Tonton Calou a écrit:En l'état, si tu fais de La Redoute la dernière difficulté de LBL, c'est trop loin de l'arrivée et la course va être décevante 9 fois sur 10.
Il y a moyen de rendre le parcours sélectif entre la Redoute et Liège sans pour autant placer une côte épouvantail dans les derniers kilomètres.
Je me souviens de la victoire de Van Lancker en 1990. Il part en haut d'une bosse entre la Redoute et Liège.
L'année passé, le plus fort a gagné en solitaire et, cette année, les cinq plus forts (sortant du TdF) ont fini devant. C'est quand-même pas si mal...
Oui, mais on s'emmerde pendant 250 kilomètres avant que ça bouge.
Franchement, cette année, avant le pied de la Roche aux Faucons, le seul truc digne d'être noté, c'est l'histoire de la chaussure d'Alaphilippe.
Dès le départ, tu sais qu'il y a 99% de chances que ça se joue entre 5 ou 6 puncheurs.
Ce type de final favorise à mon sens beaucoup trop un seul type de coureurs, les puncheurs. Il y a des coureurs très très forts mais qui n'ont pas nécessairement une très grande explosivité. Ces coureurs, pour eux, c'est mort.
A la limite, en caricaturant, pas besoin de faire rouler 200 coureurs, hein... Tu en mets une dizaine, tu leur fais courir les 250 premiers kilomètres et tu leur dis de se lacher au pied de la Roche aux Faucons et puis basta.