Mr Degryse a écrit:On en parle souvent avec ma femme et des copines de promo. Elles rigolent souvent à dire qu'elles sont passées à travers.
Seule une copine se plaint d'un gros lourd de prof de 40 ans son ainé qui lui faisait du gringue, lui disait des mots doux ( ma mignonne, mon choux) et d’invitations répétées à aller au resto malgré ses refus,textos. Cela s'était réglé par une plainte au doyen ( arrêt de l'harcèlement mais aucune sanction pour le prof). Après en dentaire, c'était le sport national les profs ou assistants qui couchaient et quittaient leur femme pour une étudiante.
Sinon je n'ai rien vu, ma femme dit avoir été uniquement sifflée dans la rue ( elle dit que c'était désagréable mais pas au point de se sentir agresser). Ma mère disait qu'elle avait déjà eu des exhibitionnistes ( manteau ouvert , nu en dessous) devant son lycée en son temps. Des copines se plaignent de dragues lourdes mais rien de plus.
Après je ne fréquentais pas les grands fétards. On préférait se faire des soirées entre am(e)s que des soirées organisées beuveries étudiantes. La seule de mon souvenir est mon intégration et si il y eu de nombreuses coucheries alcool aidant elles étaient à ma connaissance volontaire ( des couples se sont crées cette soirée et ont duré plus ou moins longtemps après).
Bref jamais rien vu ou entendu durant mon parcours étudiant.
fanche a écrit:Quand je rentrais tard sur le campus (citéU) assez glauque, je me retrouvais souvent derrière plusieurs filles qui rentraient elles aussi de soirée par les transports et se retournaient sur moi me forçant à prendre le chemin le plus long jusqu'aux bâtiments pour ne pas les suivre (chaperon rouge inside).
Un campus connu pour son taux de viols par résidents à l'époque.
Je faisais ça bêtement pour ne pas les inquiéter mais j'ai aussi laissé des filles seules qui en était presque à hâter le pas exagérément en me voyant. (je ne ressemble pas à mon avatar)
Après coup je me dis que j'ai déconné de ne pas les raccompagner mais j'étais pris entre deux feux
tzynn a écrit:fanche a écrit:Quand je rentrais tard sur le campus (citéU) assez glauque, je me retrouvais souvent derrière plusieurs filles qui rentraient elles aussi de soirée par les transports et se retournaient sur moi me forçant à prendre le chemin le plus long jusqu'aux bâtiments pour ne pas les suivre (chaperon rouge inside).
Un campus connu pour son taux de viols par résidents à l'époque.
Je faisais ça bêtement pour ne pas les inquiéter mais j'ai aussi laissé des filles seules qui en était presque à hâter le pas exagérément en me voyant. (je ne ressemble pas à mon avatar)
Après coup je me dis que j'ai déconné de ne pas les raccompagner mais j'étais pris entre deux feux
C’est bien triste de couper court d’emblée aux blagues sur ta ressemblance à ton avatar…
Olaf Le Bou a écrit:Thierry_2 a écrit:c'est la faute des agresseurs, toujours. Et la faute d'un environnement qui laisse faire.
J'étais parfaitement d'accord avec ta première affirmation, et je me suis interrogé sur la seconde, et j'ai vainement cherché dans ma mémoire un exemple dans lequel j'aurais été témoin d'un dérapage quelconque et je n'ai rien trouvé. J'ai pourtant eu mon lot de fêtes estudiantines (et lycéennes avant ça) exagérément alcoolisées, et n'ai jamais assisté au moindre débordement pouvant s'apparenter à une agression sexuelle. Est-ce parce que je n'ai plus mis les pieds dans une fête depuis 25 ans, et que la situation s'est aggravée ?
Et il n'y a pas un système de remplacement intérimaire possible ?
Mr Degryse a écrit:Oui cela me fait bien. Mon gamin de 11 ans aurait adoré les voir mais je ne vais pas oser l'amener ni à Paris ni en Belgique car cela sera des concerts debout non placés et énormément de monde. Je ne vais pas risquer qu'il se fasse écraser ou qu'il ne voit rien car trop loin ou trop de monde devant lui.
Nefertum a écrit:spotify ou le recadrage de la photo d'origine (mal choisie) par l'appli sur ton téléphone ?
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