sylvain- a écrit:Graphiquement c'est quand même assez bluffant !
tzynn a écrit:Marrant je n'accroche pas du tout graphiquement. Ca manque d'énergie. L'encrage est déposé minutieusement, pas délié comme le faisait Pratt. On dirait qu'il a peur de passer à côté. Bon, ce n'est que la première planche, on verra ensuite.
Sinon Canales semble à première vue entrer dans le style de dialogues de la série.
L'Ombre Jaune a écrit:sylvain- a écrit:Graphiquement c'est quand même assez bluffant !
En effet ! D'ailleurs, si cette planche créée par Pellejero était sortie du vivant de Hugo Pratt, à titre d'expérience, combien d'entre nous auraient pu déceler que ce dernier ne la dessinât pas.
Jopo de Pojo a écrit:L'Ombre Jaune a écrit:sylvain- a écrit:Graphiquement c'est quand même assez bluffant !
En effet ! D'ailleurs, si cette planche créée par Pellejero était sortie du vivant de Hugo Pratt, à titre d'expérience, combien d'entre nous auraient pu déceler que ce dernier ne la dessinât pas.
Le profil de Corto en bas à gauche n'est pourtant pas très prattien, je trouve...
Jopo de Pojo a écrit:L'Ombre Jaune a écrit:sylvain- a écrit:Graphiquement c'est quand même assez bluffant !
En effet ! D'ailleurs, si cette planche créée par Pellejero était sortie du vivant de Hugo Pratt, à titre d'expérience, combien d'entre nous auraient pu déceler que ce dernier ne la dessinât pas.
Le profil de Corto en bas à gauche n'est pourtant pas très prattien, je trouve...
L'Ombre Jaune a écrit:Jopo de Pojo a écrit:L'Ombre Jaune a écrit:sylvain- a écrit:Graphiquement c'est quand même assez bluffant !
En effet ! D'ailleurs, si cette planche créée par Pellejero était sortie du vivant de Hugo Pratt, à titre d'expérience, combien d'entre nous auraient pu déceler que ce dernier ne la dessinât pas.
Le profil de Corto en bas à gauche n'est pourtant pas très prattien, je trouve...
Je pense comprendre que tu tiques sur la barbe de 3 jours de Corto, et en effet, à part dans "la Ballade de la mer salée", on a rarement vu un Corto barbu, même tant soi peu.
Ceci dit, Hugo Pratt aurait très bien pu lui coller cette tête de jules, en réaction à certains qui auraient voulu faire croire que notre dandy de marin serait de "l'autre bord", (sans que cela ne me dérangeât qu'il put être du bâtiment d'en face, hein, je m'en fous en fait), et en rappelant que Corto était quand même un sacré dragueur de belles dames, à sa manière.
Je trouve qu'ici, son profil reste fin, épuré et empreint d'une certaine noblesse élégante un peu affectée, toute emplie d'une charge d'ironie, d'érudition et donc aussi, d'une certaine virilité tranquille.
C'est marrant, car, j'avoue qu'à l'endroit d'un autre personnage BD, j'ai eu dur à accepter cette pilosité tellement à la mode de nos jours. Mais bon, personne n'est parfait.
Oncle Hermes a écrit:Pour ce qui est de la planche proposée en exemple, les dialogues donnent vraiment dans le pastiche de Pratt, et pas un très bon avec ça.
J'ai l'impression que ça va au-delà de ce qu'on voit dans les Blake & Mortimer post-Jacobs, pour prendre un autre exemple. Là on dirait vraiment un exercice d'écriture de collégien (allez, disons de lycéen) : on a bien repéré tous les éléments-types dans les dialogues de Pratt, et on les aligne les uns après les autres : récitatif lyrique d'ouverture un peu à la façon de La Ballade de la mer salée, Raspoutine qui dis "je te hais Corto Maltese", Corto "Rêve ou réalité qu'importe"...
Il y a toujours eu quelque chose d'étrange voire d'artificiel dans les dialogues de Pratt, je suis tout prêt à le reconnaître, mais là ça sonne carrément faux - un faux clinquant passé à la brosse à reluire.
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