Frank Capra
J'ai plusieurs de ses précédents films, mais pas encore vus.
1933 : La Grande Dame d'un jour (Lady for a Day)
Un bon petit film typique de Capra et sa vision du monde, du miracle de l'humain face à l'illusion de l'argent.
9/20
1934 : La Course de Broadway Bill (Broadway Bill)
Pas encore vu, et pourtant il y a la femme de ma vie, Myrna Loy ( qui devait jouer dans le film ci-dessous, j'aurais bien aimé ), je vais tâcher de le mater prochainement.
1934 : New York-Miami (It Happened One Night)
Une comédie très rafraichissante, très réussie, qui invente la screwball comedy.
13/20
1936 : L'Extravagant Mr. Deeds (Mr. Deeds Goes to Town)
J'ai toujours eu beaucoup d'affection pour celui-ci. Avant James Stewart, Gary Cooper est parfait dans ce rôle de grand naïf sentimental. Certains ont cru bon devoir faire un remake : non, la magie vient de Capra et de l'époque, pas du sujet ou de l'histoire.
14/20
1937 : Les Horizons perdus (Lost Horizon)
Un de mes films préférés, et pourtant je suis bien athée comme il faut. Mais la magie a opéré. Un voyage initiatique et intérieur, une rareté, une curiosité. Pour ceux qui ont aimé la BD "Shangri-La", vous comprendre d'où ça vient
16/20
1938 : Vous ne l'emporterez pas avec vous (You Can't Take It With You)
Une comédie sympathique, généreuse, positive, mais un peu trop "loufoque" pour m'emballer totalement.
10/20
1939 : Monsieur Smith au Sénat (Mr. Smith goes to Washington)
Avec "La Vie est belle", sans doute le film le plus capraien, mais dans une veine plus politique et sociale.
14/20
1941 : L'Homme de la rue (Meet John Doe)
Là, Capra commence un peu à tourner en rond, à se répéter, à toucher le bout de son propos déjà bien traité dans ses films précédents. J'ai moins aimé, mais c'est quand même bien. Vu qu'une fois, à revoir en tout cas.
10/20
1944 : Arsenic et vieilles dentelles (Arsenic and Old Lace)
Vu une seule fois, pas aimé plus que cela. Il n'y a pas l'humanisme et la générosité et la tendresse (naïveté ?) des grands Capra.
7/20
1946 : La Vie est belle (It's a Wonderful Life)
Impossible de ne pas adorer ce film, un petit chef d'oeuvre du genre, la comédie familiale de Noël. Indispensable.
16/20
1948 : L'Enjeu (State of the Union)
Je crois que je l'ai vu ?
?/20
1959 : Un Trou dans la tête (A Hole in the Head)
Un tout petit Capra pas très intéressant de fin de carrière. Limite chiant même. En tout cas très décevant, rien à voir avec du Capra.
5/20
1961 : Milliardaire pour un jour (Pocketful of Miracles) - remake de La Grande Dame d'un jour (Lady for a Day, 1933)
Oui, c'est le remake, en couleurs. Le discours est toujours là, le génie un peu moins. Pour dimanche après-midi régressif hivernal avec chocolat chaud.
7/20




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