jolan a écrit:Anathème a écrit:C'est vraiment devenu une cochonnerie cette course, tant les chemins de vigne sont dégueulasses. Rien à voir avec les routes blanches toscanes.
C'est dommage parce que c'était une course de fin de saison avec une longue tradition : la "classique des lévriers".
Une course qui n'avait aucun intérêt pour moi jusqu'au niveau tracé dans les vignes.
C'est enfin devenu une course intéressante avec un joli final de 50 bornes.
j'aime bien cette formule actuelle, car c'est devenu une course très spécifique (et précurseuse, puisque ce genre de routes n'était pas encore à la mode en 2018), un peu comme l'Enfer du Nord. De là à l'appeler l'Enfer du Sud...
Par contre, j'ai trouvé cette édition un peu chiante
et souffrait de compétition (déjà à coté du Gravel WC, où Valverde à fini 4è
, était spectaculaire).
Aussi niveau tracé sur carte, elle tournicote un peu trop autour d'elle-même à la façon de l'Amstel ou des"Ardennes Flamandes"
Disons que la formule précédente était déjà une belle amélioration avec ses deux cotes au sud de Tours, ce qui changeait déjà pas mal de l'antépénultième formule où tout se réglait au sprint sans la moindre surprise
Du temps où le tracé de PT faisait Blois-Chaville, je crois que Fignon l'avait gagnée
Ceci dit, j'aurais préféré qu'elle garde son propre w-e, plutôt que de le partager avec la Lombardie. Il y a 20 ans, elle se tenait une semaine avant, car c'était les deux dernières manche de la "coupe du monde des classique, avec des défuntes comme le GP de Zurich, etc...
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)