Tireg a écrit:Pour apporter ma petite pierre à l'édifice de la question des couleurs, bien qu'étant d'obédience daltonienne, je comprends l'affect qu'il peut y avoir à conserver les couleurs d'origine.
Pour ma part, je ne peux regarder certains films qu'en VHS. Notamment Robocop. J'ai essayé de le voir en DVD, mais franchement, rien ne vaut le plaisir des hachures sur l'écran, des saccades sur l'image et le son, il y a tellement plus de vie !
Idem pour les vinyles, certains albums, j'aime davantage les entendre avec la profondeur du vinyle qu'en CD ou sur Spotify.
Mais ce n'est pas pour autant que c'est mieux. C'est difficile de faire la part des choses entre la façon dont on a reçu une œuvre et sa qualité.
Désolé d'intervenir. Mais j'aimerais rajouté une précision.
La VHS et le Vinyle nous présentent des œuvres de façon non-compressé/digitalisé, c'est à dire analogique.
Après oui biens sur ces supports on leur défauts. Le principale étant le vieillissement. Surtout la VHS, donc la bobine photo, qui se dégrade facilement du à l'évolution des produits chimiques sur les pellicules. Le Vinyle se raye facilement et peu légèrement se dilater avec la chaleurs.
Certain diront que les couleurs capturables sur une bobine VHS sont limités et inégale sur la surface d'une image de par les produits chimiques utilisées et pas 100% uniforme sur la surface. Mais l'image reste analogique, ce qui est donc une définition d'image infiniment (sans jeux de mots) plus élevée que n'import quelle résolution numéro, 8k, 16k, IMAX, ...
Après il faut avouer que le format numérique prends beaucoup beaucoup moins de place.