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Gotham Central

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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Blueskin Pierre » 07/04/2015 12:38

Message précédent :
Yes !
Et c'est le site officiel d'Urban Comics qui le dit: http://www.urban-comics.com/gotham-central-tome-4/
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede alacoume » 07/04/2015 12:58

Tant mieux. Je n'ai toujours pas lu les 2 premiers.
Je lirais donc les 4 d'un coup cet été !!
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 07/04/2015 14:13

alacoume a écrit:Tant mieux. Je n'ai toujours pas lu les 2 premiers.
Je lirais donc les 4 d'un coup cet été !!



Bien du plaisir en perspective !

Blueskin Pierre a écrit:Yes !
Et c'est le site officiel d'Urban Comics qui le dit: http://www.urban-comics.com/gotham-central-tome-4/


;)
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede kilfou » 22/04/2015 21:32

Je viens de lire le 3 et c'est quand même une excellente série, et je déplore tellement que la série TV Gotham ne lorgne pas plus dessus au lieu de faire de la merde...

Bon par contre 2-3 trucs qui m'embêtent un chouia
[Révéler] Spoiler:
Mettre le Chapelier Fou en couv alors qu'il apparaît pas du tout dans ce tome, je comprends pas mais alors pas du tout. A moins que ce soit lui le responsable de l'enlèvement du gosse du mafieux mais vu qu'on aura la fin de cet arc que dans le tome 4, je trouve ça super idiot.

A noter que toute cette (demie) histoire est inédite en VF, a priori c'est même pas compilé dans les TPB VO.

J'aime bien Josie, mais qu'elle ait des pouvoirs psy (même légers) me gêne un peu, vu que le pitch de base c'est quand même de décrire la vie d'un comissariat "normal" face aux superslips.


Mais c'est vraiment cool hein, passez pas à côté !
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 10:00

"Je viens de lire le 3 et c'est quand même une excellente série, et je déplore tellement que la série TV Gotham ne lorgne pas plus dessus au lieu de faire de la merde..."

Gotham commençait pas trop mal (y a du fric et ça se voit) mais par contre j'ai de plus en plus de mal à y trouver un intérêt (j'en suis au 6ème épisode) effectivement... alors que Gotham Central est un sommet d'écriture ...
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede kilfou » 23/04/2015 10:32

La série Gotham, j'ai regardé jusqu'au 12 ou 13, j'ai arrêté depuis tellement c'est creux...

C'est con parce que j'aime beaucoup la direction artistique mais alors putain les intrigues c'est à chier par terre.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 10:37

kilfou a écrit:La série Gotham, j'ai regardé jusqu'au 12 ou 13, j'ai arrêté depuis tellement c'est creux...

C'est con parce que j'aime beaucoup la direction artistique mais alors putain les intrigues c'est à chier par terre.



Exact, le ton semi parodique surement complètement involontaire donne un cachet assez pénible... J'irais jusqu'au bout je pense mais à mon rythme. Reste une belle ville de Gotham mine de rien.

EDIT : en plus le coté "Deus Ex Machina" qui donne des "indices" à Gordon complètement par hasard ruine le projet... De flic malin on passe à flic chanceux pffff
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 12:37

Bigwolf a écrit:Oubliez Gotham et foncez sur Daredevil, une tuerie voire Powers



Tout le monde dit ça actuellement sur DD mais je vais faire comme pour Got, attendre qu'on m'en parle plus pour les mater. Je fais mon hipster ! :fant2:
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Tireg » 23/04/2015 13:04

Jetjet a écrit:
Bigwolf a écrit:Oubliez Gotham et foncez sur Daredevil, une tuerie voire Powers



Tout le monde dit ça actuellement sur DD mais je vais faire comme pour Got, attendre qu'on m'en parle plus pour les mater. Je fais mon hipster ! :fant2:

Ah mon pauvre Jetjet, aucun sens des priorités ! [:bru:3]

;)
"Le genre de type qui ouvre sa porte alors que personne n'a sonné
Si ton avis était précieux, tu n'ferais pas que le donner"
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 15:04

Tireg a écrit:
Jetjet a écrit:
Bigwolf a écrit:Oubliez Gotham et foncez sur Daredevil, une tuerie voire Powers



Tout le monde dit ça actuellement sur DD mais je vais faire comme pour Got, attendre qu'on m'en parle plus pour les mater. Je fais mon hipster ! :fant2:

Ah mon pauvre Jetjet, aucun sens des priorités ! [:bru:3]

;)


[:kusanagui:6] [:kusanagui:6] [:kusanagui:6] :ok: :bravo:
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 15:27

Bigwolf a écrit:Le truc Jetjet, c'est que comme Daredevil c'est sur Netflix tu peux avoir les 13 épisodes d'un coup alors que GOT va falloir attendre pour tout avoir (ce que je fais d'ailleurs)
Sérieux DD est LA série super-slip...
Sorry pour le HS


Pas de soucis je la regarderais avec grand plaisir mais à mon rythme et j'ai déjà la possibilité de le faire ;) Mais il me manque un peu de temps, je termine déjà Banshee et "éventuellement" Gotham et DD est sur ma wishlist juste après !
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Mr Degryse » 23/04/2015 15:46

chiatntissime Daredevil. pas pu dépasser l'épisode 3. On me dit que cela s'améliore par la suite mais si c'est encore pour roupiller durant 2 épisodes..........
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Jetjet » 23/04/2015 15:56

Mr Degryse a écrit:chiatntissime Daredevil. pas pu dépasser l'épisode 3. On me dit que cela s'améliore par la suite mais si c'est encore pour roupiller durant 2 épisodes..........


:lol:

Je suis bien content de trouver ENFIN un avis négatif sur cette série que tout le monde encense !
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Mr Degryse » 23/04/2015 16:28

Tu fréquentes et tu ne lis pas les mêmes trucs que moi. Sur 6 personnes proches qui ont tenté la série. 2 ont comme moi arrêtés, 1 aime beaucoup, 1 trouve que cela se regarde mais pas tip top et 2 disent 6 épisodes de bien sur 13 ( la série auraient gagné à être plus courte).


Je te mets aussi une critique de la presse : ( chronicarts) et sur les forums ciné, c'est loin d'être l'enthousiasme.

Un couloir lugubre. Un justicier masqué combat une poignée d’hommes de main patibulaires et bien plus épais que lui. Il a beau frapper fort, ils se relèvent et frappent encore plus fort. L’homme masqué ramasse pas mal. Il halète. Il souffre. Il chute. Il reprend son souffle. Il ne subit pas, il se relève et retourne au combat. Opiniâtre et déterminé, il ne lâche rien et finit par terrasser ses adversaires et libérer l’enfant qu’ils allaient vendre. C’est la fin du deuxième épisode de la série de Marvel/Netflix et, à la faveur d’un plan séquence réminiscent de Old Boy, toute l’essence de Daredevil s’offre à nous. Ce qui aurait dû être une promesse pour la suite en sera malheureusement le chant du cygne, la série n’atteignant plus jamais ce niveau de puissance évocatrice malgré les onze (longs) épisodes restants.

Malgré de bonnes intentions évidentes le temps des premiers épisodes, Daredevil perd vite de son intérêt et s’empêtre dans tout ce qu’une série peut avoir de plus laborieux. Rapidement, la série montre qu’elle n’a pas grand chose à raconter mais qu’elle va prendre son temps pour le faire et abuser de tous les artifices possibles. Percluse de flashbacks, Daredevil se complaît à les accumuler sans faire avancer l’intrigue ou les personnages, se contentant de confirmer ce que le spectateur avait compris au détour d’un dialogue. Didactique au possible dans sa volonté de ne jamais faire confiance à son audience pour boucher les trous d’une ellipse, il n’est pas rare de voir des personnages discuter de ce qu’il vient de se passer histoire de ne laisser aucune zone d’ombre dans une histoire pourtant pas si complexe. Même la vieille astuce du “36 heures plus tôt” après une intro trépidante est usitée. Ajoutez à cela de nombreux bottle episodes qui ne disent pas leur nom (un épisode tourne autour d’une dispute entre deux personnages, bien sûr entrecoupée de flashbacks qui ne sont que la mise en images de choses dites huit épisodes plus tôt), et une série qui restera dans les mémoires pour être la première sur un justicier des rues de New York se déroulant quasiment intégralement dans des intérieurs étriqués au possible. Manque de budget ou d’ambition ? La réponse pourrait être un savant mélange des deux.

Les showrunners (l’un est l’esthète derrière La Cabane dans les Bois, un film qui se croyait plus malin que ce dont il se moquait; l’autre était à la tête de l’excellente Spartacus et aurait pu équilibrer le duo) ont évoqué The Wire comme source d’inspiration mais il faut croire qu’ils sont de la même école que James Wan qui parle de polar ambiance seventies quand il livre un Fast & Furious 7. L’intrigue tourne autour du projet de réhabilitation immobilière véreux de la ville de New York par une bande de truands qui projettent d’évincer les bons et loyaux habitants de la ville pour construire des immeubles luxueux qu’ils ne pourront jamais s’offrir. Au milieu de tout ça, Foggy Nelson et Karen Page défendent les opprimés (et se paient des sous-intrigues parmi les plus lénifiantes et bouche-trous qui soient) tandis que le journaliste Ben Urich (interprété par le réalisateur de Glitter avec ... Mariah Carey) se bat contre sa hiérarchie pour faire éclater la vérité dans un arc narratif balisé au possible jusqu’à l’insertion du personnage de sa femme mourante aux soins médicaux ruineux. Ajoutez à cela une police corrompue, des considérations sur le Bien et le Mal qui feraient passer Christopher Nolan pour Nietzsche et une intrigue au manque d’originalité confondant et vous comprendrez l’ennui et le désarroi ressenti face à ce Daredevil se rêvant en The Wire chez un vigilante alors qu’elle a la densité et le carburant narratif suffisant pour un film de trois heures grand maximum… Il y a sérieusement de quoi réévaluer le film avec Ben Affleck.

Là où la Maison des Idées déçoit, c’est dans ce qu’elle nous raconte tout au long de cette première saison. Sur le papier, les origines de Daredevil ont été racontées et remixées de nombreuses fois (on pense à Yellow, le chef d’oeuvre de Jeph Loeb) et certains runs de ce personnage (Frank Miller et Brian Michael Bendis en tête) sont parmi ce que le medium comics a pu proposer de plus exaltant dans l’exploitation du justicier tourmenté. Malgré ce vivier de bonnes histoires, la série se contente de mettre en scène le combat archétypal du Bien contre le Mal personnifié par Wilson Fisk, le fameux Kingpin des comics, dépeint comme un mafieux balourd, amoureux et chouineur devenu ce qu’il est devenu parce que son papa n’était pas gentil avec lui. Et ce n’est pas son coup de folie le montrant éclater la tête d’un malfrat à coups de portière qui changera quoi que ce soit à cet état de fait: le mal est fait. Quand l’un des antagonistes les plus redoutables de l’univers Marvel en est réduit à cela, les derniers espoirs investis dans la série s’estompent et cette dernière a toujours un flashback ou une idée débile en stock (Daredevil, déjà pas à la fête, se fait taser par un comptable du troisième âge alors qu’il voit venir les balles avant que les truands aient l’idée de les tirer…) pour retirer à ses personnages le peu de mystère ou de stature qu’ils ont.

Plus triste encore, il semblerait que la principale idée des showrunners de la série ait été de pomper la première saison de Arrow et espérer que ça ne se verrait pas. Malheureusement, la série de l’Archer Vert a été vue par pas mal de monde et force est de revoir à la hausse l’humble réussite qu’elle a été durant ses deux premières saisons à la vue de ce pâle ersatz en reprenant des situations, des lignes de dialogues entières et même la recherche constante du cache-misère dans le filmage des scènes d’action. Nous pourrions toujours arguer que Arrow est diffusée sur la CW et qu’elle s’adresse à des ados de quatorze ans plus intéressés par les relations amoureuses des personnages que le justicier supposé en être l’attraction mais à la vue de ces treize (vraiment très longs) épisodes, Daredevil semble se contenter de s’adresser aux ados de quinze ans en pleine période dark et dépressive pour qui de rares effusions de sang suffisent à donner de la street cred à quelque chose qui en manque cruellement. Le bât blesse vraiment quand on se souvient que la première saison de Arrow était autrement dérangeante dans sa dépiction d’un vigilante n’hésitant pas à abattre froidement tout malfrat se mettant en travers de son chemin. Marvel et univers étendu propre sur lui oblige, Daredevil ne tue pas, fait beaucoup de menaces en l’air et quand il jette quelqu’un d’un toit, le malheureux tombe dans une benne à ordure. La série se veut sombre et violente mais à force de rester dans les clous d’une moralité pesante, elle finit par rendre hypocrites jusqu’à l’absurde ses (rares) excès gore et autres accès de violence alors qu’elle reste très sage niveau langage et nudité. La série est adulte comme un ado de quinze ans qui fraude pour aller voir un film interdit aux moins de seize ans. Pas plus.

Les amateurs apprécieront les clins d’oeil aux autres films de l’univers Marvel mais évoquer le final de Avengers comme ce moment où « la destruction de la ville est venue du ciel » alors que le film s’est contenté de limiter son invasion alien à un vague bout de trottoir et une terrasse de Starbucks est assez osé. Symptomatique de cette approche à l’économie supposée créer l’émerveillement, la série met en scène la destruction de Hell’s Kitchen vue depuis un penthouse de Manhattan. Les explosions sont minuscules et silencieuses, proches du pétard mouillé et à l’image de cette saison. Même au coeur de l’action et de ces quartiers ravagés par des explosions, le manque d’ampleur de la série est manifeste, le chaos se résumant, pendant tout l’épisode suivant cet explosif cliffhanger, à nous montrer Daredevil et un mafieux russe retranchés dans un immeuble miteux tandis qu’une poignée de flics s’agitent sur la chaussée. Comment ressentir le moindre sentiment d’urgence ou de danger dans ces situations face à une mise en scène dont la recherche de l’anti-spectaculaire et de l’anti-climactique semblent être les uniques projets esthétiques ? De même, les rares passages inspirés (le combat à la Old Boy, un plan séquence de l’intérieur d’une voiture réminiscent des Fils de l’Homme, un enterrement sur du Jimmy Cliff renvoyant directement à Watchmen et d’innombrables emprunts au cinéma de Christopher Nolan) renvoient tout de suite à la référence que les metteurs en scène ont piratée et annihilent souvent le peu de plaisir qui aurait pu en découler.

Trop longue, décevante, peu inspirée et cheap, Daredevil ne motive pas vraiment à attendre avec impatience les futures séries Marvel/Netflix sur Jessica Jones (par la scénariste de Twilight), Luke Cage et Iron Fist qui, si elles sont conçues sur le même moule que l’adaptation des aventures du Diable de Hell’s Kitchen ne devraient avoir aucun mal à rejoindre les films Marvel dans le dictionnaire pour leur redéfinition au long cours de l’indigence la plus crasse… 1/5


N'ayant pas vu toute la série, il y certains points que je ne peux pas juger. Je ne suis pas d'accord avec tout ( Je trouve aussi Arrow nul). Par contre pour le reste, d'accord sur les 3 épisodes
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede logan1973 » 23/04/2015 17:35

je sais pas où t'as chopé ta chronique mais résumer la carrière de Vondie Curtis Hall à son film avec Mariah Carey c'est minable.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Oncle Hermes » 23/04/2015 17:48

Pas non plus d'accord avec certains points (pas forcément les mêmes) (par exemple le fait que l'interprète de Ben Urich ait par ailleurs réalisé une daube avec Mariah Carey n'a rien à voir avec la choucroute, il joue bien et c'est ce qui compte [edit: cuzné par Logan]). J'ai vu plus d'épisodes que Mr Degryse, mais je n'en suis qu'à la moitié. Toutefois, globalement, je partage l'avis pas emballé sur la série.

Les deux premiers épisodes (signés du même réalisateur) semblaient donner dans une certaine hauteur de vue en termes de mise en scène, mais étaient déjà bien creux au niveau du fond : la suite n'a même plus cet alibi, et se contente de noyer systématiquement les trois quarts de l'image dans le noir même quand il n'y a aucune logique à ça, tout en déroulant des intrigues paresseuses et dépourvues d'enjeux. Le problème éthique de la double carrière avocat/justicier de Matt Murdock est expédié en un échange de répliques ("Comment vous conciliez les deux?" / "Je vous dirai quand j'aurais trouvé.") :roll: c'est quand même très fort... Le Caïd bénéficie de la présence physique de D'Onofrio mais le rôle est mal écrit. La série se veut "réaliste" (gros clin d'œil à The Wire, effectivement, en guise de déclaration d'intention en ouverture du 2e épisode) mais dans cette optique il devient difficile de justifier les actions du super-méchant mafieux, qui visiblement ne pense pas que faire sauter des bombes à travers la ville devrait normalement lui attirer des ennuis pas bons pour les affaires (genre avoir toutes les agences gouvernementales anti-terroristes au cul). Etc.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Mr Degryse » 23/04/2015 18:08

je sais pas où t'as chopé ta chronique mais résumer la carrière de Vondie Curtis Hall à son film avec Mariah Carey c'est minable.


Sur le site de Chronic'art


Après effectivement, on sent me mec de parti et énervé de n'avoir pas aimé.

Après pour Vondie Curtis : il faut être honnête. C'est un bon second rôle voir 3 ème ou 4 ème rôle. Sa liste de films ciné n'est pas extraordinaire. C'est mieux à la télé mais pas de rôle titre.
Le mieux dans son cv est la réalisation de quelques épisodes d'urgence et de the shield.


Après on peut ne pas être d'accord avec l'auteur de cet avis mais c'est au moins plus argumenté que : " c'est de la ballé, meilleure série sur les superslips" ou mon chiantissime"

Il y a des trucs cons dans sa critique mais c'est aussi une critique que je trouve juste dans la plupart de ses reproches.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede logan1973 » 23/04/2015 18:22

Mr Degryse a écrit:
je sais pas où t'as chopé ta chronique mais résumer la carrière de Vondie Curtis Hall à son film avec Mariah Carey c'est minable.


Sur le site de Chronic'art


Après effectivement, on sent me mec de parti et énervé de n'avoir pas aimé.

Après pour Vondie Curtis : il faut être honnête. C'est un bon second rôle
voir 3 ème ou 4 ème rôle. Sa liste de films ciné n'est pas extraordinaire. C'est mieux à la télé mais pas de rôle titre.
Le mieux dans son cv est la réalisation de quelques épisodes d'urgence et de the shield.


Après on peut ne pas être d'accord avec l'auteur de cet avis mais c'est au moins plus argumenté que : " c'est de la ballé, meilleure série sur les superslips" ou mon chiantissime"

Il y a des trucs cons dans sa critique mais c'est aussi une critique que je trouve juste dans la plupart de ses reproches.


ben j'ai pas dit le contraire, c'est un bon second rôle, le mec il est pas forcément excellent, il a pas la capacité de porter un film sur ses épaules mais il sait envoyer le steak quand on lui demande et mettre en valeur son partenaire, et c'est largement aussi important que d'avoir une star qui sait jouer, donc qu'on réduise sa carrière à un truc alimentaire excuse moi mais je trouve ça con, surtout de la part de gars qui se prétendent professionnels.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede kilfou » 23/04/2015 19:33

Et sinon le tome 3 de Gotham Central ? :lol:
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede logan1973 » 23/04/2015 19:35

je le chope la semaine prochaine.
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Re: Gotham Central, un comics sans super-héros

Messagede Oncle Hermes » 25/04/2015 22:17

Bigwolf a écrit:après la comparer avec The Wire, c'est insultant pour la série de Baltimore et c'est me faire dire ce que je n'ai pas dit.

Cette comparaison n'aurait pas lieu d'être si elle n'était revendiquée par les créateurs eux-mêmes (ceux de Daredevil, hein, s'entend). Je ne sais pas s'ils l'ont explicité en conférence ou en interview - c'est ce que semble suggérer l'article de Chronikart - mais revois les premières images de l'épisode 2 de Daredevil : si ma mémoire ne me joue pas de tours, c'est la recréation à l'identique de l'ouverture du tout premier épisode de The Wire.
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