fancomvous a écrit:Thierry_2 a écrit:ça fait des années que mon voisin me met mal à l'aise... menaces indirectes, commentaires désobligeants, insultes...
je le sais capable de violence, qu'il battait ses enfants
cette fois, il porte plainte à l'urbanisme (anonymment, sinon ce n'est pas drôle)pour un truc qu'on n'a pas fait à sa demande (mais on n'a pas de preuve)
pas envie de me barrer, mais un connard pareil, c'est usant
Les enfants ne rendent pas les coups.
Sinon c'est possible de "porter plainte" "anonymement" à "l'urbanisme" ?
tu vas à l'urbanisme pour déclarer que tu soupçonnes ou a connaissance d'une infraction
dans le cas d'espèce, il y a un truc (une cloison de séparation sur une terrasse), mais franchement une connerie à laquelle on peut remédier facilement et qu'il pouvait demander en face (alors qu'au départ, c'est à sa demande que nous n'avions pas monter la cloison... on ne pensait pas alors qu'il s'en servirait de moyen de pression). Cette séparation, on va la lui monter avec les compliments du chef, sauf que l'urbnanisme peut être du genre très pointilleux. Et le courrier fera toujours état des doléances d'un voisin, mais l'urbanisme refusera toujours de divulger l'identité. Mais le doute n'est pas permis.
Le problème est que le mec est borderline mais assez malin pour rester à la limite. Si on part dans l'escalade, on sait qu'il va aller de plus en plus loin et ce n'est pas un PV qui va le calmer. On sait qu'il cherche l'incident. On a déposé une main courante à la police, à toutes fins utiles, pour avoir un précédent acté. Ils nous disent qu'on pourrait porter plainte pour insultes racistes, mais sans témoin (sa parole conte la nôtre), même si il est condamné, ben il reste notre voisin et il nous pourrira toujours. On en est à 3 options: soit il décide que finalement le nouveau voisin est un plusbel os à ronger et il nous fout la paix, soit il pète un plomb et il dépasse les bornes, soit il se barre.