friks a écrit:je me demande sincèrement si ceux qui critiquent le gag 12 avec Moiselle Jeanne et Gaston ont déjà lu les originaux de Franquin? Leur relation débute par un quiproquo, et se prolonge sur cette ambiguité : chacun se fait son film, mais c'est pas le même dans la plupart des gags...
Cette relation Gaston / Jeanne est le fruit d'une ambiguité permanente avec un certain désequilibre. Delaf a su depeindre ce quiproquo dans ce gag, même si je le trouve vraiment faible : typiquement pas le gag qui me fera rire a chaque lecture ...
Mais on ne peut qu’être impressionné par ce travail méticuleux!
En revanche, comme souvent malheureusement, le travail du coloriste, BenBK, est passé sous silence
