Je cite l'article de Bossac :
"Diplômé de l’Institut indien des chemins de fer de génie mécanique et électrique, il a ensuite étudié aux Etats-Unis l’économie et le génie industriel. Lorsqu’il prend la tête du TERI, en 1982, il propulse la petite organisation en un centre d’études sur les questions de développement durable, employant près de 1 200 chercheurs sur les cinq continents."
@ Brian Addav :
Mon propos n'est pas de dire que Gervais a forcément raison contre le GIEC, mais surtout de m'inquiéter d'un consensus forcé des médias - d'abord -, des politiques - ensuite - et de la communauté scientifique - enfin - sans qu'il soit possible pour l'une ou l'autre de ces populations de pouvoir exprimer sereinement une position différente.
Le fait d'apprendre que le patron du GIEC de 2002 à 2015 est ingénieur mécanicien de formation (

Maintenant ses problèmes de slip... soit ça devient une mode, soit on en parle plus facilement mais ils commencent à être nombreux les grands de ce monde sexuellement pas clairs...