Cyclisme

[bone]

Message précédent :
Sur un CLM, il faut tenir son guidon, n'est ce pas, Miguel Angel Lopez

Pour comrendre

[bdmaniak]

Grosse chute pour Liège - Bastogne - Liège avec Alaphilippe et Barguil notamment

[Mister_Eko]

Olala Alaf....

[crepp]

Ce qui est sympa avec Alaphilippe c'est qu'il est toujours capable de surprendre, en bien et/ou en mal, mais là quand même il fait fort

[Karzak]

Non mais sérieusement .....
J’en reviens pas.

[euh... si vous le dites]

Je pense que Hirschi était le plus fort et qu'il aurait gagné s'il n'avait pas déchaussé suite à la vague d'Alaphilippe (à la limite du déclassement - apparemment, il y a enquête des commissaires).
Alaphilippe trop nerveux depuis son problème de chaussure au début de la finale

[euh... si vous le dites]

Alaphilippe est déclassé (annonce à la RTBF)

[Karzak]

Décision logique amha si c’est confirmé.

[Karzak]

Ce déclassement permet de mieux vivre l'erreur de s'être relevé trop tôt. Pas de regrets, finalement.

Les regrets sont du côté d'Hirshi, car vu comme il lançait son sprint, je pense que sans la vague il l'emportait effectivement.

[euh... si vous le dites]

Et quand tu vois Van der Poel aujourd'hui, après le truc qu'il a fait hier à la BinckBank, tu te dis que la bataille Van der Poel - Van Aert sur le Tour des Flandres et Paris-Roubaix va valoir son pesant de cacahuètes.

Sinon, ce serait bien que ce LBL situé après le TdF montre à certains coureurs qui ne basent leur saison que sur le TdF que ça vaut aussi la peine de mettre un monument à son palmarès.

[bdmaniak]

Vous ne verrez rien de plus beau aujourd'hui

Voila pourquoi c'est jamais bon un maillot arc-en-ciel sur un français. Ils font n'importe quoi après.

[vich]

Les regrets sont du côté d'Hirshi, car vu comme il lançait son sprint, je pense que sans la vague il l'emportait effectivement.

Clairement ... Bien dégouté pour Hirschi ...

[Cooltrane]

Les regrets sont du côté d'Hirshi, car vu comme il lançait son sprint, je pense que sans la vague il l'emportait effectivement.

Clairement ... Bien dégouté pour Hirschi ...

Faudrait que je re-regarde l'échappée sur Auvio, car il me semble que Alaphilou a déjà fait des vagues (2 je crois) avant le sprint - dont une dans La Roche Au Faucon et une dans la descente sur la Meuse.

Juju est retombé dans ses vieux travers qui s'appellent nervosité et perte de sang froid...

Deuxième grande course qui lui passe sous le nez après l'Amstel.

En effet, , le spectre VDPoel n'était pas loin cet aprèm.

[Mister_Eko]

Bon malgré cette fin ridicule il aura quand même fait honneur au maillot. C'est lui qui fait la sélection et c'est le plus fort avec Hirschi. Mention aussi aux autres français notamment Wawa et Cosnefroy qui sans incidents faisaient encore mieux.

[noise]

Oui il a merdé sur la toute fin mais il reste le meilleur français, ça lui donne un côté humain, j'aime bien

[Cooltrane]

Oui il a merdé sur la toute fin mais il reste le meilleur français, ça lui donne un côté humain, j'aime bien

Surtout qu'il a chuté et a eu des gros problème technique par après (chaussure, je crois)... bref deux débauches d'énergie avant le final

[jolan]

Oui, deux énormes bourdes dans les 50 derniers mètres d'une course de 250 bornes qu'il aura parfaitement maîtrisée, menée, et gagnée.
Enfin presque.

Une petite butte finale comme avant (le tracé final actuel est tout pourri) et il l'avait dans la poche.
Je regrette encore l'année où il devait la gagner mais il avait laissé partir son coéquipier Jungels.

Oui, trop nerveux, trop pressé de gagner.
Ca lui permettra de se refaire sur d'autres courses pour nous faire oublier cette double bévue idiote.
Comme moultes autres victoires ont depuis fait oublier la bourde de l'Amstel.

Bon bah une victoire totalement méritée pour Roglic du coup.

[euh... si vous le dites]

Oui, deux énormes bourdes dans les 50 derniers mètres d'une course de 250 bornes qu'il aura parfaitement maîtrisée, menée, et gagnée.
Enfin presque.

Je pense que Hirschi était le plus fort hier, que Julian ne l'aurais pas lâché s'il y avait eu une côte supplémentaire et qu'Hirschi aurait gagné dans un sprint à la régulière.

Une petite butte finale comme avant (le tracé final actuel est tout pourri) et il l'avait dans la poche.

Je n'aime pas trop le tracé actuel mais pour des raisons diamétralement opposées aux tiennes.
Personnellement, j'ai accueilli favorablement l'abandon de l'horrible arrivée à Ans avec le-retour d'une vraie arrivée à Liège. Je suis également très content de la disparition de la côte de Saint-Nicolas.
Et j'aimerais également que la Roche aux Faucons soit supprimée.
Depuis l'introduction de grosses difficultés dans les derniers kilomètres au début des années 90, LBL se résume à une course d'usure et de contrôle avant une explication de puncheurs dans la dernière difficulté. En résumé, pendant 250 kilomètres, on s'emmerde.
Je regrette le temps où les leaders devaient lancer la course de plus loin. Ca pouvait déjà réellement flinguer dans la trilogie Wanne - Stockeu - Haute levée et, surtout, la Redoute était THE endroit où la course prenait une tournure définitive.
Aujourd'hui, tout cela se passe au train, en contrôle. On s'emmerde. LBL mérite mieux que ça.

Bon bah une victoire totalement méritée pour Roglic du coup.

Roglic a le mérite d'y avoir cru jusqu'au bout mais sans le sprint illicite d'Alaphilippe, je ne pense pas qu'il avait la moindre chnace de s'imposer face à Hirschi voire même Pogacar.
Donc, totalement mérité, ça se discute quand même.

[euh... si vous le dites]

D'un autre côté, avant, il n'y avait pratiquement plus aucune difficulté dans les 25 derniers kms et le plus fort dans La Redoute ne s'imposait pas toujours.

Ca, c'est la course.
Si on veut que ce soit absolument le plus fort à la Redoute qui gagne la course, on a qu'à faire Liège-Bastogne-Remouchamps.

Ce qui explique qu'un gars comme Claudy Criquielion ne l'a jamais gagnée alors qu'avec la Roche aux Faucons ou Saint-Nicolas, il l'aurait remportée 2-3 fois à coup sûr.

En 1987, il devait la gagner mille fois et c'est de sa faute s'il ne l'a pas gagnée, pas de la faute du parcours.

Sinon, Criquielion a gagné un Tour des Flandres en attaquant sur le plat et en sortant d'un groupe de 10 après le Mur de Grammont. Et il n'était pas le plus fort dans le Mur.
C'est la course.

Je trouve que le parcours actuel est un bon compromis qui permet de redonner de l'importance à La Redoute sans que ce ne soit encore l'endroit où se fait la décision finale.

C'est quoi l'importance de la Redoute aujourd'hui à part réduire le peloton de quelques unités ?

Difficile aussi de comparer le LBL des années 80' avec aujourd'hui, ne fût-ce que déjà parce qu'il n'y avait pas d'oreillette... Je crains qu'avec le parcours historique la victoire ne se dispute aujourd'hui au sprint avec un groupe de 30 coureurs...

Ben si on parle d'oreillettes, allons-y, je suis aussi pour la disparition des oreillettes (ou bien pour des oreillettes qui donnent uniquement les informations de "Radio Tour" et qui peuvent donc prévenir les coureurs d'un danger à venir).

Avec le parcours historique, il est possible qu'on ait parfois un sprint avec un groupe assez important, c'est vrai.
Et pourquoi pas ?
Ceci dit, je doute quand même que ça arrive à 50 ou même à 30 ni que ça arrive très souvent. Et si c'était le cas, ça voudrait dire que les coureurs n'ont pas fait la course et que certains n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes.
Ce que je veux dire, c'est que LBL pour moi ne doit pas se résumer à une course où le gagnant est presque automatiquement le meilleur puncheur dans la dernière bosse.

[Cooltrane]

Je n'aime pas trop le tracé actuel mais pour des raisons diamétralement opposées aux tiennes.
Personnellement, j'ai accueilli favorablement l'abandon de l'horrible arrivée à Ans avec le-retour d'une vraie arrivée à Liège. Je suis également très content de la disparition de la côte de Saint-Nicolas.
Et j'aimerais également que la Roche aux Faucons soit supprimée.
Depuis l'introduction de grosses difficultés dans les derniers kilomètres au début des années 90, LBL se résume à une course d'usure et de contrôle avant une explication de puncheurs dans la dernière difficulté. En résumé, pendant 250 kilomètres, on s'emmerde.
Je regrette le temps où les leaders devaient lancer la course de plus loin. Ca pouvait déjà réellement flinguer dans la trilogie Wanne - Stockeu - Haute levée et, surtout, la Redoute était THE endroit où la course prenait une tournure définitive.
Aujourd'hui, tout cela se passe au train, en contrôle. On s'emmerde. LBL mérite mieux que ça.

D'un autre côté, avant, il n'y avait pratiquement plus aucune difficulté dans les 25 derniers kms et le plus fort dans La Redoute ne s'imposait pas toujours. Ce qui explique qu'un gars comme Claudy Criquielion ne l'a jamais gagnée alors qu'avec la Roche aux Faucons ou Saint-Nicolas, il l'aurait remportée 2-3 fois à coup sûr.

Je trouve que le parcours actuel est un bon compromis qui permet de redonner de l'importance à La Redoute sans que ce ne soit encore l'endroit où se fait la décision finale.

Difficile aussi de comparer le LBL des années 80' avec aujourd'hui, ne fût-ce que déjà parce qu'il n'y avait pas d'oreillette... Je crains qu'avec le parcours historique la victoire ne se dispute aujourd'hui au sprint avec un groupe de 30 coureurs...

Je suis partagé... C'est clair que je n'aimais la sinistre arrivée à Ans en face d'un parking Carrefour, mais c'est plutôt une question de prestige. Bien que l'arrivée Bvd Sauvenière des 80's n'était pas vraiment prestigieuse non plus.

Perso, même si je ne connais pas vraiment la bute de la basilique de Cointe, y finir sur une petite bosse ferait qd mm autre chose qu'un sprint plat. Pour une classique aussi bosselée que LBL, retrouver des sprints presque massifs comme on a connu (Sean Kelly, par ex), cela la foutait très mal. Si on doit avoir un sprint malgré tout (c'est les coureurs qui font la course après tout), autant que ce soit un sprint en montée légère.

[euh... si vous le dites]

En l'état, si tu fais de La Redoute la dernière difficulté de LBL, c'est trop loin de l'arrivée et la course va être décevante 9 fois sur 10.

Il y a moyen de rendre le parcours sélectif entre la Redoute et Liège sans pour autant placer une côte épouvantail dans les derniers kilomètres.
Je me souviens de la victoire de Van Lancker en 1990. Il part en haut d'une bosse entre la Redoute et Liège.

L'année passé, le plus fort a gagné en solitaire et, cette année, les cinq plus forts (sortant du TdF) ont fini devant. C'est quand-même pas si mal...

Oui, mais on s'emmerde pendant 250 kilomètres avant que ça bouge.
Franchement, cette année, avant le pied de la Roche aux Faucons, le seul truc digne d'être noté, c'est l'histoire de la chaussure d'Alaphilippe.
Dès le départ, tu sais qu'il y a 99% de chances que ça se joue entre 5 ou 6 puncheurs.
Ce type de final favorise à mon sens beaucoup trop un seul type de coureurs, les puncheurs. Il y a des coureurs très très forts mais qui n'ont pas nécessairement une très grande explosivité. Ces coureurs, pour eux, c'est mort.
A la limite, en caricaturant, pas besoin de faire rouler 200 coureurs, hein... Tu en mets une dizaine, tu leur fais courir les 250 premiers kilomètres et tu leur dis de se lacher au pied de la Roche aux Faucons et puis basta.