Prochaine étape: la suppression de ce ministère gadget.
C'est toujours amusant de voir comment chacun interprète à sa façon une décision présidentielle
Il y a juste un ministre qui l'a un peu trop ouvert et qui s'est fait virer, c'est tout ! Comme disait Chevènement...
NARCISSE a écrit:Rien de nouveau sous le soleil. Sarko en avait rien a foutre non plus de l'écologie . On se souvient de sa phrase "l écologie ça suffit!"
NARCISSE a écrit:Rien de nouveau sous le soleil. Sarko en avait rien a foutre non plus de l'écologie . On se souvient de sa phrase "l écologie ça suffit!"
En période de crise, l"écologie on s en fout non? Comme d autres ministères d'ailleurs...
Dans la réaction d Hollande, je vois surtout une manière de dire aux écolos du gouvernement de la fermer et de soutenir le gouvernement..
Jeunesse militante à la FIDL et SOS Racisme.
...Delphine Batho commence à militer au collège dans des opérations humanitaires et lors des manifestations lycéennes de 1986 contre le projet de loi Devaquet, politiquement influencée par des artistes comme Daniel Balavoine et Coluche.
Bachelière au lycée Henri-IV à Paris, où elle a fréquenté les mêmes bancs que Mazarine Pingeot, elle adhère en 1988 à SOS Racisme et à la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), dont elle prend la présidence deux ans plus tard. Elle se fait connaître lors du mouvement de 1990 pour les « droits lycéens » et des « moyens pour étudier ». Après près de deux mois de grève, le mouvement obtient de Lionel Jospin, ministre de l’Éducation nationale, 4,5 millions de francs pour rénover les lycées et des avancées en matière de droits lycéens (création des conseils académiques de la vie lycéenne, droit de réunion et d’affichage…). Elle est alors repérée par Julien Dray.
Le baccalauréat avec mention en poche en 1992, elle entame des études d’histoire à Jussieu qu'elle abandonne. Alors qu'elle vient de quitter la FIDL, elle devient vice-présidente de SOS Racisme en septembre 1992, représentante de la « deuxième génération de SOS », selon l'expression du Monde, au côté du nouveau président Fodé Sylla, après le départ de Harlem Désir.
Premiers pas au Parti socialiste.
Delphine Batho adhère au Parti socialiste en 1994 et devient membre du courant la Gauche socialiste avec Julien Dray, aux côtés de qui elle commence à travailler les thèmes de la sécurité. Lors du congrès de Grenoble de 2000, elle entre au Bureau national. En 2003, lors de l’éclatement de la Gauche socialiste, elle reste fidèle à Julien Dray dont elle est alors l'employée au conseil régional d'Île-de-France, chargée des questions de sécurité.
Elle rejoint la motion de François Hollande au congrès de Dijon (mai 2003) et devient l'année suivante, secrétaire nationale, chargée de la sécurité, dossier sur lequel elle travaille depuis 1998. Elle défend alors la ligne « prévention sanction ».
En 2006, elle suit les cours comme auditrice à l'Institut national des hautes études de sécurité.
Ségolène Royal, candidate à l'élection présidentielle de 2007, intègre ses réflexions en matière de sécurité dans le concept d'« ordre juste ». Dès lors, Delphine Batho est parmi les proches de la candidate et la conseille.
Députée des Deux-Sèvres
Aux élections législatives de 2007, Delphine Batho est candidate dans la deuxième circonscription des Deux-Sèvres où Ségolène Royal ne se représente pas afin d'éviter le cumul de mandats. Lors de l'investiture du PS, elle recueille 54,75 % des voix des militants contre 45,25 % à Éric Gautier, l'ancien suppléant de Mme Royal.
Au premier tour des élections, elle obtient 20 690 voix soit 44,55 % des suffrages. Au second tour, face à Jean-Pierre Griffault (UMP), elle l'emporte avec 57,42 % des suffrages (26 524 voix). Son suppléant est Jean-Luc Drapeau.
Delphine Batho est vice-présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale chargée de la sécurité.
En 2012 elle est réélue dès le premier tour avec 53,18 % des suffrages exprimés dans la 2e circonscription des Deux-Sèvres aux législatives de 2012, modifiée à la suite du redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010.
Ministre des gouvernements Ayrault
Responsable du projet de Ségolène Royal lors des primaires citoyennes de 2011, Delphine Batho devient, après la victoire de François Hollande à la primaire, l'une des quatre porte-parole du candidat socialiste pour l'élection présidentielle de 2012.
Le 16 mai 2012, elle est nommée ministre déléguée à la Justice dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault, auprès de la Garde des Sceaux, Christiane Taubira.
À la suite de sa nomination au gouvernement, elle annonce son départ, comme le réclamait au nom de l'exemplarité depuis l'automne 2009 la Régie immobilière de la ville de Paris, de son logement intermédiaire de 108 m2 dans le 19e arrondissement de Paris, loué pour 1 524 euros par mois, qu'elle occupait depuis 2001, par le biais du 1 % patronal comme salariée à l'époque du conseil régional d'Île-de-France.
Sans attributions suffisamment précises et après un mois de relations difficiles avec sa ministre de tutelle, elle obtient le portefeuille de plein exercice de ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie le 21 juin 2012 dans le 2e gouvernement Ayrault composé après les élections législatives.
Le 2 juillet 2013, le président de la République annonce qu'il met fin à ses fonctions en tant que ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie à la suite d'une interview dans laquelle elle qualifiait de « mauvais » le budget 2014 de son ministère et affirmait qu'« il y a une déception à l'égard du gouvernement ».
Mais qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !
Philemon a écrit:Qui a dit:Mais qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !
Philemon a écrit:NARCISSE a écrit:Rien de nouveau sous le soleil. Sarko en avait rien a foutre non plus de l'écologie . On se souvient de sa phrase "l écologie ça suffit!"
Il s'en foutait tout autant à titre personnel, mais avait eu le mérite de lancer quelque chose de marquant, avec un grand ministère et un vrai ministre d'état, une démarche (Grenelle de l'environnement). Ca changeait.
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